Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Rassemblant toutes ses forces, Qi Siyu réprima finalement le ressentiment qu’elle ressentait. En serrant les dents, elle comprit enfin l’effet que Mu Feichi avait eu sur elle. Il avait le pouvoir de transformer une gracieuse mondaine de première classe en une barbie jalouse et vicieuse.

Après l’apparition de Mu Feichi et de Yun Xi, Qi Yichen jeta un coup d’œil indifférent dans la pièce, observant les réactions des nombreux invités présents, comme si il assistait au déroulement d’une pièce de théâtre. Observer toutes les variations d’expression était comparable à une représentation théâtrale.

Le plus excitant était sans doute d’observer l’expression du visage de sa sœur. Peu importe le niveau de sophistication de ces mondains, ils avaient inévitablement perdu tout leur sang-froid à l’instant même où Mu Feichi était apparue avec Yun Xi. Cependant, on ne pouvait guère les blâmer pour leurs réactions, car le Jeune Commandant Mu avait toujours été connu pour son comportement déraisonnable. Faire un tel coup au bal des mondaines était certainement suffisant pour faire perdre la raison à toutes les mondaines et héritières présentes.

En plus de cela, il y avait un autre événement encore plus inattendu. Cette jeune fille, qui venait de devenir une femme aujourd’hui, ressemblait exactement à une fleur délicate, pure et attachante. De nombreux jeunes maîtres de familles aristocratiques présents semblaient avoir été impatients de la draguer ce matin même et attendaient leur chance de la courtiser ce soir. Cependant, lorsqu’ils virent Mu Feichi arriver ici avec elle, leurs cœurs se flétrirent instantanément.

La puissance de ces trois mots, Jeune Commandant Mu, était indéniablement toujours aussi mortelle.

Avec un doux grognement, il se tourna pour regarder la délicate fleur qui se tenait à côté de Mu Feichi, et une lueur froide brilla dans ses yeux menaçants. La petite fille avait perdu un peu de la supériorité qui émanait d’elle ce matin, lorsqu’elle était la belle du bal entourée d’un harem d’hommes. Maintenant, elle semblait aussi rose et tendre qu’une fleur de prunier s’épanouissant dans la neige, suscitant chez les autres l’envie de la cueillir comme un fruit défendu et de la garder pour eux seuls.

Une jeune fille aux multiples facettes comme elle était vraiment intrigante et tout simplement irrésistible…

Accompagné de Qi Siyu, qui semblait encore un peu étourdie, Qi Fengzhou avança. Cette année, la famille Qi était chargée d’organiser le bal, puisque Qi Siyu avait été la mondaine de première classe du trimestre précédent, et tous deux devaient exprimer leurs salutations.

Bien que ce soit leur devoir légitime, ils avaient simplement voulu être considérés comme plus qualifiés que les autres pour avoir une chance de se rapprocher de Mu Feichi. Cependant, Mu Feichi joua ses cartes comme il l’entendait et négligea toutes les formalités. Il s’était présenté avec la mondaine de première classe nouvellement nommée, rendant leur présentation inutile.

« Jeune commandant ! Bienvenue ! » Qi Fengzhou tendit la main pour serrer celle de Mu Feichi. Mu Feichi le salua en retour, lui serrant la main avec sa main gantée de cuir, puis hocha subtilement la tête. Ne prenant même pas la peine de regarder Qi Siyu, il dit directement au chef du comité d’organisation : « Puisque tout le monde est là, commençons ! »

« Bien sûr ! » Qi Fengzhou acquiesça et se retourna. Il prit rapidement le micro et se dirigea vers la scène.

Au milieu de la foule, Jing Yi avait fermement retenu Jiang Henglin, qui voulait s’avancer et attraper Yun Xi par le bras. Avec la force d’un soldat, il était assez fort pour empêcher Jiang Henglin d’avancer.

Jiang Qilin lui jeta un regard mauvais et lui dit d’arrêter son comportement volontaire et impulsif. « Il ne sert à rien de pleurer pour du lait renversé, n’est-ce pas ? Même si tu allais la voir maintenant, qu’est-ce que tu pourrais faire pour changer quoi que ce soit ? Il n’y a rien que tu puisses faire. Oublie l’idée de te mettre dans l’embarras. Si tu offenses le jeune commandant, tu finiras par impliquer toute la famille Jiang. C’est ce que tu veux ? »

« Je… je n’ai pas accepté… »

Il n’avait pas accepté d’annuler les fiançailles, mais cette misérable fille était allée de l’avant et avait fait une si grande apparition avec le jeune commandant. Elle avait clairement piétiné la fierté de la famille Jiang et la sienne. Avec cette pensée en tête, Jiang Henglin avait l’impression que la fille l’avait trompé devant tout le monde, et cela avait vraiment touché un point sensible.

D’un seul regard, Jiang Qilin comprit exactement ce qu’il pensait et remua le couteau dans la plaie. « Les fiançailles ont été annulées, et nos deux familles en ont déjà parlé. Peu importe que tu ne sois pas d’accord. Si quelqu’un pose des questions plus tard, je lui expliquerai clairement. Rassure-toi, cela n’affectera pas la réputation de notre famille. »

« Je… » Jiang Henglin regarda avec consternation, mais après avoir vu les yeux avertisseurs de Jiang Qilin, il étouffa à contrecœur les mots qu’il voulait dire.

Jiang Henglin se demanda : Alors, s’ils me disent d’annuler, alors je dois annuler, et s’ils me disent de me marier, alors je dois me marier ? Que faisaient-ils de lui ? N’était-il qu’un pion utilisé par ses aînés pour former des alliances ? Avait-il seulement des droits humains ?

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N’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires et à laisser une réaction pour que je sache si l’histoire vous plaît.

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