Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 145 : Il ne t’aime pas, mais je t’aime !
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Comme c’était antipathique de sa part !

Sa société avait préparé son introduction en bourse récemment, il avait donc été extrêmement occupé et avait négligé sa santé.

S’il n’y avait pas eu la maladie de sa grand-mère, il aurait pu faire des heures supplémentaires à la société en ce moment.

Chen Yichen s’était penché vers elle, lui avait touché les joues roses et l’avait taquinée avec humour.

« Tu me dis de ne pas rester debout tard à travailler et de me reposer, mais d’où viennent tes yeux de panda ? Tu t’es éclipsé quelque part la nuit dernière ? »

Yun Xi fronça les sourcils, fit un geste de la main et écarta ses doigts de son visage.

Fixant l’homme qui la dérangeait, elle dit sans sourire : « Je vais bientôt passer l’examen d’entrée à l’université. J’ai une lourde charge d’étude, donc avoir quelques cernes ne signifie rien. »

« Tu dis n’importe quoi ! » Chen Yichen a souri. « Aujourd’hui, c’est le week-end. Comment se fait-il que tu n’aies pas fait la grasse matinée ? »

« J’ai l’habitude de courir le matin, et je ne fais pas la grasse matinée, donc mon niveau de forme est plus élevé que le tiens. »

« Vraiment ? Je ne le vois pas ! »

En regardant les jeunes gens se disputer, Jiang Wanyun avait souri et avait tapoté Chen Yichen sur l’épaule. « Ça suffit, Chen Chen, ne cause pas de problèmes à Yun Xi. Les filles sont sensibles, alors si tu la fais fuir, qui va soigner Mamie ? Cette armée de médecins attend maintenant de voir Yun Xi se ridiculiser. »

« Maman, pourquoi voudrais-je l’effrayer ? »

Chen Yichen avait tourné la tête, et avec un sourire malicieux aux coins de la bouche, il avait dit : « J’ai entendu dire que mon cousin n’a pas l’air de beaucoup t’aimer. « 

Lorsque le sujet de Jiang Henglin avait été abordé, Yun Xi avait rétréci ses yeux et avait regardé Chen Yichen avec ambivalence. L’oppression dans ses yeux avait pris Chen Yichen au dépourvu.

Il n’avait pas pu s’empêcher de la regarder quelques fois de plus. Cette petite fille était jeune, et pas encore à l’âge où elle pouvait cacher ses émotions.

Elle ne semblait ni en colère ni irritée, mais plutôt fière et têtue, comme si elle ne voulait laisser personne piétiner sa fierté.

Comme un petit hérisson, elle dressait ses épines pour se protéger dès qu’elle rencontrait une attaque.

Il avait entendu parler de tout ce qui s’était passé lors de la vente aux enchères et avait regardé les vidéos de surveillance que le directeur lui avait données. Cette petite fille avait déjoué ses adversaires en douceur.

Même si son cousin avait fait tout son possible pour l’humilier, elle l’avait rapidement fait tomber sur sa propre épée.

Hehe, elle était vraiment un personnage unique !

Il aimait bien cette petite chatte sauvage qui était farouchement protectrice des siens, mais impitoyable envers les autres.

« Pourquoi ne pas annuler le contrat de mariage et devenir ma femme à la place ? »

« Chen Chen ! Comment peux-tu dire une telle chose ! » Jiang Wanyun se sentait vraiment impuissante face à son fils, et lui lança un regard d’avertissement.

Tournant la tête pour apaiser Yun Xi, elle avait dit : « Yun Xi, cet enfant dit toujours des bêtises, alors ne le prenez pas à cœur. »

« Madame, c’est bon. Le fils aîné dit aussi la vérité. Le second jeune maître de la famille Jiang ne m’aime vraiment pas beaucoup. »

« Il ne t’aime pas, mais je t’aime bien ! Pourquoi pas… »

« Chen Chen ! » Jiang Wanyun avait jeté un regard furieux à son fils. Même si elle aimerait aussi avoir Yun Xi comme belle-fille, les mariages étaient décidés par les anciens. Si le vieil homme n’était pas d’accord, ils n’avaient pas le choix.

Les deux Mmes Chens, qui les avaient observés, s’étaient jetées un regard secret. Voyant les intentions de son précieux petit-fils, la vieille Madame Chen avait souri d’une oreille à l’autre.

« Oh, qu’est-ce qui se passe ? Peut-être que notre Chen Chen est tombé amoureux de la petite Yun Xi ? »

« Vieille Madame, ne vous moquez pas de moi. Je dois encore aller à l’école, alors il ne faut pas plaisanter avec ça. »

« Peut-être que la fille est timide ? » La vieille Madame avait souri. « D’accord, n’en parlons pas pour l’instant, car il est toujours important que la fille étudie ! ».

De plus, il était encore temps pour elle de l’arracher au vieil homme de la famille Jiang, et il n’y avait rien qu’elle craignait de faire.

Saisissant l’opportunité de changer de sujet, Yun Xi se leva précipitamment et dit : « Madame, je vais vous emmener dehors vous prélasser au soleil maintenant. »

« D’accord. » La vieille Madame avait hoché la tête, et personne n’avait continué ce sujet.

En passant près de Chen Yichen, Yun Xi lui avait marché sur le pied.

Chen Yichen l’avait regardée fixement et avait pris une profonde inspiration, puis avait baissé les yeux sur ses baskets avec l’empreinte de chaussure dessus et s’était touché le nez en souriant de manière affectueuse.

Son petit chat sauvage aimait vraiment garder rancune !

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