Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 870 : Cerise sur le gâteau
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Juste au moment où Yun Xi et Yumo s’étaient assises, Jiang Henglin était venu et s’était assis en face de Yun Xi.

Zhao Yumo était sans voix quand elle le vit, et elle les éloigna un peu de lui. « Second Jeune Maître Jiang, pourquoi traînes-tu toujours avec Yun Xi ? Je pensais que Yun Xi avait déjà annulé ses fiançailles avec toi ? »

« Qu’est-ce qui ne va pas ? Je ne peux pas lui parler parce qu’elle a annulé les fiançailles ? » Jiang Henglin ignora les commentaires de Zhao Yumo. Au lieu de cela, il se tourna vers Yun Xi et ricana doucement.

« N’as-tu pas de connaissances médicales ? Ta sœur est sur le point de s’effondrer à cause de la diarrhée, mais tu ne vas pas voir comment elle va ? »

Yun Xi leva les yeux. Elle posa son menton sur sa main et le regarda : « Puisque tu es si inquiet pour elle, pourquoi ne vas-tu pas lui rendre visite ? Yun Ziling serait très heureuse de te voir, et peut-être qu’elle se remettrait immédiatement. Aussi, ma mère n’aime pas me voir. Si elle ne me dit rien, pourquoi devrais-je prendre l’initiative d’aller les aider ? »

Il y avait une autre raison pour laquelle Liang Xiuqin ne voulait pas que Yun Xi s’implique. Si elle disait que Yun Ziling devait retourner à l’hôpital dans la ville, car son état était grave, Yun Yuanfeng serait certainement d’accord avec elle. Et Ziling et ses plans seraient affectés si ça arrivait.

Ce serait comme donner une chance à Chen Lixue si Liang Xiuqin ne pouvait pas garder les yeux sur Yun Yuanfeng. Aussi, Yun Ziling ne voudrait pas manquer l’occasion d’être avec Jiang Henglin.

Personne ne savait ce qui pourrait arriver ou ce qui se passerait pendant ce week-end aux sources chaudes !

Aussi, quand Yun Xi regardait Liang Xiuqin faire ses bagages dans l’après-midi, Liang Xiuqin lui avait accidentellement montré les choses qu’elle apporterait. Elle doit dire que le maillot de bain de Liang Xiuqin était vraiment sexy.

L’argent que Liang Xiuqin avait dépensé pour acheter des vêtements et apprendre les cosmétiques n’avait certainement pas été en vain.

Liang Xiuqin voulait améliorer sa relation avec Yun Yuanfeng. Mais même si c’était le cas, elle ne serait pas en mesure de se protéger contre les tours de Liang Xinyi, peu importe à quel point elle était bien préparée.

L’apparition de Jiang Henglin sur ce voyage était la cerise sur le gâteau. Liang Xinyi devait rire sous sa couverture en ce moment.

« N’as-tu pas dit toi-même qu’un médecin doit être gentil et bienveillant ? Est-ce ainsi que tu devrais traiter un patient ? »

« Le personnel de la réception ne lui a-t-il pas déjà donné des médicaments ? Mais, malheureusement, peu importe la gentillesse avec laquelle je suis médecin, je n’ai ni équipement médical ni médicaments avec moi. Ne t’a-t-on pas appris qu’on ne peut rien faire sans le matériel nécessaire ? »

« … » Jiang Henglin gela. Il ne pouvait pas répondre à ce qu’elle avait dit.

En suivant le courant, Zhao Yumo poursuivit là où Yun Xi s’était arrêté : « Jeune Maître Jiang, ne me dis pas que tu as étudié dans une fausse université ? Comment ne pas comprendre une logique aussi simple ? »

Le visage de Jiang Henglin s’assombrit avec la défaite car il ne pouvait rien trouver contre quoi que ce soit.

À ce moment-là, l’assistant de Jiang Hengling vint avec une pile de documents, ce qui avait interrompu leur conversation et avait légèrement atténué l’embarras de Jiang Henglin.

La table à côté du bar n’était pas très grande, et Jiang Henglin en occupait déjà plus de la moitié. Yun Xi et Yumo avaient dû passer à une autre table.

Jiang Henglin avait d’abord voulu faire du travail. Il ne s’attendait pas à se laisser distraire par la façon dont ces deux filles répondaient ensemble, l’une après l’autre, sans aucune hésitation.

Il ne pouvait pas lire un seul mot de son rapport, écoutant leur discussion sur le travail scolaire.

Il regarda Yun Xi, qui travaillait sur un devoir avec sa tête baissée. La lumière jaune vif de la barre brilla sur elle et fit comme si des couches de chaleur l’entouraient.

Ses longs cheveux noirs pendaient près de son petit visage délicat, certains cachés dans le col de sa veste en duvet. Quand elle baissait la tête, ses cheveux tombaient sur le côté de son visage, et elle les repoussait simplement derrière son oreille. La lumière se reflétait sur son visage délicat, et il sentit quelque chose s’écraser dans son cœur.

La chaleur écrasante enveloppait autour de lui, comme un filet étroitement tissé, et même sa respiration changeait subtilement.

Il ne l’avait jamais observée de si près avant, car ils se battaient toujours chaque fois qu’ils se rencontraient. C’était toujours lui étant sarcastique ou elle étant agressive, et elle avait toujours semblé sortir sur le bout gagnant.

Il ne s’était jamais senti aussi haï par une fille, et il se trouve qu’elle était sa fiancée.

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