Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 213 : Nettoyer le champ de bataille pour toi 
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Lorsque d’autres hommes tentaient de courtiser des femmes, ils parlaient gentiment et utilisaient des euphémismes.

Mais cet homme devant elle avait ouvert la bouche et lui avait fait la promesse assurée qu’il lui donnerait une famille dont elle pourrait faire ce qu’elle voudrait.

Elle savait que si un gentleman comme lui faisait une telle promesse, il la respecterait certainement.

Il avait peut-être deviné ce qu’elle voulait faire avec la famille Han, mais il n’avait pas essayé de l’en empêcher.

Il n’avait pas déclaré avec arrogance qu’il allait acquérir le groupe Han, ni ne s’était précipité pour se battre avec eux comme un jeune homme simple d’esprit.

Il avait dit qu’il lui fournirait une famille et lui donnerait le temps de mûrir jusqu’à ce qu’elle soit prête à détruire la famille Han.

Dans la situation équilibrée de Jingdu, il voulait lui ouvrir la voie et la laisser s’en occuper elle-même.

Un tel homme avait de la droiture et de la tendresse dans son cœur.

Elle ne pouvait s’empêcher de penser à Han Yaotian, qui n’avait en tête que l’argent et les avantages personnels dans sa dernière vie.

Pourquoi était-elle tombée si désespérément amoureuse d’un homme aussi égoïste et borné à l’époque ?

Maintenant, en recommençant sa vie, elle ne serait plus aussi aveugle.

Cachant ses émotions, Yun Xi supprima l’agitation qui agitait ses entrailles et leva la tête avec un sourire insouciant.

« Si je fais du grabuge sur la ligne de front, qu’en sera-t-il de vous, Jeune Maréchal Mu ? »

« Moi ? » Mu Feichi sourit et serra légèrement sa joue rose. « Je nettoierai le champ de bataille pour toi. »

« Je ne suis qu’un petit soldat sans titre. En quoi mériterais-je l’honneur de faire salir les mains du Jeune Maréchal Mu ? »

« Je suis prêt à le faire de mon plein gré. Tu dois juste te concentrer sur ce que tu veux faire. »

Il avait de nouveau touché sa tête. « Je vais m’absenter un certain temps, alors sois sage. Si tu causes un trop gros désordre et que tu ne peux pas le nettoyer par toi-même, va chercher Qi Yuan. »

« Compris ! Arrêtez de me harceler. C’est comme si vous organisiez vos funérailles ou autre chose ! » Yun Xi hocha la tête, ne prenant pas ça trop au sérieux.

Les astuces de Han Wanling n’étaient pas trop difficiles à gérer par elle-même.

« Chose sans cœur ! »

En voyant son attitude nonchalante, il pensait également que s’occuper de Han Wanling ne serait pas un si gros problème et qu’elle pourrait s’en sortir toute seule.

***

C’était déjà l’automne. Le climat automnal de Jingdu était beaucoup plus sec que celui de Yangcun. Lorsque Yun Xi s’était levée ce matin, elle avait vu un bouton sur la joue de Yun Ziling.

Yun Xi avait deviné que la peau de Yun Ziling souffrait probablement d’une inflammation due à la consommation de toutes ces vilaines collations, mais elle s’en fichait. Faisant semblant de ne pas le voir, elle était descendue prendre son petit-déjeuner.

En voyant l’attitude méprisante de Yun Xi, Yun Ziling, qui pensait encore aux collations qu’elle lui avait arrachés hier, n’avait pas pu résister à l’envie de jubiler.

« Grande sœur, peut-être que tu as pensé à ces en-cas toute la nuit et que tu n’as pas dormi ? ».

Yun Xi avait fait une pause, avait tourné la tête et avait jeté un regard à Yun Ziling. Puis elle avait reniflé doucement.

« Je n’ai jamais été du genre à voler les affaires des autres. Maintenant, même si le second jeune maître Jiang t’aime bien, tu me vois l’arrêter ? Est-ce que je perdrais le sommeil pour quelque chose d’aussi insignifiant ? »

« Vraiment ? Puisque tu t’en fiches, tu peux aussi bien me donner le pendentif de jade. Le second jeune maître Jiang ne t’aime pas de toute façon. »

« Je t’ai déjà dit que si tu veux le pendentif de jade, tu dois aller chez la famille Chen et le voler. »

Le pendentif de jade l’avait protégée et peut-être la sauverait-il encore à l’avenir. Elle n’était pas assez stupide pour les laisser profiter d’elle.

« Toi… » N’ayant pas obtenu ce qu’elle voulait, Yun Ziling avait tapé du pied en signe de colère et était descendue.

Sa deuxième tante avait amené son mari pour le petit-déjeuner aujourd’hui. Voyant Yun Xi descendre, elle s’était précipitée.

« Yun Xi, viens vite ! Je t’ai acheté tes boulettes aux crevettes et ton gâteau aux haricots rouges préférés. »

« Seconde tante, y a-t-il de bonnes nouvelles aujourd’hui ? Tu as l’air si heureuse. »

Yun Xi avait tourné la tête et avait jeté un coup d’œil à son deuxième oncle, qui était assis sur le canapé. Le second oncle avait une santé fragile et semblait habituellement souffrant.

Cependant, son teint semblait sain aujourd’hui, et il avait l’air si détendu qu’on ne pouvait pas dire qu’il était un patient souffrant d’une maladie chronique.

« Je suis venu ici aujourd’hui avec ton second oncle pour te remercier. Le médicament que tu as prescrit a été vraiment efficace. Il n’a pas seulement guéri la toux de ton second oncle, mais aussi toutes ses petites maladies. Regarde comme ton second oncle est en bonne santé maintenant, il est plein d’énergie. »

Yun Xi s’était avancée et avait pris le poignet de son second oncle pour prendre son pouls. Son pouls était régulier et devenait progressivement plus fort.

« Super, il semble que la médecine chinoise que mon second oncle a bu récemment ait commencé à faire effet. »

« Oui, oui, oui ! Le médicament que tu as prescrit est vraiment efficace. Il avait l’habitude de tousser dès l’arrivée de l’automne, mais, regarde-le, il ne tousse plus. Tout cela, c’est grâce à toi. Nous sommes venus ici aujourd’hui pour te remercier. »

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