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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1637 : C’est toi qui as fait ça à Wei Xueying ?
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Qiao.

« Qiao Nian ? »

À cet instant, Wei Xueying ne pouvait plus se montrer arrogante.

En frissonnant, elle avait cherché dans son carnet d’adresses le numéro de téléphone de sa cousine.

Cependant, Wei Xueying savait très bien qu’il était inutile qu’elle le fasse. À l’époque, sa cousine et les familles célèbres de la ville de Rao avaient été contraints de quitter le cercle et de partir à l’étranger. Aujourd’hui, elle n’était pas aussi populaire et célèbre que sa cousine à l’époque. Comment pourrait-elle être différente ?

Cependant, à part trembler en passant cet appel, elle ne trouvait aucun réconfort psychologique. Elle avait peur de se ridiculiser en public.

Elle s’en moquait éperdument, même si elle savait très bien qu’elle finirait par devenir la risée de tous lorsque tout le monde verrait les nouvelles dans quelques minutes.

« Cousine, j’ai des problèmes. »

***

Qiao Nian sortit de la station de télévision et héla un taxi, se préparant à aller à la bibliothèque.

Après être montée dans la voiture, elle avait lentement sorti son téléphone. Il était rempli d’appels manqués et de messages non lus.

Qiao Nian avait ouvert WeChat et y avait jeté un coup d’œil.

Elle pensait que ce n’était rien d’important.

Contre toute attente, elle avait vu que Zhang Yang lui avait envoyé un message WeChat.

Qiao Nian avait été très surprise.

Elle interagissait généralement avec Zhang Yang, mais c’était en général lorsque tout le monde jouait ensemble. En privé, Zhang Yang la cherchait rarement et faisait très attention à garder ses distances.

Mais il lui avait envoyé un message ?

Qiao Nian avait baissé les yeux et avait cliqué sur sa photo de profil.

Zhang Yang s’était excusé très sincèrement auprès d’elle, en disant qu’il venait d’apprendre pour Wei Xueying, et lui avait immédiatement raconté les résultats de leur traitement de Wei Xueying.

À la fin, Zhang Yang lui avait même demandé si elle voulait que Wei Xueying s’excuse à nouveau auprès d’elle en personne.

Au début, les sourcils de Qiao Nian étaient très froncés. Vers la fin, elle avait haussé les sourcils et avait appelé quelqu’un.

L’interlocuteur avait décroché presque aussitôt que l’appel avait été passé.

« Allô. »

La voix de l’homme était basse et magnétique.

Qiao Nian se boucha les oreilles. Un peu irritée par sa voix grave, elle lui dit : « C’est toi qui as fait ça à Wei Xueying ? »

« Hein ? Qu’est-il arrivé à Wei Xueying ? » La voix de l’homme était paresseuse et son ton était souriant.

Qiao Nian s’était arrêtée un instant. Elle avait l’impression que la voiture était trop étouffante.

Elle ouvrit la fenêtre de la voiture pour laisser entrer le vent et rabattit sa casquette avant de dire sans se presser : « Tu as demandé de l’aide à Zhang Yang ? ».

« Zhang Yang te l’a dit ? » Ye Wangchuan n’avait pas été surpris. Il dit aussitôt : « Je lui ai juste demandé de contrôler les artistes de sa compagnie. De ne pas laisser sortir n’importe quel Tom, Dick ou Harry. Pour être un artiste, il faut de la vertu. Elle n’a pas de résultats financiers. Rester dans l’industrie du divertissement ne fera que nuire aux mineurs. »

« Je sais. » Qiao Nian n’avait pas non plus une bonne impression de Wei Xueying. Elle avait l’intention de lui donner une leçon. À tout le moins, Wei Xueying avait dépassé les bornes en détruisant une relique culturelle.

Cependant, elle ne s’attendait pas à ce que Ye Wangchuan soit au courant de ce genre de choses à Pékin.

Se pinçant les lèvres, elle changea de sujet et leva les yeux vers le paysage qui défilait à toute vitesse à l’extérieur de la fenêtre. « Au fait, je suis sortie de la station de télévision et je vais maintenant jeter un coup d’œil à la bibliothèque. Je rentrerai quand j’aurai fini ici. Tu n’es pas obligée de venir. »

Qiao Nian réfléchit un instant, puis fronça légèrement les sourcils et ajouta : « Ça ne devrait pas prendre longtemps si tout se passe bien. Environ une demi-journée. »

« Si c’est le cas, je rentrerai ce soir. Même si ce n’est pas le cas, je serai de retour à Pékin le lendemain. »

Il n’y avait plus rien pour elle à la ville de Rao.

Il n’y avait plus rien pour la famille Qiao, et tout le monde était quitte.

Shen Qingqing et Liang Bowen étudiaient à Pékin.



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