Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 170 : Elle attendait que Qiao Nian s’excuse personnellement auprès d’elle
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Tang Qi fronça les sourcils. Sa grand-mère n’était pas comme ça dans le passé. Elle leur apprenait à obéir à la loi et à ne jamais utiliser les relations de la famille pour commettre des crimes.

Pourquoi essayait-elle de protéger Zhao Jingwei alors qu’elle savait que la fille avait tort ?

Pourquoi essayait-elle même de ternir la réputation de la victime ?

Un regard froid se posa sur la Matriarche Tang alors qu’elle claquait la tasse, rendant l’atmosphère sombre. Elle demanda : « Essayes-tu de m’apprendre ce que je dois faire ? »

Tang Qi était perplexe. « Ce n’est pas ce que je veux dire. C’est juste que… »

« Tu aimes juste Qiao Nian ? »

Elle exposa ses pensées directement avec sa langue acérée.

Même s’il y avait d’autres personnes présentes.

Le beau visage de Tang Qi rougit tandis qu’il serrait les poings.

Il n’osait pas admettre qu’il était tombé amoureux d’une fille bien plus jeune que lui et essayait de le nier. « Cela n’a rien à voir avec ça. Je trouve juste que tu as tort de le faire. »

Tang Wei avait claqué la table et avait crié. « Tu n’es pas en position de me donner une leçon ! »

Les autres essayèrent de les empêcher de se disputer.

Cela n’en valait pas la peine pour une simple fille.

« Laisse-moi être claire. »

Tang Wei portait un costume traditionnel modifié aujourd’hui. Chaque fibre de ses vêtements était cousue à la main, et cela lui donnait une apparence classique. Elle portait également un pendentif de jade et avait une aura autour d’elle. Lorsqu’elle se mettait en colère, Tang Qi n’était pas de taille face à elle.

« Je ne l’aime pas. Tu ferais mieux d’y renoncer ! »

Le cœur de Tang Qi se serra. Il essaya alors de se battre pour elle sans se soucier de sa propre image. « Grand-mère, c’est une affaire personnelle. »

« C’est aussi l’affaire de la famille Tang. » La matriarche Tang s’emporta. « Tu es né dans cette maison et nous t’avons donné tout ce que tu voulais. Ton mariage ne concerne pas que toi. Cette fille n’a pas de manières. Je ne lui permettrai jamais de se marier dans notre famille ! »

« Arrête d’essayer de me faire changer d’avis. Je vais être franc, je ne laisserai jamais passer ça si elle ne s’excuse pas auprès de moi. »

Tang Qi ne comprenait pas pourquoi elle harcelait autant Qiao Nian.

Mais sa grand-mère avait son mot à dire dans la famille Tang. Ainsi, même s’il voulait aider Qiao Nian, il ne savait pas comment aller à l’encontre de sa grand-mère.

« Je vais libérer Zhao Jingwei. Quant à ce qui a été écrit sur elle en ligne, j’envisagerai de demander aux auteurs de retirer les articles si elle s’excuse auprès de moi », dit Tang Wei lentement et avec assurance. Elle avait bien plus d’expérience qu’elle, de toute façon.

Elle ne faisait pas exprès d’être difficile avec elle non plus. C’était parce que la famille Jiang ne savait pas comment éduquer ses enfants, et elle leur rendait service en faisant cela.

Elle attendait que la provocatrice Qiao Nian s’excuse personnellement auprès d’elle !

Alors qu’elle avait fini de réprimander Tang Qi, Tang Guosheng arriva en trombe. Sans se soucier des autres, il dit anxieusement : « Maman, il s’est passé quelque chose. »

Voyant que ces deux-là s’étaient frayés un chemin jusqu’à l’heure du thé avec ses invités, elle se moqua. « Tu es déjà si vieux, et pourtant tu es aussi anxieux que ton fils. Qu’est-ce qui a bien pu se passer pour que tu sois si anxieux ? »

Tang Guosheng prit une profonde inspiration pour se calmer, puis dit en fronçant les sourcils : « Je viens d’apprendre que le Bureau d’Investigation s’impliquait dans l’incident du Premier Lycée. »

« Qu’est-ce que tu as dit ? » Tang Wei se leva en état de choc. Sachant immédiatement qu’il ne s’agissait plus d’une petite affaire, elle demanda aux invités de partir.

Une fois les invités partis, elle demanda à son fils : « Que se passe-t-il ? Tout se passait bien. Pourquoi s’en mêlent-ils soudainement ? »



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