Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 102 : Un piège tendu par un amateur
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Pourquoi sa mère ne pouvait-elle pas comprendre qu’ils faisaient une bonne affaire.

Ce n’était que 1 000 yuans. Cette somme ne serait pas suffisante pour acheter ne serait-ce que le paquet cadeau personnalisé de Ling Jing, sans parler de la robe.

Yun Xi était stupide. Elle ne savait pas ce que cela signifiait à Jingdu d’avoir une robe conçue par Ling Jing.

Elle était si facile à bousculer et pouvait être prise en charge avec 1 000 yuans, alors qui ne serait pas heureux ?

« Bien, je vais te donner l’argent. » Liang Xiuqin avait sorti 1 500 yuans et les avait donnés à Yun Xi avec du dédain sur son visage.

Yao Ying était consternée de voir Yun Xi prête à faire des compromis pour une si maigre somme d’argent.

Cette petite fille ne savait probablement pas que toutes les femmes de Jingdu rêvaient de mettre la main sur l’un des modèles de Ling Jing, et elle l’avait donné à cette idiote de Yun Ziling.

Quelle poule mouillée, pas étonnant qu’elle ait toujours été harcelée sans relâche par cette mère et sa fille !

Yun Ziling ne pouvait pas attendre de monter à l’étage pour se changer.

Elle semblait impatiente comme si elle avait peur que Yun Xi change d’avis et la reprenne. La prudence brillait dans ses yeux avides.

Yun Xi s’était moquée d’elle-même et avait suivi sa tante dans la cuisine pour préparer le déjeuner.

« Comment peux-tu être aussi stupide ? Cette robe a coûté des centaines de milliers de dollars, et pourtant tu l’as juste donnée à Yun Ziling. C’était le cadeau de quelqu’un pour toi. Comment ose-t-elle te l’arracher ? »

Comment pouvait-elle ne pas savoir quel type de personne était Liang Xiuqin. À ses yeux, Yun Ziling était sa seule fille, et ses deux autres filles étaient encore plus négligeables que des domestiques.

« Deuxième tante, crois-moi, si quelque chose était vraiment à moi, quelque chose auquel je tenais vraiment, je ne céderais pas. Et si je cédais, j’attendrais bien sûr le double en compensation. »

Yao Ying l’avait regardée d’un air perplexe, mais d’après l’expression calme et impassible de son visage, elle n’avait pas l’air de plaisanter.

« Que vas-tu faire ? »

Ce n’est qu’alors que Yao Ying avait commencé à prendre cette petite fille au sérieux. Bien qu’elle paraisse habituellement placide, dès son retour, de nombreux problèmes étaient apparus à la maison.

Liang Xiuqin était constamment en train de comploter et avait essayé tous les stratagèmes boiteux pour l’utiliser comme bouc émissaire, mais elle n’avait pas réussi à prendre l’avantage sur elle.

« Deuxième tante, ne t’inquiète pas, il y aura un bon spectacle à regarder ce soir ».

Yun Xi avait souri et avait commencé à s’affairer pour aider la servante à préparer le déjeuner.

Voyant qu’elle ne voulait pas en dire plus, Yao Ying n’avait pas posé d’autres questions. Elle serait plus qu’heureuse de voir Liang Xiuqin souffrir de honte et d’embarras.

***

Après le déjeuner, Liang Xiuqin avait emmené Liang Xinyi et Yun Ziling se faire coiffer et maquiller. Elles s’étaient creusé la tête pour savoir comment être aussi glamour que possible pour assister au dîner de charité du soir.

Le vieil homme s’était reposé à l’étage, et Yao Ying était retournée dans sa propre villa à l’extérieur de leur complexe de villas.

Yun Xi n’avait rien à faire et lisait dans sa chambre pour se préparer à l’examen scolaire de la semaine suivante.

La servante avait frappé à sa porte et lui avait demandé de descendre pour répondre au téléphone.

Après avoir décroché le téléphone, elle n’avait même pas eu l’occasion de parler lorsque la personne à l’autre bout du fil avait commencé à parler.

« C’est moi. Comment est la robe ? Tu l’as essayée ? »

Après avoir entendu sa voix, Yun Xi s’était figée un instant, puis était revenue à la réalité.

« Euh… Jeune Maréchal Mu, c’était vous ? »

Elle ne s’attendait pas à ce que ce soit lui qui lui ait envoyé la robe.

« Si ce n’était pas moi, de qui pensais-tu que ça venait ? Chen Yichen ? »

« Non, c’est juste que je ne peux pas accepter un cadeau aussi exorbitant du jeune Maréchal Mu sans le mériter. »

« Tu le mérites. Mais ne me trompe pas ! »

« … » Le changement brusque de sujet l’avait rendue incapable de trouver ses mots.

« Le jeune Maréchal Mu souhaite-t-il s’entretenir avec moi ? »

« Je voulais te dire que ta mère a soudoyé un membre du personnel de la vente aux enchères ce soir et lui a demandé de voler le Sceau de Jade de Longyun. »

« Hein ? » Yun Xi s’était figée un instant, puis avait réagi rapidement. « Comment le savez-vous ? »

« Tous les membres du personnel travaillant à la vente aux enchères font partie de mon équipe. Ta mère l’a soudoyé, et il me l’a rapporté dès que possible. »

« Il semble que ma mère n’ait pas les compétences pour tendre un piège, donc je ne peux pas la complimenter même si je le voulais. »

Elle avait déjà quelques suppositions sur la façon dont sa mère avait prévu de comploter contre elle, mais elle ne s’attendait pas à ce qu’elle soit une telle amatrice.

« En effet, c’était pour comploter contre toi, alors que vas-tu faire ? »

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