Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
A+ a-
Chapitre 686 : Acte de désespoir
Chapitre 685 : Il était tout simplement stupide Menu Chapitre 687 : La prospérité de ce monde n’est rien en comparaison de la perspective de t’avoir à mes côtés

***

Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

***

Yun Yuanfeng, cependant, avait toujours l’impression de devoir quelque chose à Chen Lixue. Si elle était chassée de la famille Yun de cette façon, elle pourrait dévoiler leur relation de façon impulsive, ce qui ne serait bon pour personne.

C’est pourquoi, espérant utiliser Yun Xi pour retarder les choses, Yun Yuanfeng dit qu’il voulait attendre et parler à Yun Xi en guise d’excuse.

Mais il ne s’attendait pas à ce que Liang Xiuqin riposte de la sorte. Il n’avait pas abandonné pour autant et avait sorti son téléphone pour appeler Yun Xi.

Yun Xi était en train de faire du shopping avec Yao Ying lorsqu’elle reçut l’appel. Yun Yuanfeng l’appelait pour lui demander son avis, ce à quoi elle ne s’attendait pas.

« Yun Xi, que penses-tu de l’affaire concernant ta cousine ? Où est ta deuxième tante ? C’est elle qui est responsable maintenant, nous devons donc lui demander comment gérer cette affaire également. »

Afin de se décharger de la responsabilité, Yun Yuanfeng utilisait Yao Ying comme bouclier.

« Papa, ma deuxième tante a dit que ce n’était pas à elle d’intervenir dans cette affaire. Après tout, elle n’est pas sa parente, mais notre parente. Tu dois prendre ta propre décision. »

Après y avoir réfléchi, Yun Xi se dit que puisque Yun Yuanfeng lui avait effectivement demandé conseil, elle ne pouvait pas fermer les yeux sur lui.

« Papa, ma tante m’a élevé pendant tant d’années, alors elle a au moins le mérite de ses efforts. Cet incident est une erreur de Liang Xinyi. C’est pitoyable que sa réputation soit ruinée pour le reste de sa vie. Je pense que tu devrais les laisser rester. Après tout, elles sont sans défense à Jingdu. »

« Mais si la famille Han… » Yun Yuanfeng craignait à présent que la famille Han ne trouve à redire à la famille Yun, et qu’elle n’entrave même sa future carrière à cause de cette affaire.

Comment Yun Xi ne pouvait-elle pas deviner ce que pensait son père ? Elle gloussa pour elle-même. « La famille Han souhaite dissimuler complètement le scandale. Il est très gênant que la famille ait eu un tel scandale au moment critique du Banquet Weiya. Ils souhaitent seulement que Liang Xinyi se taise et ne cause pas d’ennuis. S’ils osent essayer de nous embarrasser, qui sait ce que nous ferions en désespoir de cause ? À ce moment-là, ils ne seraient certainement pas mieux lotis. Après tout, dans ce genre d’affaire, les filles sont celles qui souffrent le plus, tu ne crois pas ? »

Yun Yuanfeng le pensa effectivement, et hocha précipitamment la tête. « C’est logique, c’est logique ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé ? »

« Alors, papa, tu n’as pas à t’inquiéter outre mesure. Tu devrais continuer à faire comme d’habitude, mais ce genre de choses ne peut pas se reproduire, et notre famille ne peut pas être sans règles. De plus, il faut que tu demandes à ma tante si elle veut retourner à la campagne pour accompagner mon oncle pour le Nouvel An, sinon les billets seront bientôt tous vendus. »

Lorsque cette question fut évoquée, Yun Xi insista délibérément sur le mot oncle pour le rappeler à son père, mais peu lui importait que Yun Yuanfeng l’écoute ou non.

De toute façon, il avait déjà fait les premiers pas sur la route de sa mort, et la façon dont il continuerait à voyager sur cette route dépendait de ce qu’il choisissait.

Après avoir raccroché le téléphone, Yun Xi se dirigea vers sa deuxième tante, prit une paire de nœuds chinois et les mit dans son sac.

Yao Ying avait jeté un coup d’œil à l’identifiant de l’appelant et avait demandé : « Ton père voulait que tu prennes des décisions au sujet de ta tante, n’est-ce pas ? »

Yun Xi acquiesça.

« Yun Xi, peux-tu supporter de laisser ta tante rester et ajouter aux problèmes ? »

« Pourquoi ne pourrais-je pas le supporter ? Ma mère est celle qui ne peut plus le supporter. Je suis heureuse de les voir s’entre-déchirer. Une fois qu’elles auront fini, ma vie sera bien plus facile. »

Yao Ying réfléchit un moment et décida que c’était effectivement vrai.

Dans la maison de la famille Yun, après que Yun Yuanfeng ait raccroché le téléphone, il se tourna vers Chen Lixue, qui le regardait avec impatience. « Yun Xi a dit que puisque tu l’as élevée pendant plus de dix ans, tu mérites au moins d’être félicitée pour tes efforts. Tu n’as pas d’autre endroit où rester à Jingdu, alors tu peux rester dans la maison de notre famille pour le moment. Cependant, à partir d’aujourd’hui, nous devons établir des règles. Si une telle chose se reproduit, même si Yun Xi intercède pour vous, cette affaire ne sera pas balayée d’un revers de main. C’est compris ? »

« Yuanfeng, tu vas les laisser s’en tirer comme ça ? Et si la famille Han vient ici ? Pense à ta carrière, tu ne peux pas te laisser entraîner par elles. »

« C’est assez, considérez cette affaire comme réglée. La famille Han n’osera pas nous faire quoi que ce soit. » Yun Yuanfeng fit un geste de la main pour empêcher Liang Xiuqin de continuer.

Avec un air suffisant, Chen Lixue regarda Liang Xiuqin, qui était pleine de colère. Cette fois, elle avait encore gagné !

____ 

N’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires et à laisser une réaction pour que je sache si l’histoire vous plaît.

____



Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 685 : Il était tout simplement stupide Menu Chapitre 687 : La prospérité de ce monde n’est rien en comparaison de la perspective de t’avoir à mes côtés