Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Yun Xi sortit de l’enveloppe une épaisse pile de documents qu’elle examina attentivement. Il y avait non seulement des photos de la scène de l’accident de voiture, mais aussi le rapport de l’hôpital détaillant leur diagnostic et des tomodensitogrammes des os des jambes.

Les informations, qui lui permettaient de voir clairement et en détail la blessure de Jiang Qilin à la jambe, étaient très complètes.

En écoutant Mu Feichi parler du passé de Jiang Qilin et de cet accident de voiture arrangé, Yun Xi apprit beaucoup d’informations qu’elle n’avait pas connues dans sa vie précédente.

« Avant que Jiang Qilin n’ait eu cet accident de voiture, il avait été négligé dans la famille Jiang. Il n’était pas le fils de la première femme du plus vieux maître Jiang, alors le vieux maître Jiang et la vieille madame Jiang ne l’aimaient pas beaucoup. »

« Mais il est toujours le petit-fils aîné. Même s’il n’est pas né de la première épouse, ce n’est pas un enfant illégitime. Pourquoi le vieux maître Jiang et les autres ne l’aiment-ils pas ? »

« Parce que l’aînée de la famille Jiang est issue d’un milieu ordinaire, et que la famille Jiang se soucie du prestige. Le plus vieux maître Jiang a insisté pour épouser la seconde dame, mais comme sa famille n’était pas assez puissante, elle n’avait pas non plus de statut dans la famille Jiang. Le deuxième maître Jiang, le père de Jiang Henglin, était différent. Il a épousé l’héritière de la famille Lin. La famille Lin a de solides antécédents dans l’armée et les affaires et peut renforcer la position de la famille Jiang dans l’armée et les affaires. De plus, Jiang Henglin est meilleure que Jiang Qilin pour plaire aux aînés, alors dans la famille Jiang, Jiang Henglin est le chouchou. »

« Mais n’as-tu pas dit que Jiang Qilin n’est pas aussi simple qu’il en a l’air ? Puisqu’il n’est pas simple, alors pourquoi a-t-il un profil si bas ? »

Mu Feichi sourit, tendit son ordinateur vers lui et entra rapidement les noms de deux corporations dans le moteur de recherche.

« Le patron de ces deux sociétés, dont les actifs s’élèvent à plusieurs dizaines de milliards, est Jiang Qilin. Comparé à cet idiot de Jiang Henglin, Jiang Qilin est celui qui cache le mieux ses véritables forces. Ses capacités sont égales à celles de n’importe quel jeune maître des quatre familles distinguées. »

Yun Xi regarda les noms des deux entreprises que Mu Feichi avait affichés sur l’écran de son ordinateur portable. Elle avait travaillé avec l’une d’entre elles dans sa dernière vie.

Elle connaissait très bien cette société et comprenait la force qui se cachait derrière, mais elle ne s’était jamais attendue à ce que le patron de cette société soit Jiang Qilin.

Comme d’habitude, les vrais maîtres et patrons étaient cachés dans les coulisses.

« Je ne savais vraiment pas qu’il était si puissant. Je pensais que puisqu’il était assis dans un fauteuil roulant maintenant, peut-être vivait-il une vie de dépression et de manque d’estime de soi tous les jours. »

« Jiang Qilin n’est pas une personne ordinaire, alors tu l’as certainement beaucoup sous-estimé. Même si la famille Jiang ne l’aime pas, tant qu’il est en vie, les droits de succession de la famille Jiang lui appartiendront toujours dans le futur. »

Adossé à la tête de lit, il la regarda nonchalamment. Sa chemise noire faisait apparaître les traits de son visage encore plus ciselés et plus beaux.

« Et maintenant, tu comprends ses antécédents médicaux ? Peux-tu soigner sa jambe ? »

Yun Xi fouilla dans le dossier médical qu’elle tenait et secoua la tête. « Je ne peux pas voir quel est son problème en regardant uniquement le dossier médical. Je dois me renseigner sur son rétablissement au cours des deux dernières années. J’ai vérifié le réflexe de son genou aujourd’hui. Si nous pouvons associer l’acupuncture chinoise et les traitements de moxibustion, il devrait y avoir un peu d’espoir. »

Mu Feichi plissa les yeux, réfléchit un instant et demanda : « En es-tu sûre ? »

« Environ 50 pour cent. Comme je l’ai dit, cela dépend de l’historique de sa rééducation au cours des deux dernières années et de tout ce qui est prévu pour ses traitements futurs. »

« Si tu peux guérir ses jambes, le poids de cette faveur ne serait pas moindre que de donner une faveur au président. »

« Vraiment ? » Semblant ne pas se soucier beaucoup de cet aspect, Yun Xi haussa les sourcils. « Je trouve juste dommage qu’une personne comme lui doive s’asseoir dans un fauteuil roulant. Je veux juste essayer de l’aider. Je ne veux pas qu’il me doive une faveur. »

« Même si tu ne veux pas de faveur, les gens s’en souviendront quand même. » Mu Feichi gloussa légèrement et tendit la main pour la tirer sur le lit. « Il se fait tard, tu devrais te reposer ! »

« Jeune Maréchal, ton histoire est terminée, tu peux ficher le camp. »

« Tu vas ficher le camp avec moi ? » Les yeux sombres de Mu Feichi devinrent sérieux tandis qu’il la tirait sur la couette.

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