Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 613 : Je pense qu’il est une horreur, ce n’est pas une raison suffisante ?
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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« Su Hang n’est pas là, alors prends soin de toi. Puisque le corps humain peut être porteur du virus, tu dois être plus prudent. Ne le touche pas et ne t’approche pas trop. Essaye de ne pas exposer de plaies ouvertes. Le sang propagera le virus plus rapidement que les autres moyens. Tu es le commandant et le jeune maréchal, alors tu ne devrais pas te précipiter tout seul. »

À l’autre bout de l’appel vidéo, Mu Feichi s’assit tranquillement, écoutant le doux harcèlement. Sa voix douce ressemblait à une rafale de vent qui laissait de profondes empreintes de tendresse dans son cœur.

« D’accord, quoi que dise mon bébé, je t’écouterai. »

C’était toujours bon de voir quelqu’un agir de façon servile, mais cela venait de Mu Feichi lui-même. Ses paroles sonnaient à la fois douces et flirtantes. Yun Xi ne pouvait s’empêcher de se sentir romantiquement excitée !

« Je suis sérieuse », dit-elle. Son attitude obéissante la faisait se demander s’il l’écoutait vraiment.

« Je suis sérieux aussi. »

Yun Xi hocha la tête depuis qu’il l’avait entendue. Elle décida de cesser de le harceler et changea le sujet pour quelque chose de plus sérieux.

« Jeune maréchal, j’ai entendu dire que tu rendais les choses difficiles pour Han Zhongteng ? »

Mu Feichi rétrécit légèrement les yeux. Dès qu’elle mentionna Han Zhongteng, il put deviner qui lui avait déjà parlé.

« Hmm, je pense qu’il est une horreur. N’est-ce pas une raison suffisante ? »

Yun Xi hocha la tête. S’il n’était pas heureux, il pourrait s’en prendre à n’importe qui. Après tout, il avait de l’argent et du pouvoir à abuser.

« Je suis simplement curieuse. Tu ne fais pas partie du monde des affaires, alors pourquoi t’y prends-tu de façon aussi sinistre ? »

Plusieurs projets de Han Zhongteng avaient déjà été arrachés. Yun Xi n’était pas sûre des détails, mais Mu Feichi devait être un homme compétent et puissant pour pouvoir voler les projets d’un homme d’affaires chevronné.

Il était clairement un soldat digne, mais sous cet extérieur se trouvait un homme aux pratiques commerciales rusées et impitoyables.

« Bébé, tu oublies que même si je suis un soldat, je suis aussi le chef de la famille Mu. Tu comprendras à quel point l’entreprise de la famille Mu est grande quand tu en seras la maîtresse. Chaque fois que tu voudras créer des problèmes, peu importe à quel point, je serai ton soutien. Qu’en penses-tu ? »

Ses paroles étaient douces et belles, mais aussi arrogantes et sensuelles.

N’importe quelle autre femme sauterait sur cette occasion de devenir la maîtresse d’une famille puissante, mais pour Yun Xi, ces mots portaient une pression invisible.

L’examen du commandant Mu lui avait fait prendre conscience de ses lacunes et de son infériorité.

Maintenant, elle savait qu’elle n’avait pas les qualifications pour être avec lui, encore moins rester à ses côtés et rire fièrement avec lui.

Elle n’oserait même pas rêver d’un tel rêve.

« Je ne crois pas. Pour que ta suggestion se réalise, je devrai mettre ma vie entre les mains du commandant Mu. Et si j’y pense, je chéris beaucoup plus ma vie ! »

« Es-tu une lâche ? Tu n’as pas le courage de te tenir à mes côtés, mais tu veux combattre l’ennemi avec moi ? »

« C’est différent. Quoi qu’il arrive, je ne veux pas mourir jeune. »

« Si tu es à mes côtés, même le ciel ne nous tombera pas sur la tête. De plus, tu as déjà passé le test, alors tu n’auras pas à le refaire. »

Et si Mu Chongli faisait venir Yan Shuo ? Quiconque faisait souffrir et endurer à sa femme le martyre mériterait d’aller en enfer !

« Il est préférable que cela ne se produise pas. Il suffit de rendre les choses difficiles pour Han Zhongteng. Si la famille Han est réprimée trop durement, ils vont remarquer la famille Zhao. Je ne veux pas que Yumo soit leur cible. Elle n’est pas assez forte pour combattre l’ennemi maintenant. »

En entendant ses paroles, Mu Feichi fronça légèrement les sourcils. « Tu prends toujours soin des autres, mais pourquoi ne t’inquiètes-tu jamais pour toi-même ? »

« Tu peux considérer que je m’inquiète de moi-même. Si la famille Zhao n’a pas de problèmes, je n’en aurai pas non plus. »

Yumo avait été sa première amie après sa renaissance ; il était inévitable que Yun Xi s’inquiète un peu plus pour elle.

« D’accord, je vais t’écouter. Mon plan était de donner une leçon à Han Zhongteng. Mais après ce que tu viens de dire, j’arrêterai ce que je fais. Han Zhongteng a déjà perdu deux projets. Han Yaotian ne le laissera pas partir facilement. Bientôt, le mauvais sang entre les cousins va exploser, et tout ce que tu auras à faire est de t’asseoir et profiter du spectacle. »

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