Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 190 : Elle a giflé Qiao Chen
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Qui ne voudrait pas d’une paire de jambes normales ? Même s’il n’avait que cinq ans, il connaissait déjà la dure réalité parce qu’il appartenait à la famille Ye.

Qiao Nian lui tapota la tête et lui demanda gentiment : « Tu me fais confiance ? »

Ye Qichen la regarda dans les yeux et ses larmes commencèrent à couler. Se sentant horriblement mal à cause de la douleur, il s’exclama : « Ma sœur, j’ai mal à la jambe gauche. »

« Ce ne sera plus douloureux dans un moment. » Qiao Nian sentit ses sentiments s’éveiller. Elle n’avait jamais été aussi en colère.

Elle continua à lui tapoter la tête et à le serrer dans ses bras, puis lui dit doucement : « Je ne laisserai rien t’arriver. Ne t’inquiète pas. »

Elle n’aimait pas faire des promesses, mais elle les tiendrait !

Après l’avoir calmé, elle lui passe une boîte de chewing-gum. Elle lui dit qu’il pouvait manger toutes les sucreries qu’elle contenait. Elle avait acheté des bonbons au goût de raisin. Elle lui avait dit d’en manger un quand il avait mal.

Elle avait pris ses affaires après que Ye Qichen se soit calmé et avait dit à Ye Wangchuan : « Je dois sortir. »

Ye Wangchuan n’avait jamais vu Ye Qichen s’effondrer en public auparavant. Alors qu’il ressentait un fort sentiment de pitié pour lui, il comprit que si Ye Qichen perdait sa jambe, sa vie serait ruinée.

Il fit la moue puis dit : « D’accord, je vais attendre que tu reviennes. »

Il sortit alors son téléphone.

Qiao Nian ne savait pas qui il essayait de contacter.

Mais elle s’en fichait, elle ne pensait qu’à la jambe de Chen Chen.

Lorsqu’elle sortit, tout le monde se retourna pour la regarder.

Fu Ge fut le premier à demander : « Qiao Nian, Chen Chen va-t-il bien ? »

Comment pouvait-il poser ce genre de question alors que sa jambe était cassée ? Qiao Nian ne put que sourire à cette question stupide et lui jeta un regard froid.

« Pourquoi souris-tu ? » demanda Fu Ge avec agacement.

Qiao Nian s’exclama, « Dégage de mon chemin ! ».

Elle était vraiment froide, et cela montrait qu’elle ne se souciait pas de lui.

Choqué, Fu Ge fronça les sourcils. Il baissa les yeux et cria : « Qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi me montres-tu ton tempérament ? »

« Laisse-moi me répéter », dit Qiao Nian avec de la colère dans les yeux et la main dans la poche. « Dégage de mon chemin ! »

Sa présence n’avait jamais été aussi forte auparavant. On aurait dit un lion enragé.

Fu Ge fut choqué par sa présence. Elle le repoussa et se dirigea vers Qiao Chen derrière lui.

D’un mouvement très rapide.

« Slap ! » Le bruit d’une gifle résonna dans le couloir.

Choquée, Qiao Chen s’accrocha à son visage. Elle la regarda fixement et demanda, « Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu fais ? »

Qiao Nian se massait le poignet après l’avoir giflée. Elle la regarda avec colère en se tenant devant elle et lui demanda : « As-tu poussé Chen Chen dans les escaliers ? »

Qiao Chen recula. Elle n’allait pas l’admettre en présence de la famille Fu. Elle tenta alors de se défendre doucement. « Je ne l’ai pas poussé. Il est tombé tout seul. J’ai essayé de l’empêcher de tomber, mais j’ai échoué. Je suis tombée à mon tour, et mes genoux ont été éraflés. »

Qiao Nian gloussa et demanda froidement : « Qiao Chen, peux-tu croire ce que tu dis ? »

Le visage de Qiao Chen devint rouge de colère et elle s’exclama, « Je ne mens pas. Je sais que tu ne m’aimes pas, mais je ne mens pas ! »

« Ha. »

Plus grande qu’elle, Qiao Nian la regarda froidement.

« J’enquêterai sur tes dires après avoir soigné la jambe de Chen Chen. Si tu l’as vraiment poussé… »



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