Alors que notre village avait été brûlé et que des cadavres jonchaient maintenant le sol. Nous avons été enfermées dans des cages comme de vulgaires animaux ou monstres. Enfermé, un long voyage nous attendaient alors car la ville la plus proche était à environ un an de voyage. Je voyais déjà les visages dépités des femmes ayant perdu leurs maries. Des enfants ayant perdu leurs pères et surtout pour tout le monde l’humiliation et la souffrance de la vie d’esclave. Ou nous serons traités comme des objets pouvant être utilisés et remplacés à volonté.
Alors que je me posais la question de comment avait il pu trouver notre village. Avait-il fait un long voyage spécialement pour nous capturer ? Des questions auxquelles je n’avais pas de réponse. Téilo n’avait pas été capturé il avait lui réussi à s’échapper avec d’autres puisqu’il manquait quelques enfants et adultes. J’était heureux que certains d’entre nous aient pu éviter de se faire capturer.
Après 2 semaines de voyage, la faim nous gagnait. Nos ventres criaient famine, alors que nos cages commençaient à empester. Car prisonnier de ces cages nous faisions nos besoins sur nous. L’odeur de merde et de pisse émanait de nous alors que nous étions nourris juste ce qu’il fallait pour nous maintenir en vie. Après 1 mois de calvaire, les premiers morts commençaient à s’empiler.
L’odeur des cadavres se répandait partout nous donnant la nausée alors que les mouches pondaient leurs premiers œufs. Après quelques jours encore, des vers sortaient des oreilles des yeux et de la bouche. Jusqu’à ce que finalement l’odeur devienne plus forte et que nous puissions voir une tonne de vers. Dévoré les entrailles et ressortir des cadavres en décomposition.
Certains enfants et femmes mourraient ensuite de maladies ou de malnutrition. Alors que la famine détruisait mon estomac vide. Quand quelqu’un mourait, nous n’avions même pas la force de pleurer. Ou même les ressources pour le faire dû à la déshydratation. Pourtant la seule chose qui m’a maintenu en vie était la volonté de vivre, la volonté de me venger.
<Votre haine et votre volonté de vivre on été entendue.>
Compétences obtenues :
<Volonté de grandir>: vous gagnez 2 fois plus d’expérience que la normale. Vos stats sont toutes booster de 10 %.
<Volonté de survivre>: Vous êtes plus résistant physiquement et capable d’endurer le pire en restant lucide. Toutes vos stats sont augmentées de 10 %. Votre vitalité, votre Endurance, et votre physique sont renforcées.
<Furie bestiale> : Vous entrez dans une furie animale sanguinaire, toutes vos stats sont augmentées de 50 %.
Alors que j’ai obtenu ces compétences, mon esprit s’est éclairci. J’ai pu retrouver un peu plus de lucidité.
“Ma haine et mon envie de vivre ont été entendues par qui par cette misérable déesse ? ” Dit-je en serrant les dents.
Alors que finalement 2 mois c’était maintenant écoulé. Nous nous sommes arrêtés, les hommes étaient en train de s’activer. J’ai regardé par les barreaux de ma cage. J’ai pu apercevoir un campement où j’ai pu voir un gigantesque portail. J’ai alors compris comment il avait pu faire le voyage. Une porte de téléportation avait été installée comme nouveau relais. Mais cela n’expliquait toujours pas comment ils avaient trouvé notre village. Nous avons finalement passé le portail de téléportation qui nous à menée à la capitale du royaume de Sigma nommé Attal.
Nous avons ensuite été vendus comme les esclaves que nous étions devenus. J’ai été séparé de ma mère alors que pendant le voyage 25 % d’entre nous avait succombé à ces 2 mois de voyage.
Nous étions maintenant exposés moi et d’autres filles de mon village comme de vulgaire objet dans la rue pour être vendu. Alors que nous étions vendues une à une, c’était finalement à mon tour.
“Combien pour cette fille ? “
“C’est une demi-humaine au pelage blanc assez rare elle coûte 10 pièces d’or.”
“C’est un peu cher quand même.”
“Certes mais toutes ces jeunes filles sont vierges.”
L’homme apprenant cette information à alors souri en se léchant les babines.
“Très bien, je vous la prends.” Dit il en tendant les pièces d’or.
Mon calvaire a alors continué, j’ai été lavé pour être un minimum propre. Emmené dans la maison de cet homme, je me suis retrouvé attaché pour ne pas résister.
“Ah ne t’inquiète pas, je vais prendre soin de toi et peut-être que tu y prendras goût. “
Alors que je me débattais utilement de toutes mes forces, l’homme m’a déshabillé. En me débattant j’ai réussi à lui donné plusieurs coups de pied. Ce qui a provoqué une colère noire chez l’homme qui c’est mit à me frapper violemment.
” Espèce de salope tu as osé frapper ton maître !” (Homme)
Il me frappait tellement fort que du sang à commencé à tacher le lit blanc sur lequel nous étions.
” Arrêter s’il… vous plaît… ” (Aria)
Alors que je le suppliais d’arrêter il a commencé à aimer mes supplications. Me frappant encore plus fort alors que le lit était déjà taché de sang.
“C’est ça apprend où est ta place ! ” Souriait-il d’un air sadique.
Il m’a alors pénétré et une vive douleur me parcourut alors qu’il me prenait ma virginité.
“Ahhhh. Ça fait mal… Ça fait mal…. S’il vous plaît….”
Aucun des cris ou des appels à l’aide ne pouvait être entendu et puis qui viendrais m’aider. À la fin, le lit était recouvert de mon sang les draps blancs tachés maintenant d’un rouge vif.
Pendant ces 4 ans j’ai été violée contre ma volonté parfois à plusieurs. Il me torturait des fois juste pour me voir souffrir. Il me frappait, me brûlait, me coupait, m’étranglait alors que j’essayais de trouver de l’air. Tout ça pendant environ 4 ans de calvaire et de souffrance, j’étais devenu un objet.
Puis un jour, alors que j’étais dans la rue, un homme m’est venu en aide. Un beau jeune homme aux yeux rouges. Mais il allait commettre une erreur en me protégeant en public alors j’ai dit que tout allait bien. Alors que je me suis fait à nouveau frapper.
Mais j’ai été racheté par un autre homme et aujourd’hui je me retrouve à nouveau avec ce jeune homme. Il me promettait de tout mettre en œuvre pour changer la situation des demi-humains. Alors qu’il me serait dans ses bras j’ai pu sentir la chaleur de son corps qui était réconfortante. Et je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses beaux yeux rouges illuminés en cette belle nuit étoilée.