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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1924 : Demander à Wei Lou d’aider à s’occuper de la famille Jiang
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

« Aussi. » Ji Hongyuan avait vécu longtemps, mais c’était la première fois qu’il subissait une telle perte. Ses paupières tremblaient. Si Qiao Nian n’était pas un descendant direct de la famille Ji, il aurait piqué une colère aujourd’hui. Malgré tout, il ne put réprimer la colère qui l’envahissait. « Ji Xiao et Ji Ziyin ne devraient pas savoir que nous avons trouvé un descendant direct de la famille Ji, n’est-ce pas ? »

He Lin avait l’air confus. « Mlle Ji ne le sait probablement pas. »

Ji Hongyuan prit la tasse de thé. Au lieu de la boire, il lui donna froidement l’ordre de « faire circuler la nouvelle, mais sans révéler de qui il s’agissait ».

Ji Ziyin était une personne intelligente.

Dès qu’elle aurait eu cette nouvelle, même si elle n’était pas sûre que Qiao Nian était cette personne, elle travaillerait sans relâche pour la réprimer dans l’institut de recherche.

C’est ce que pensait Ji Hongyuan.

Il voulait voir la jeune fille souffrir et perdre courage. Ce n’est qu’alors qu’il pourrait la faire revenir docilement dans la famille et travailler pour eux !

« … Trouve également deux personnes pour la suivre. Protège-la à moitié et surveille à moitié ses allées et venues pour voir ce que la famille Nan veut faire d’elle. »

He Lin regarda dans la direction où la jeune fille était partie. Son expression était compliquée alors qu’il hochait la tête, indiquant qu’il avait compris. Il s’empressa de s’exécuter.

Devant l’hôtel Intercontinental.

Qiao Nian sortit de l’hôtel et sortit son téléphone pour appeler Wei Lou. « Aide-moi à m’occuper de la famille Jiang. Appelle-moi si quelque chose arrive. »

« D’accord. » Wei Lou était loin, à Pékin.

Il y avait un décalage horaire de plus de dix heures entre Pékin et le Continent Indépendant. Il fut réveillé par l’appel de Qiao Nian. Il tira les rideaux et laissa la lumière du matin entrer dans la maison.

Alors qu’il se dirigeait vers le canapé circulaire, il alluma la machine à café sur la table basse et se versa une tasse de café noir.

Après avoir pris une gorgée de café chaud, il demanda à la jeune fille : « Qui as-tu provoqué cette fois ? Pourquoi t’inquiètes-tu soudainement pour la famille Jiang ? »

« Juste… une personne qui se croit supérieure. » Qiao Nian baissa les yeux, réprimant la mauvaise humeur dans son regard. Elle prit une profonde inspiration. « Quand je ne suis pas là, aide-moi à garder un œil sur mon grand-père et les autres. N’oublie pas de me prévenir si des étrangers s’approchent d’eux. »

« D’accord, je sais. Tu me l’as déjà dit deux fois ! »

Wei Lou sourit et dit avec un air sérieux : « Ne t’inquiète pas, je prendrai bien soin de l’oncle et des autres pour toi. »

« Au fait, quand reviens-tu ? Et où es-tu ? »

Qiao Nian était parti précipitamment cette fois-ci et ne l’avait pas dit à lui ni à Yuan Yongqin. Jusqu’à présent, aucun des deux ne savait où Qiao Nian était partie.

« Le Continent indépendant. »

« J’ai quelque chose à faire dans le Continent indépendant et je ne reviendrai pas avant un certain temps. Je te dirai quand je serai de retour. Prends soin de ma famille pour moi. » Les mots de Qiao Nian étaient concis. Elle n’était pas allée trop loin. Elle avait simplement dit : « Je te laisse cette affaire. Je te paierai un repas à mon retour. »

« D’accord. » Wei Lou n’en demanda pas plus. Il lui indiqua quelques endroits où manger avant de raccrocher.

Après avoir raccroché, il descendit au salon. En chemin, il consulta son téléphone portable et trouva certaines des relations de la famille Wei qu’il connaissait. Maintenant, alors qu’il passait un appel, son image négligée et peu fiable de l’époque où il était au téléphone avec Qiao Nian avait changé. Sa voix était maintenant capable et calme. « Aide-moi à garder un œil sur la famille Jiang. Protège-les bien pendant cette période ! »

Après avoir tout arrangé, il s’assit à nouveau sur le canapé et fit défiler les photos de profil WeChat de la jeune fille. Il ne revint pas à lui avant longtemps…



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