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Chapitre 724 – Retrouver l’Aîné Blanc II
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Quelle tragédie. Même avec sa puissante mémoire, il n’avait pu mémoriser qu’un tiers de la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage !

Ainsi, il échouerait à nouveau une fois les cinq minutes écoulées… La copie avec la version complète que Su Wenqu avait laissé sur la table à côté de la sienne serait-elle toujours là ?

Que ferait-il dans le cas contraire ?

Resterait-il coincé là pour toujours ?

Il trouvait cette idée vraiment effrayante !

La voix digne s’éleva à nouveau. « Recopiez de mémoire le texte complet de la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage. Vous avez cinq minutes. »

Au même moment, une feuille de papier vierge supplémentaire apparut sur sa table. L’ancienne feuille de test fut pliée et déplacée dans un coin de la table afin d’éviter de lui causer des ennuis pendant qu’il écrivait à nouveau le texte.

S’il ne pouvait pas écrire de mémoire l’intégralité de la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage, il resterait coincé dans cette petite pièce noire pour toujours.

Song Shuhang n’avait d’autre choix que de saisir le pinceau et d’écrire à nouveau. Il dessina sur le papier les caractères de la partie qu’il avait mémorisée.

Après avoir fini, plus de trois minutes s’étaient déjà écoulées.

Il était encore plus inquiet. Réaliser ces tracés était plutôt complexe. À ce rythme, même s’il retenait tout le texte, il lui faudrait environ neuf minutes pour finir la Poésie en Prose.

Il avait l’impression de suivre un entraînement infernal !

Pouvait-il compter sur une aide extérieure ?

Il tendit la main sans réfléchir et essaya de sortir son téléphone portable ou l’émetteur sonore de son sac à main. Mais lorsqu’il toucha ses vêtements, il réalisa que celui-ci avait disparu.

Puisqu’il n’est pas ici avec moi, cela signifie-t-il que je ne suis pas entré physiquement dans cet endroit étrange, mais simplement avec ma conscience ?

❄️❄️❄️

Très vite, les cinq minutes passèrent.

Les murs d’enceinte s’abaissèrent une fois de plus et disparurent dans le sol.

Song Shuhang ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil en direction de la table voisine…

La table, la chaise et la copie de Su Wenqu étaient toujours là. Quelle chance !

Il fixa immédiatement la feuille et mémorisa tout ce qu’il pouvait.

La voix digne résonna à nouveau dans ses oreilles. « Tous ceux qui ont réussi à écrire le texte de mémoire pourront quitter cet endroit ; ils obtiendront le “Pinceau d’Adoration du Ciel et de la Terre”, un trésor de Troisième Rang pour les Érudits. Ceux qui ont échoué devront recommencer dans vingt secondes. Le délai est toujours de cinq minutes. »

Et vingt secondes plus tard…

Les murs s’élevèrent dans un grondement.

Une nouvelle feuille vierge apparut sur la table de Song Shuhang, l’ancienne pliée et décalée sur le côté.

Song Shuhang essaya de toucher sa précédente copie. Cependant, une force étrange l’en empêchait ; il en était incapable.

– « Bon sang, si seulement elle n’était pas pliée… » Il poussa un soupir. Si le texte avait été visible, il l’aurait simplement recopié sur la nouvelle feuille, ce qui aurait été un peu plus rapide que de tout écrire de mémoire.

Le temps passa lentement.

Cinq minutes plus tard, les murs s’abaissaient dans un grondement.

L’étudiant jeta un rapide coup d’œil au papier de Su Wenqu, essayant une fois de plus de mémoriser la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage. Cette fois, il parvint enfin à arriver au bout !

Même s’il ne connaissait pas la signification de ces caractères venus d’une autre époque, il pouvait compter sur sa mémoire pour les dessiner correctement et transcrire ainsi toute la Poésie en Prose. De plus, comme il était en train d’acquérir une certaine expérience, il lui fallait de moins en moins de temps pour les tracer.

Cette fois, je dois absolument réussir le test !

❄️❄️❄️

Vingt secondes plus tard…

Les murs remontèrent bruyamment.

Cette fois, saisissant immédiatement le pinceau, il le trempa dans l’encre. Puis, dès que le papier blanc apparut, il commença à écrire.

La longue Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage fut entièrement rédigée. Ou plutôt, dessinée.

Song Shuhang acheva le dernier caractère après 4 minutes et 42 secondes.

– « J’ai enfin fini ! J’ai réussi à vaincre ce stupide espace de test de repêchage infini ! » Il posa le pinceau et se mit à rire à gorge déployée.

Puis il attendit d’enfin quitter cet endroit.

Il recevrait également un artefact pour les Érudits de Troisième Rang, le Pinceau d’Adoration du Ciel et de la Terre. Il faudrait fêter ça !

Les cinq minutes passèrent et les murs tombèrent une fois de plus.

La voix noble résonna à nouveau. « Tous ceux qui ont réussi à écrire le texte de mémoire pourront quitter cet endroit ; ils obtiendront le “Pinceau d’Adoration du Ciel et de la Terre”, un trésor de Troisième Rang pour les Érudits. Ceux qui ont échoué devront recommencer dans vingt secondes. Le délai est toujours de cinq minutes. »

– « Je veux sortir d’ici ! »

Mais… Il ne se passa rien.

– « J’ai fini ma dictée ! Laissez-moi quitter cet endroit ! »

Malheureusement, on ne lui répondit pas. Tout était silencieux ; seule sa respiration pouvait être entendue.

– « … »

Que se passait-il ? Lui manquait-il quelque chose ? Il jeta rapidement un coup d’œil au test de Su Wenqu.

Non, il ne manquait rien !

Il avait dessiné parfaitement le moindre de ces anciens caractères.

Fallait-il chanter intérieurement la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage tout en l’écrivant de mémoire ? Mais une feuille de papier n’avait aucune de fonction de traduction automatique, et Song Shuhang n’avait aucune idée de ce qui était écrit dessus !

Que pouvait-il faire ?

Devrait-il continuer jusqu’à sa mort ?

Vingt secondes plus tard…

Les murs se dressèrent à nouveau, cruellement, l’isolant du reste de ce monde.

Une nouvelle feuille vierge apparut devant lui, l’ancienne pliée et déplacée d’un côté de la table.

– « Je ne veux pas repasser ce test ! Laissez-moi sortir d’ici, maintenant ! » Il se leva et attrapa la table, bien décidé à la renverser. Il voulait voir si quelque chose changerait s’il cassait le mobilier.

Cependant… La table était extrêmement lourde ; il n’était pas capable de la soulever d’un millimètre.

Eh bien, c’était plutôt embarrassant.

Que faire maintenant ?

À ce moment-là, il était incapable de contacter le monde extérieur, et bien qu’il eût réussi à rédiger la Poésie en Prose de mémoire, il ne pouvait pas quitter cet endroit.

Resterait-il là pour l’éternité ?

– « Peut-être ai-je fait une erreur avec un trait ? » Il se tint le menton, en pleine réflexion. Une fois les cinq minutes écoulées, il regarderait attentivement la copie de Su Wenqu et la comparerait à ses souvenirs.

❄️❄️❄️

Alors qu’il se demandait quelle coquille il avait bien pu faire, une Épée volante noire perça l’espace au-dessus de la table et se fraya un chemin dans la dimension, apparaissant juste au-dessus de lui.

Mais, contrairement aux fois précédentes, elle ne libéra pas une énergie noire infinie qui, de fait, n’engloutit pas la zone environnante.

Elle planait tranquillement devant le Roi Guerrier.

Surpris, il s’écria joyeusement : « Aîné Blanc ! »

C’était “l’autre”, évidemment. Comme celui qu’il connaissait, son charme n’avait aucune limite et il apparaissait fréquemment dans ses rêves.

S’il ne savait pas qui il était réellement, il était certain de sa puissance incroyable. Pour marquer la différence, il décida de l’appeler Aîné Blanc II à partir de cet instant.

Bref, puisque l’Aîné Blanc II était arrivé, Song Shuhang était encore plus convaincu qu’il n’était pas là physiquement.

L’Épée volante noire tourna et se transforma en Aîné Blanc vêtu de noir. Ses habits du jour évoquaient un pyjama qui l’enveloppait entièrement ; seul son beau visage était visible. Avait-il été en train de dormir ?

L’Aîné Blanc II ouvrit les yeux et lui jeta un coup d’œil, en silence.

Song Shuhang agita la main. « Bonjour, Aîné Blanc. Heureux de vous revoir. »

L’autre fronça les sourcils. « Êtes-vous à nouveau piégé dans un rêve ? »

– « Non, pas cette fois. J’ai été entraîné dans un endroit étrange où je dois passer un test. Je suis censé écrire l’intégralité de la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage en cinq minutes en utilisant des caractères anciens. Je ne peux pas quitter les lieux avant d’avoir réussi. Mais je l’ai fait ! Et pourtant, je suis encore là. C’est trop triste. »

L’Aîné Blanc II rit. « Un endroit vraiment intéressant. »

Song Shuhang serra les dents. « Non Aîné Blanc, pas du tout ! Je ne peux même pas faire voler la table ! Pire, je ne peux pas partir, même si j’ai écrit de mémoire et sans erreur la totalité de la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage ! Je commence à me demander si ce test est buggé ! »

Le pratiquant regarda vers un endroit lointain. Sa vision perça les murs environnants et tomba sur la statue de Daozi, l’un des treize disciples du Sage.

Il soupira doucement.

L’étudiant l’implora : « Aîné Blanc, pouvez-vous m’aider ? Est-ce que quelque chose ne va pas avec ma copie, sur ce papier ? »

– « Dites-moi, pourquoi devrais-je vous aider ? »

– « … »

Il semblait toujours rancunier, Shuhang ne lui ayant pas dit ce qu’il voulait savoir sur le Blanc qu’il connaissait la dernière fois ! Le jeune homme allait devoir sortir l’artillerie lourde.

Le Roi Guerrier ricana. Il y avait d’autres méthodes pour sortir de cet espace. Outre le fait d’écrire correctement de mémoire la Poésie en Prose d’Auto-Cultivation du Sage en cinq minutes, il pourrait partir d’ici si une puissante influence l’en chassait. Et sa méthode pour mettre en colère l’Aîné Blanc II était plutôt simple. Pour le Blanc du monde réel comme pour celui des rêves, une seule phrase suffisait à déclencher une grande colère.

Sans gêne, il dit : « Petit Blanc, quand vos cheveux atteindront votre taille… »

– « Silence, » ordonna-t-il sobrement.

L’instant d’après, Song Shuhang découvrit être incapable d’ouvrir la bouche. Il avait été mis en sourdine !

Mais il s’y était attendu ; ce n’était pas si grave. Il avait déjà envisagé cette situation.

Il prit le pinceau et la feuille, puis commença à écrire. Petit Blanc, quand vos cheveux atteindront vos hanches…

Après quoi, il leva prudemment la tête et jeta un coup d’œil à l’Aîné Blanc II. S’il écrivait les mots suivants, “voudrez-vous m’épouser ?”… Autant exprimer d’abord ses dernières volontés.

Il valait mieux en rester là. D’après ses projections, cet être serait incapable de se retenir de le chasser de cet endroit. Quelle chance si cela se passait ainsi.

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