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Chapitre 500 : Conséquences irréversibles
Chapitre 499 : Fais ce que tu veux Menu Chapitre 501 : J’aime te voir maltraiter les salauds

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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Zhao Yumo retourna à l’école, apportant un message à Yun Xi.

Lorsqu’ils avaient fouillé l’institut de recherche, ils avaient découvert que les échantillons de celle-ci avaient été volés.

Mu Feichi avait déjà confié toutes ces affaires à Jiang Chenghuan. Il avait envoyé quelques personnes pour aider, et Jiang Chenghuan s’était occupé du reste.

« Lorsque le second maître Jiang a amené les experts pour fouiller l’institut de recherche, les responsables de l’institut s’étaient déjà enfuis et les échantillons avaient déjà été volés. Ils sont toujours à la recherche de l’endroit où se trouvent les échantillons. »

« Dans ce cas, Lin Sen devait avoir un complice. C’est remarquable qu’il se soit enfui si tôt après avoir reçu la nouvelle. Je ne sais pas si Su Hang a déjà développé des anticorps à partir de l’échantillon. C’est un objet tellement dangereux que toute négligence peut avoir de terribles conséquences. »

Si ces conséquences irréversibles se produisaient, Mu Feichi devrait être en première ligne.

Yun Xi ne put s’empêcher de baisser les yeux et d’y réfléchir attentivement. À ce moment de sa dernière vie, rien de grand n’était arrivé à la famille Mu, mais là encore, elle ne savait rien de Mu Feichi à cette époque.

Elle ne savait pas ce qu’il avait vécu, alors si certaines choses arrivaient, elle ne serait pas préparée.

Après tout, sa renaissance avait également changé la trajectoire de la vie de nombreuses personnes.

Même si tout allait toujours dans la même direction, beaucoup de choses étaient devenues différentes.

« L’échantillon doit être récupéré rapidement. Sinon, quelque chose de grave va se produire. »

« Le Second Maître Jiang a déjà demandé aux gens de le trouver, donc nous ne pouvons qu’attendre des nouvelles pour le moment. »

Yun Xi se sentait mal à l’aise à ce sujet, elle avait donc envoyé un message à Mu Feichi.

Après avoir envoyé le message, elle avait réalisé que Mu Feichi, en tant que chef de la famille Mu, aurait bien sûr ce sens le plus élémentaire de la crise, donc elle s’inquiétait vraiment pour rien.

Lorsqu’il s’agissait de domaines inconnus échappant à son contrôle, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir toutes sortes d’inquiétudes.

Mu Feichi s’était ensuite rendu compte de son inquiétude et l’avait rappelée, mais avec des nuances de taquinerie et de flirt ambigu dans le ton.

« Bébé, tu t’inquiètes du fait que s’il y a des conséquences imprévisibles, moi, le jeune maréchal Mu, je devrai être en première ligne de la réponse ? Tu as peur qu’il m’arrive quelque chose, n’est-ce pas ? »

« Dégagez ! Qui s’inquiète pour vous ? Je suis juste inquiète pour les personnes innocentes qui seront blessées. »

« Je suis si flatté que tu t’inquiètes autant pour moi, bébé. »

« … » Les deux n’avaient jamais été sur la même longueur d’onde sur ce genre de sujet.

À chaque fois, elle avait l’impression qu’on se moquait d’elle. Ce n’était pas facile d’être un dragueur expérimenté comme lui.

« Je viens de demander à ton professeur principal, et il y a trois jours de vacances pour le Nouvel An. Est-ce que tu veux sortir le soir du Nouvel An ? »

« Le réveillon du Nouvel An ? » Yun Xi se figea, puis baissa les yeux sur le petit calendrier sur la table. Nous étions déjà le 29 décembre, il restait donc deux jours avant le réveillon du Nouvel An.

Ce n’est qu’alors qu’elle s’était souvenue que dans sa vie précédente, les gens avaient tenu à organiser un compte à rebours entre le dernier jour de l’année et le début de la nouvelle année.

Pendant cette année dans sa dernière vie, elle avait révisé ses devoirs à la maison, et le compte à rebours n’avait rien à voir avec elle.

Fermant les yeux sur les événements extérieurs, elle se contentait de lire des livres pour réviser son examen d’entrée à l’université.

Durant ces quelques années de sa dernière vie, elle était toujours occupée au laboratoire, et Han Yaotian ne l’avait jamais accompagnée au sommet des immeubles pour faire le compte à rebours ou regarder les feux d’artifice.

Pendant le compte à rebours du Nouvel An de ces années-là, où était-il ?

Quant à savoir s’il était entouré de belles femmes et s’il buvait gaiement, elle ne voulait même plus le savoir.

Il était maintenant un pion dans son jeu, et quant à savoir comment elle voulait que cela se passe ou non, tout dépendait de sa volonté.

Lorsqu’on lui avait soudainement demandé où elle voulait aller pour le réveillon du Nouvel An, elle n’avait pas su répondre.

« Oui, où veux-tu aller pendant ces trois jours ? Si tu veux aller à l’étranger, viens chercher un passeport avec moi après le cours aujourd’hui, et je demanderai à quelqu’un de te faire entrer par la porte de derrière. »

« Non, c’est ma première année à Jingdu. Je veux passer le réveillon du Nouvel An à Jingdu. »

C’était aussi la première année de sa renaissance, alors elle voulait rester dans ce pays.

Tout allait recommencer à zéro.

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