Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Se tenant au-dessus de Liang Xiugin, Yun Yuanfeng ricana et la regarda froidement. C’était comme s’il regardait une étrangère.

Il avait dormi à ses côtés pendant 20 ans, et pourtant il ne pouvait ressentir aucune pitié pour cette femme sans cervelle.

Il y a longtemps qu’il ne voulait plus de ce mariage. S’il n’avait pas essayé d’obtenir le poste de directeur, il aurait divorcé depuis longtemps.

Cette femme, qui ne savait que semer la zizanie, n’avait pas d’antécédents familiaux ni de statut. Non seulement elle ne l’avait pas aidé du tout, mais elle lui avait même causé des ennuis à plusieurs reprises.

Et maintenant, incroyablement, elle avait même emmené cette idiote de Yun Ziling avec elle pour voler dans un magasin haut de gamme.

C’était bien si elles voulaient courir à la mort et au déshonneur, mais elles l’entraînaient dans leur chute. Maintenant que le Bureau de la sécurité publique était venu frapper à leur porte, aucun mur à Jingdu ne pourrait cacher cette nouvelle et l’empêcher de se répandre comme une traînée de poudre. Lui, le directeur de la police, aurait-il encore un peu de dignité pour affronter les autres ?

« Liang Xiugin, ce n’est pas à toi de décider si tu iras en prison ou non. Tu vas devoir payer pour les ennuis que tu t’es causés.

– Non ! Je ne divorcerai jamais.

– Alors tu peux aller en prison. » Yun Yuanfeng ricana, montrant ses dents. Ses mots étaient si froids et il n’y avait aucune émotion en eux.

« Peu importe le nombre d’années que le tribunal te condamne à la prison, nous aurons été séparés pendant de nombreuses années après ta libération. Après deux ans de séparation, un mariage peut être annulé et je peux alors demander le divorce. Quoi qu’il en soit, tu devras divorcer. Tout au plus, je n’aurai qu’à attendre deux ans de plus. Si tu divorces maintenant, je pourrai peut-être te donner de l’argent et trouver un moyen de réduire ta peine. Avec cet argent, tu pourras encore vivre ta vie avec Yun Ziling. Si tu ne veux pas faire de compromis, ne me reproche pas de n’avoir eu aucune pitié pour toi. Quand tu sortiras de prison, tu n’auras pas un seul centime, mais tu obtiendras quand même le divorce.

– Si tu divorces, tu crois que je te laisserai partir avec cette mégère ? N’y pense même pas. »

Si sa maîtresse n’avait pas d’enfant, Liang Xiugin pourrait peut-être surmonter cet obstacle.

Cependant, ce fils illégitime restait un fils, et Liang Xiugin ne pourrait pas surmonter cet obstacle. Elle avait beau peser le pour et le contre, elle n’était pas prête à laisser ce couple adultère s’en tirer si facilement.

S’ils divorçaient maintenant, non seulement Yun Yuanfeng aurait une nouvelle femme et un fils, il aurait tout ce qu’il voulait, mais qu’en serait-il d’elle ?

Elle avait travaillé si dur pendant tant d’années pour ne rien obtenir, et tout ce qu’elle obtiendrait de lui était un peu d’argent et une peine de prison dont elle n’avait aucune idée de la durée.

C’était injuste ! C’était lui qui l’avait trompé et commis la faute. Pourquoi devait-elle souffrir ainsi ? Elle était indignée.

Même si elle était entraînée vers le bas, elle ne pouvait pas les laisser s’en tirer si facilement.

« Si c’est le cas, va en prison. Mais à l’avenir, Yum Ziling sera impliquée dans ce scandale parce qu’elle a une mère comme toi qui vole les autres. Pour quelqu’un qui a une maladie cardiaque congénitale comme elle, elle peut oublier de se marier dans une bonne famille, et encore moins d’avoir une bonne vie. Tu dois bien réfléchir à tout cela. »

Yun Ziling était la faiblesse de Liang Xiugin. Il ne croyait pas que Liang Xiugin ne ferait pas de compromis si l’avenir de Yun Ziling était menacé.

Comme prévu, lorsque Yun Yuanfeng dit cela, Liang Xiuqin devint silencieuse.

Elle n’avait pas d’autre choix que de considérer l’offre de Yun Yuanfeng pour le bien de Yun Ziling. Mais si elle l’acceptait vraiment, elle n’obtiendrait rien. Elle devrait aller en prison et son nom serait ruiné.

Dans ce cas, ils feraient mieux de ne pas divorcer. Au moins, Yun Ziling aurait encore ses parents. Même si ce n’était que de nom, c’était mieux que de divorcer maintenant.

Yun Ziling allait bientôt passer l’examen d’entrée à l’université, et elle n’avait même pas encore réglé la question de l’offense faite au directeur. Si elle subissait un autre coup dur, elle risquait de ne pas pouvoir le passer.

Quelle que soit l’option choisie, elles n’avaient aucune chance de gagner.

Que devait-elle faire ? Que faire pour éviter une défaite cuisante ?

Au moment où Liang Xiugin hésitait sur la conduite à tenir, la porte de la salle d’examen s’ouvrit… Yun Yuanfeng se précipita et demanda anxieusement : « Docteur, comment va mon fils ? Il va bien ? »

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