Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 681 : Si éhontée à un si jeune âge
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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« Eh bien, alors, avec quelles capacités comptes-tu y aller ? »

Il pouvait être considéré comme l’indulgence de toutes les manières. Aussi longtemps que c’était ce qu’elle voulait, il la satisfairait autant que possible.

« Je ne sais pas. Je trouverai un moyen, mais je ne peux pas t’accompagner quoi qu’il arrive. »

« D’accord, mais tu dois quand même essayer la robe. J’ai demandé au majordome d’envoyer une invitation à la famille Yao. S’il y a une invitation, ta deuxième tante te laissera certainement venir avec elle. »

« … » Il avait déjà communiqué avec la famille Yao pour lui permettre d’assister au banquet en utilisant la situation de la famille Yao. Avec une telle attention de sa part, que pouvait-elle dire d’autre ?

Mu Feichi montra la blessure à l’épaule. « Devrais-je changer le bandage pour toi ? »

Yun Xi rencontra ses yeux romantiquement ambigus et rougit soudainement. « Je vais rentrer et me changer moi-même. Je n’ai pas besoin que tu le fasses pour moi. »

« Comment peux-tu savoir si c’est la bonne taille si tu ne l’essayes pas ? »

« Ling Jing connaît ma taille. Jeune maréchal, oublie tes pensées perverses. »

« Y a-t-il des pensées perverses ? » Mu Feichi leva les sourcils, se retourna et s’assit sur le canapé à côté d’elle. Les jambes croisées, il la regarda gentiment.

Yun Xi le regarda sans voix, puis remit la robe dans son sac. « Je vais me changer dans la robe après mon retour à la maison. Fais-moi savoir si Feng Yi a des nouvelles. »

« S’il y a des nouvelles de lui, tout le monde à Jingdu sera déjà au courant. As-tu encore besoin que je te prévienne ? »

« Bien sûr. » Yun Xi hocha la tête. Dès qu’elle eut fini de parler, le majordome sortit du salon et lui tendit le téléphone de Mu Feichi. « Jeune Maître, il y a un appel. »

Mu Feichi répondit au téléphone, et la voix de Feng Yi pouvait être entendue de l’autre côté du téléphone. « Patron, c’est fait. Les photos ont toutes été prises. »

« D’accord, trouve un média à qui l’envoyer et qui le distribuera. Tu dois savoir quel média communiquera avec tous les autres médias à Jingdu en même temps, n’est-ce pas ? »

« Bien sûr, c’est mon domaine. Si je ne le savais pas, je serais risible. »

« Ensuite, trouve un média qui l’exposera à une couverture maximale. Je veux le voir sur toutes les dernières nouvelles demain matin. »

« D’accord ! Pas de problème, patron. »

Mu Feichi raccrocha et hocha la tête à Yun Xi. « Voilà. C’est fait. Tu peux attendre un bon spectacle. »

« D’accord ! Je vais informer Han Yaotian de tes préférences à l’avance. S’il n’y a rien d’autre, je vais rentrer chez moi maintenant. »

« Pourquoi, tu ne veux pas rester ici un moment ? Pars après le déjeuner. »

Cela dit, il se leva et descendit pour dire au majordome de commencer à préparer le déjeuner. Il ne lui avait pas donné la chance de refuser du tout.

Yun Xi leva les sourcils. L’humeur apparemment malheureuse de quelqu’un pourrait vraiment geler les gens à mort.

La tâche avait été accomplie. Selon ses attentes, Liang Xinyi ne manquerait certainement pas une si bonne occasion, donc elle irait certainement à Han Zhongteng pour de l’aide.

Elle n’avait vraiment pas besoin de s’inquiéter. Son plan allait fonctionner à la perfection.

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Tôt le lendemain matin, Yun Xi et sa deuxième tante avaient pris rendez-vous pour aller acheter des produits du Nouvel An, et, à la fin, elles avaient acheté des choses qui ne faisaient pas partie du plan.

Cette année, elle devait rendre visite à la famille Jiang, à la famille Chen et à la famille de Mu Feichi pour saluer le Nouvel An. Il ne pouvait pas y avoir de pénurie de cadeaux.

Cependant, elle entendit des bruits de dispute et Liang Xinyi pleurer d’en bas avant même de descendre les escaliers.

Les sons de la dispute étaient naturellement de Liang Xiuqin et Chen Lixue. Yun Xi se tenait sur les escaliers et écouta pendant un moment. C’était à propos de ce qu’elle avait arrangé pour que Feng Yi expose.

Il avait été si efficace qu’il avait surpassé ses attentes.

Liang Xiuqin se sentait joyeuse maintenant, et ses mots étaient extraordinairement méchants.

« Il y a quelques jours, tu te vantais du fait que ta fille avait des liens avec la famille Han. Qui sait comment elle a établi des liens avec la famille Han ? Il s’avère qu’elle échangeait du sexe contre des liens. Elle est si honteuse à un si jeune âge. Maintenant le scandale s’est répandu dans tout le complexe de villa. Toute notre famille a été humiliée. Je pense que vous devriez retourner à la campagne, au lieu d’être des existences honteuses ici. »

« Liang Xiuqin, tais-toi ! Penses-tu que ta fille est si impressionnante ? Cette petite salope de Yun Xi n’est-elle pas aussi liée à la famille Han ? Comment se fait-il qu’il n’y ait rien de louche entre eux ? Et l’héritier aîné de la famille Chen ? Penses-tu que tous les yeux sont aveugles ? »

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