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Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Lorsqu’il lui avait posé cette question, il ne lui avait pas été facile de deviner de qui il s’agissait.

Après avoir réfléchi, elle leva la tête et commença à analyser tous les coupables possibles. « La possibilité que ce soit Qi Siyu est faible. Ce banquet a été organisé par la famille Qi, et si quelque chose m’arrivait, la famille Qi serait impliquée. Cependant, elle voudrait aussi me voir me ridiculiser. Qiao Ximin est la candidate la plus probable, car elle avait le plus grand potentiel pour devenir la première mondaine, mais je l’ai battue à plate couture. Elle a probablement envie de me mettre en pièces maintenant. Liang Xinyi n’a pas beaucoup de relations, il lui aurait donc été impossible de mettre la main sur ce genre de drogues qui ne sont disponibles que sur le marché noir. Même si les autres mondains participant au banquet avaient un motif, c’était trop soudain puisque je venais d’être choisie comme première mondaine. Ils n’auraient pas eu le temps de se préparer à l’avance. »

Mu Feichi acquiesça et dit avec un demi-sourire : « Ton analyse est très logique, mais cette fois, la personne qui t’a drogué était la personne la plus improbable pour l’avoir fait. La drogue a été administrée par la personne qui te déteste le plus. »

« Liang Xinyi ? » Yun Xi leva les yeux, un éclair de surprise traversant son regard. « Ses mains et ses pieds ne sont pas si rapides. Comment pourrait-elle éviter les yeux des gardes du corps de la villa ? »

« Si ce n’est pas elle qui a apporté le verre de vin, pourquoi aurait-elle besoin de faire quoi que ce soit ? » Mu Feichi leva la main et se frotta la tête. « Quand ta cousine devient vicieuse, elle peut même se vendre. »

« Ne s’est-elle pas déjà vendue une fois ? Quelle est la différence si elle le fait à nouveau ? »

Yun Xi ricana. Liang Xinyi avait toujours été plus capable et ambitieuse que Liang Danyi. Bien qu’ils ne soient ni présentables ni dignes de son attention, il y aurait toujours des moments où il serait impossible de rester sur ses gardes face à eux.

Si elle avait l’occasion de mettre la main sur Liang Xinyi, elle ne se retiendrait pas. Prendre des mesures drastiques était la meilleure solution.

« Puisqu’elle est si désireuse de mourir, j’exaucerai son souhait. »

De toute façon, elle avait déjà atteint son objectif d’écraser Liang Xinyi au bal des mondaines. Connaissant la haine extrême de Liang Xinyi à son égard, il ne serait pas déraisonnable qu’elle l’attaque après l’avoir vue se tenir sur la scène sous les feux de la rampe.

Mu Feichi porta à la bouche de Yun Xi une cuillerée de bouillie de poulet râpé et lui rappela nonchalamment : « La meilleure façon d’évacuer ta colère est de la laisser assister, impuissante, à la destruction de ce qu’elle désire le plus, juste devant ses yeux. »

TSK, TSK ! « Je pensais que les femmes étaient les plus vicieuses. On dirait que tu n’es pas mal non plus, jeune commandant. »

Ce qu’il suggérait était aussi exactement ce qu’elle voulait faire.

« Si je peux être ton homme, je ne serai pas mal du tout. Normalement, je ne veux même pas m’embêter à traiter avec des gens comme elle. Cependant, je serai heureux de t’aider si tu veux t’en occuper toi-même, chérie.

– Je peux m’occuper de ce champ de bataille moi-même. Je ne veux pas te salir les mains. »

« D’accord. » Mu Feichi acquiesça et lui donna pensivement le porridge qui était devenu juste à la bonne température.

Yun Xi réagit après avoir avalé quelques bouchées. Elle était nourrie par le Jeune Commandant du pays, et elle se sentit immédiatement mal à l’aise. « Je vais le faire moi-même. »

Un certain individu haussa les sourcils et fit une longue grimace. « Tu n’es pas contente que je te nourrisse ? »

« Jeune Commandant, si tu me nourris, ma durée de vie sera réduite.

– Tais-toi ! Ne t’avise pas de dire des choses aussi déplorables. Si tu es ma femme, tu peux l’accepter.

– … » Elle ne pouvait vraiment pas supporter toutes ces belles paroles.

Elle termina lentement son petit-déjeuner. En raison de ses blessures, Mu Feichi ne lui permit pas de s’inquiéter de quoi que ce soit d’autre et la ramena dans la chambre principale.

Après lui avoir donné le médicament anti-inflammatoire, Mu Feichi sortit du tiroir une boîte de pommade blanche. « Est-ce que ça fait encore mal en bas ? »

Tousse, Tousse ! Yun Xi était en train de boire de l’eau. Lorsqu’elle entendit sa question, elle s’étouffa immédiatement en avalant une gorgée d’eau, ses oreilles devenant rouges.

« Su Hang a envoyé le médicament. Je vais t’aider à l’appliquer. »

Le visage de Yun Xi était si rouge qu’elle le regarda avec agacement. C’était un endroit si privé, alors comment pouvait-elle trouver le courage de lui demander de le faire à sa place ?

Même si cela lui faisait mal, elle devait crier et insister sur le fait que cela ne faisait pas mal.

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