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Génie sans Egal | Perless Genius System | 绝世天才系统
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Chapitre 348 – N’allez pas le provoquer
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Aux yeux de tous les ingénieurs du département informatique, Xiao Luo était un expert informatique très estimé, et ils le considéraient comme un enseignant respecté. Ils furent indéniablement impressionnés par le «Programme offensif et défensif des soixante-quatre» développé par Xiao Luo et étaient très intéressés à en savoir plus. L’application était très avancée et capable d’interroger et d’étudier passivement les modèles de programmes malveillants intrusifs et de répliquer ses codes avant de rediriger le malware vers son emplacement source.

Les ingénieurs avaient d’innombrables questions à poser à Xiao Luo sur l’architecture et le protocole de programmation du «programme offensif et défensif soixante-quatre», qu’il a patiemment expliqué en détail. Le programme de Xiao Luo utilisait tous les aspects de ses connaissances informatiques, et les informations qu’il fournissait aux ingénieurs étaient si méticuleuses qu’elles équivalaient à leur donner un manuel. Cela les aiderait sans aucun doute à comprendre son programme, à innover et à l’appliquer de multiples façons.

En regardant Zhou Yuhang et ses collègues poser des questions avec enthousiasme et prendre des notes, Gu Zhanguo et Dongfang Shuoyu partageaient un sentiment de satisfaction quant à la façon dont les choses s’étaient déroulées. Ils étaient d’humeur joviale lorsqu’ils quittèrent les lieux.

Ce qui était initialement prévu comme une brève introduction de «Mie» au département informatique s’avéra être un atelier de programmation à part entière, et il dura près de deux heures. Xiao Luo n’avait pas ménagé ses efforts pour fournir des informations et guider les ingénieurs sur les différentes applications de son programme. De leur côté, les ingénieurs étaient des étudiants enthousiastes et ils testèrent et analysèrent le programme en profondeur. Ils réalisèrent rapidement que le codage était plus compliqué que prévu, composé de couches de sous-programmes interdépendants, qui reproduisent les complexités des cinq éléments et des huit trigrammes. Ainsi, plus ils creusaient profondément, plus la structure semblait alambiquée. Cela ne fit qu’encourager les ingénieurs à tel point qu’ils étaient obsédés par la maîtrise des nombreuses facettes du programme.

«Je suppose que cette partie du code est un moteur et qu’elle réécrit le code ? Mais si c’est le cas, qu’en est-il de cette partie du code… à quoi sert-elle ?» demandât un ingénieur.

«Non, non, ce n’est pas ça… c’est cette partie du code qui est utilisée à cette fin», déclarait un autre ingénieur.

«Je crains que vous n’ayez tous les deux tort. Ces codes sont ceux qui remplissent la fonction principale, ils agissent comme le cerveau et constituent le cœur de tout le programme, sans lequel il ne fonctionnerait pas», expliqua Xiao Luo.

«Mais comment le noyau peut-il être là, n’est-il pas situé ici ?» répondit une autre personne.

Il y avait un grand nombre de combinaisons qui pouvaient être dérivées des 64 sous-programmes, et il est compréhensible qu’aucun des ingénieurs ne puisse comprendre le programme dans son intégralité. Sur la base des différentes connaissances acquises par chaque ingénieur, ils purent collectivement reconstruire un programme de défense actif et indépendant. Mais, même ainsi, cela ne résume qu’une petite partie du design de Xiao Luo.

«Monsieur Xiao Luo, merci pour votre soutien et votre travail acharné !»

Ji Siying s’approcha avec un verre d’eau.

«Oh, merci, j’en avais besoin.»

Xiao Luo hocha poliment la tête en prenant le verre d’eau des mains de Ji Siying. C’était un verre de bienvenue après la longue séance exhaustive d’explications continues au personnel informatique. Après avoir étanché sa soif, il regarda autour de lui et demanda :

«Où sont passés le directeur Gu et le directeur Dongfang ?»

«Ils m’ont déjà dit de t’amener chez eux dès que tu auras fini ton travail ici», dit Ji Siying avec un sourire sur son visage.

Xiao Luo ne put s’empêcher de remarquer son sourire enchanteur, et chaque légère expression qu’elle exprimait faisait battre son cœur plus fort.

Xiao Luo termina son verre d’eau et étira ses muscles en regardant le groupe d’ingénieurs se pencher sur son «Programme offensif et défensif soixante-quatre». Il haussa les sourcils, rit et dit : « Alors allons-y, je pense que nous avons terminé ici.»

«Oui, d’accord.»

Ji Siying répondit par un hochement de tête.

«Siying !»

Dès qu’ils sortirent du bâtiment technologique, un homme avec une coupe de cheveux au bol appela Ji Siying. Il tenait un bouquet de roses et commença à courir vers elles avec un large sourire sur son visage. Il avait l’air musclé et robuste, et ses mouvements dégageaient une vigueur qui provenait d’un entraînement et d’exercices réguliers. Cependant, comparé à son corps bien bâti, il avait une tête disproportionnée et un visage cendré. Il avait des cernes noirs sous ses yeux enfoncés et, honnêtement, si l’on regardait simplement son visage, il ressemblait à un homme maladif atteint d’une maladie incurable. Il respirait rapidement, c’était probablement à cause de l’excitation de voir Ji Siying.

«Ren Maohua ?»

Ji Siying marmonna dans sa barbe, et un air de dégoût envahissait son joli visage.

Ren Maohua s’approcha de Ji Siying et lui remit le bouquet de fleurs de manière théâtrale.

«Siying, c’est pour toi», dit-il en se mettant soudainement à genoux, «sois ma petite amie !»

Ji Siying jeta un rapide coup d’œil à Xiao Luo, puis secoua la tête sans hésitation, rejetant instantanément sa proposition. «Les fleurs que tu as ici sont jolies, mais elles ne me conviennent pas. Je pense qu’il serait préférable que tu les donnes à une autre fille.»

«Siying, ne me dis pas que tu ne comprends pas mes sentiments ? La première fois que je t’ai vue, j’ai eu le coup de foudre. Ton sourire, ta beauté, tout ce que tu es… tout est profondément gravé dans mon esprit, et mon amour pour toi est indescriptible. S’il te plaît, accepte-moi, je prendrai soin de toi pour le restant de mes jours», avoua Ren Maohua, submergé par l’émotion.

Debout à côté de Ji Siying, Xiao Luo se sentit un peu gêné en regardant l’homme lui exprimer profondément son amour, juste devant lui. Il fit la seule chose décente à laquelle il pouvait penser, il toussa sèchement et dit : «Eh bien… Mademoiselle Ji, je vous attendrai plus loin.»

Xiao Luo s’avança alors précipitamment. C’était un peu trop pour lui, et il était content d’être à l’écart.

Ji Siying, exaspérée, fronça les sourcils et dit : «Monsieur Ren, je vous ai déjà clairement fait comprendre que je ne vous aimais pas. Arrêtez de me faire perdre votre temps !»

Sans attendre la réponse de Ren Maohua, elle passa devant lui et rattrapa Xiao Luo. Elle jeta un coup d’œil pour saisir l’expression de Xiao Luo du coin de l’œil, craignant qu’il ne comprenne mal la relation entre elle et Ren Maohua.

On disait que les prétendants pouvaient reconnaître leurs rivaux en un coup d’œil, ce qui était précisément le cas de Ren Maohua. Lorsqu’il remarqua que Xiao Luo et Ji Siying marchaient ensemble, il plissa les yeux et se mit immédiatement à marcher d’un pas rapide à leur suite. En un rien de temps, il était juste devant Xiao Luo, bloquant le passage.

Il pointa le bouquet de roses vers Xiao Luo, tout en regardant Ji Siying et en demandant :

«Qui est-il ?»

«Monsieur Ren, vous n’êtes pas obligé de savoir qui il est, veuillez laisser la place.»

Le ton de Ji Siying était froid. En tant qu’agent de liaison, son niveau n’était que de grade C, dans de nombreuses circonstances, elle avait un statut plus élevé qu’un agent de terrain, en particulier celui qui ne respectait pas les règles.

«Si tu ne me le dis pas, alors je lui demanderai moi-même !»

Ren Maohua se montra brusque, fixa Xiao Luo du regard et gronda : «Je te donne jusqu’à trois pour me dire ton nom et ton niveau de guerrier. Sinon, je te fais taire et chanter l’hymne national jusqu’à ce que je sois satisfait. Finis !»

Ren Maohua laissa ses émotions prendre le dessus et outrepassa son autorité.

«Ren Maohua, laisse-moi te rappeler que tu n’aimeras pas la petite maison noire !» prévenait Ji Siying.

«Siying, si tu acceptes d’aller avec moi dans la petite maison noire, j’y resterai volontiers jusqu’à la fin de mes jours. Même notre enfant pourrait y naître», ricana Ren Maohua.

«Toi…!»

Le visage de Ji Siying devint rouge, elle se sentit absolument dégoûtée par ce qu’il venait de dire et trouva son comportement inacceptable. Ji Siying n’avait pas le moindre intérêt pour Ren Maohua, qui commençait à lui taper sur les nerfs.

Ren Maohua lança un regard noir à Xiao Luo, son visage à quelques centimètres, et le sourire quitta son visage alors qu’il commençait le compte à rebours. «Un!»

Xiao Luo essuya les gouttes de salive que Ren Maohua avait abondamment déposées sur son visage et dit : «C’est ton droit de courir après n’importe quelle fille que tu veux, mais s’en prendre à quelqu’un d’autre pour te faire bien paraître, c’est exagéré.»

«J’en fais trop ? Eh bien, c’est comme ça que j’aime ça, alors, qu’est-ce que tu vas faire ?»

Ren Maohua rit de manière maniaque. «Deux!»

Xiao Luo secoua la tête et continua de marcher devant Ren Maohua, refusant de s’abaisser à son niveau.

«Ren Maohua, je te préviens de ne pas le provoquer. Même si tu es un soldat de première classe, ne le provoque pas, je te préviens pour ton bien», dit Ji Siying.

Ji Siying s’éloigna de Xiao Luo Ren Maohua pour s’en prendre à Ren Maohua. Elle avait vu Xiao Luo en colère de ses propres yeux, et une fois provoqué, il ne faisait aucun prisonnier. Elle se souvenait encore des cris du chef du Corps des Mercenaires Cobra cette nuit fatidique. Cet homme était une bête !

Cependant, Ren Maohua prit son avertissement à la légère. Il ne voulait pas perdre la face devant la fille qui lui plaisait… «Trois !»



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