Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 237 : Ce n’est que lorsque l’affaire a explosé que la charade en devient plus divertissante
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Avant de rentrer chez elle, Yun Xi avait appelé la gouvernante de la famille et avait demandé si son père devait recevoir pour ses affaires ce jour-là.

S’il devait recevoir pour ses affaires, elle reviendrait plus tard. S’il n’avait pas de réception à faire, elle reviendrait à l’heure.

En effet, si son père n’était pas à la maison, elle devrait s’occuper de sa mère, et elle n’était vraiment pas d’humeur à le faire.

De plus, si son père n’était pas à la maison, toute cette production ne serait pas aussi gratifiante, en regardant l’humiliation de sa mère.

Cependant, un bon spectacle allait l’attendre lorsqu’elle rentrerait chez elle aujourd’hui.

Liang Xinyi était toujours détenue au poste de police et, connaissant le tempérament de sa mère, elle n’allait probablement pas se sentir satisfaite tant qu’elle n’aurait pas fait du grabuge.

La gouvernante avait dit à Yun Xi que Yun Yuanfeng n’avait rien à faire et qu’il serait à la maison pour le dîner.

Cependant, la gouvernante avait également fait remarquer que la mère de Yun Xi n’avait pas l’air bien quand elle était rentrée à la maison, et Yun Xi s’était rappelée qu’elle devait se méfier.

Après avoir raccroché le téléphone, Yun Xi s’était promenée tranquillement jusqu’à chez elle. Le paysage était à couper le souffle et, au crépuscule, Jingdu était enveloppé de la lumière vive du coucher du soleil et semblait avoir été recouvert d’une couche d’or.

L’expulsion de Liang Xinyi du lycée de Jing était la première étape du grand plan de Yun Xi.

Avec ses notes et l’expulsion, elle ne serait pas en mesure d’être admise dans une université de première classe à Jingdu.

Si elle ne pouvait pas entrer à l’Université de Jing ou avoir la chance d’étudier à l’étranger, il lui serait impossible de se faufiler dans la haute société.

Le seul moyen pour elle d’entrer dans la société était d’être extrêmement débrouillarde et de faire connaissance avec les héritiers et les héritières de la société.

Cependant, elle n’avait aucun statut et aucune famille distinguée, donc même si elle parvenait à se faufiler, elle serait toujours méprisée.

Sans intérêts communs alignés, son réseau social s’effriterait facilement.

Elle avait fait de son mieux pour se lier d’amitié avec des officiels et de riches mondains, comme l’avait fait la mère de Yun Xi simplement dans le but d’assurer un bon mariage à Yun Ziling.

Mais en fin de compte, quelques astuces de Yun Xi avaient fait que tous ces mondains avaient ostracisé sa mère.

Toutes ses années de travail acharné en réseau avaient été réduites à néant.

Maintenant, Yun Xi avait pratiquement cassé la jambe de Liang Xinyi. Il allait être de plus en plus difficile pour elle de grimper dans l’échelle sociale.

Après avoir coupé les chances de succès de Liang Xinyi, Yun Ziling serait la suivante.

Dès que Yun Xi avait fait un pas dans le salon, Liang Xiuqin l’avait vue et avait attrapé un cendrier sur la table pour le lui jeter à la figure.

« Misérable fille, tu as vraiment le courage de revenir ici ! »

Yun Xi avait agilement esquivé le cendrier que sa mère lui avait lancé et avait affiché une expression de chagrin sur son visage.

« Maman, qu’est-ce que tu fais ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal cette fois ? »

« Laisse-moi te demander, est-ce que tu as fait envoyer ta cousine au poste de police ? Pourquoi es-tu si intolérante envers elle ? Aller en prison équivaut à avoir un casier judiciaire, et elle sera ruinée pour le reste de sa vie ! Pourquoi es-tu si cruelle ? »

« Maman, qu’est-ce que ma cousine qui a commis le crime de voler a à voir avec moi ? Cette affaire a été traitée par la police. Ils ne peuvent pas arrêter les gens sans preuves, non ? »

« Conneries ! Comme si tout n’était pas de ta faute ! Si ce n’était pas pour toi, elle n’aurait pas été attrapée. »

Yun Xi était vraiment amusée par le raisonnement scandaleux de sa mère. L’attitude moralisatrice de sa mère lui donnait également envie d’éclater de rire.

Cependant, afin de créer la bonne ambiance, elle avait habilement dissimulé les émotions qu’elle ressentait.

Puisque sa mère se sentait si indignée par l’injustice subie par Liang Xinyi, elle ferait éclater l’affaire devant son père.

Ce n’était que lorsque l’affaire aurait explosé que la charade deviendrait plus divertissante.

« Maman, si tu ne comprends pas la situation, tu peux aller au poste de police pour en savoir plus. Liang Xinyi a été chargée par d’autres personnes de voler des biens publics à l’école et a été arrêtée par la police avant qu’elle ne puisse m’incriminer et me faire porter le chapeau. Qu’est-ce que cela a à voir avec moi ? Je suis la victime. Mais au lieu de me réconforter, tu défends la coupable Liang Xinyi. Quelle sorte de mère es-tu ? »

« Si ce n’était pas pour toi, elle n’aurait pas été si malchanceuse ! C’est ta cousine, alors comment peux-tu être si vindicative ? Ta conscience a été mangée par des chiens ? »

« Si j’avais réussi à être piégé par Liang Xinyi aujourd’hui, c’est moi qui serais au poste de police. Toi, ma propre mère, penserais-tu aussi que la conscience de Liang Xinyi a été mangée par un chien ? Ou penserais-tu qu’elle a fait ce qu’il fallait ? Si j’avais été détenue au poste de police, mon avenir aurait également été ruiné. Penses-tu que la famille Jiang voudrait une belle-fille qui a une réputation notoire impliquant d’être détenue dans un poste de police ? »

« Ce serait ta propre faute, donc tu le mériterais ! Ta cousine s’est toujours bien comportée. Tu as dû faire quelque chose pour la blesser… »

« Assez ! Tais-toi ! » Yun Yuanfeng sentit son front tressaillir à force de les entendre se battre et se tourna vers Liang Xiuqin pour lui rugir dessus.

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