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Chapitre 477 – Un autre cristal de bête spirituelle
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Un sac de riz spirituel suffisait à une famille de trois personnes comme la sienne pour manger pendant un mois… Par conséquent, 100.000 sacs tiendraient 100.000 mois. Si on devait les convertir en années, il en avait pour plus de 8 millénaires.

La Chine avait environ 5.000 ans d’histoire. Ces 100.000 sacs de riz spirituel pourraient permettre à sa famille de se nourrir depuis le début de l’histoire de la Chine jusqu’à ce jour. Et encore, il leur en resterait beaucoup. N’en auraient-ils pas assez pour une centaine de vies ?

Après avoir vu que Song Shuhang était effrayé par si peu de sacs de riz, le visage du vendeur se crispa. Il rit bêtement et dit : « Jeune homme. En l’honneur du Vénérable Blanc, je peux diminuer la quantité minimale que vous pouvez commander. »

Il vendait généralement 100.000 sacs au minimum. Il n’aimait pas trop en vendre en petite quantité et faire peu de profit d’un coup… Mais il fallait aussi prendre en considération à qui il avait affaire ! Il était face au Vénérable Blanc. S’il pouvait établir une bonne relation avec lui, cela vaudrait vraiment la peine de faire un petit sacrifice.

– « Vraiment ? Jusqu’à combien ? » demanda joyeusement Song Shuhang.

– « 10.000 sacs ? » Le commerçant estima être déjà très généreux. Il avait fait un effort en réduisant au dixième d’un coup. Pour lui, 10.000 sacs étaient vraiment le minimum. S’il continuait, quelle différence avec une vente au détail ?

Cependant, c’était encore trop pour Song Shuhang.

À ce moment-là, le Vénérable Blanc intervint. « Ne vous inquiétez pas, Shuhang. Vous pouvez offrir une partie de ce riz spirituel à vos parents et amis. Le reste, revendez-le. Certains cultivateurs solitaires et des organisations qu’ils dirigent en ont vraiment besoin. Vous pouvez faire un profit considérable. De plus, 10.000 sacs ne coûtent qu’une seule pierre spirituelle de Cinquième Rang ! C’est un prix tout à fait raisonnable. »

– « C’est une bonne idée ! » Mais peu de temps après, il força encore un sourire. « Mais 10.000 sacs, c’est encore trop. »

De plus, il n’avait pas l’intention d’avoir tant de contacts avec d’autres cultivateurs solitaires sur le court terme. Revendre du riz spirituel à des inconnus ne l’attirait pas.

– « Dans ce cas, jeune ami… Combien de sacs voulez-vous acheter ? » Tous les muscles du vendeur étaient crispés.

– « Euh… C… Mille ? » Song Shuhang cligna des yeux.

Au début, il avait pensé dire cent. En voyant la tête de son interlocuteur, il décida d’y ajouter un zéro.

Un millier de sacs de riz spirituel ? Le propriétaire de l’étal ne savait pas quoi dire. Il était sans voix. Allait-il vraiment se transformer en vendeur au détail ?

Mais après avoir jeté un coup d’œil à l’Aîné Blanc, il serra les dents.

– « Jeune ami Daoïste… Je vous traiterai comme un ami. Si vous voulez 1.000 sacs, je vous donnerai 1.000 sacs ! Pour 1000 sacs de riz spirituel, une pierre de Quatrième Rang ! »

– « Aîné Blanc. Je vais vous emprunter une pierre spirituelle de Quatrième Rang ! » déclara héroïquement l’étudiant.

Le Vénérable rit et donna au commerçant le prix demandé.

– « Merci ! Pouvez-vous me dire où livrer la marchandise ? Dès la fin de cette session du marché, j’enverrai les 1.000 sacs à l’adresse indiquée. » Le vendeur essayait de s’arracher un sourire amical et honnête.

Le Vrai Maître y réfléchit un instant… Euh… À quelle adresse dois-je envoyer tout ça ?

Mille sacs de riz… Certainement pas chez moi ! Ils rempliraient littéralement toute la maison !

– « Vous n’avez pas d’adresse où les envoyer ? » demanda Blanc.

– « Non… »

– « Donnez-moi un instant. » Le Vénérable prit son téléphone portable et envoya un message sur le Groupe des Neuf Provinces #1. « Qui a un entrepôt propre et vide dans la ville de Wenzhou ? J’ai besoin d’un endroit pour stocker 1.000 sacs de riz spirituel. »

Très vite, quelqu’un le contacta en privé.

C’était la Fée Luciole, qui était alors mise en sourdine. Par conséquent, elle n’avait d’autre choix que de lui envoyer un message personnel. « Aîné Blanc, j’ai plusieurs étages d’un immeuble vide à Wenzhou. Cela devrait suffire pour 1.000 sacs de riz spirituel. Je vous envoie immédiatement l’adresse. »

Ce qu’elle fit aussitôt.

– « Voilà. » Vénérable Blanc sourit. Il nota l’adresse sur le formulaire.

Après l’avoir vérifié, le propriétaire de l’étal déclara aimablement : « Ce fut un plaisir de faire affaire avec vous ! »

En même temps, il leur remit sa carte de visite.

Ces mille sacs ne le préoccupaient pas. Remettre ses coordonnées au Vénérable Blanc était bien plus important. Il pourrait ainsi se lier avec lui. Si l’Aîné avait besoin de riz spirituel ou d’autres choses similaires, il penserait à lui et le contacterait, faisant ainsi prospérer son entreprise.

– « Plaisir partagé. » Le Vénérable sourit et rangea la carte.

De son côté, le véritable acheteur, Song Shuhang, fut complètement ignoré.

❄️❄️❄️

Maintenant, je dois au Vénérable Blanc une pierre spirituelle de Quatrième Rang ! pensa l’étudiant.

Après en avoir fini avec le riz…

– « Venez avec moi. » Le Vénérable sourit et dit à Song Shuhang et à Douce Plume : « Je vais vous amener dans un certain endroit. Là, vous trouverez des choses qui vous conviennent parfaitement. »

Ensuite, il guida le duo vers le centre du marché. Ils s’arrêtèrent tous les trois devant un étal.

Cependant, il n’y avait personne, ni aucun objet.

– « Hein ? C’est vide ? » Blanc fronça légèrement les sourcils. Puis il demandait au propriétaire d’un étal voisin : « Cher ami, pouvez-vous me dire où est allé le vendeur ? »

– « Oh ! Bonjour Aîné Blanc. En fait… Je n’ai rien vu à vendre ici depuis l’ouverture du marché. »

– « Tsk, il s’est échappé, ce peureux, » marmonna l’Aîné.

Pour une raison ou pour une autre, le commerçant avait été effrayé par le Vénérable et s’était rapidement enfui après avoir rassemblé ses marchandises.

Il y a vraiment des hommes d’affaires qui ont peur de leurs clients ? Song Shuhang ne savait pas s’il devait rire ou pleurer.

Il jeta un coup d’œil à la marchandise de l’homme qui venait de les renseigner.

Les produits mis en vente étaient très variés. Il y avait des armes, des armures, des pilules médicinales, des talismans, etc.

Le regard de Song Shuhang se posa rapidement sur un bijou.

Il sentit une explosion de puissance en provenir, quelque chose de différent de l’énergie pure à l’intérieur des pierres. Celle-ci était mêlée de l’aura des bêtes.

Encore cette sensation ?

Hormis l’apparence, ce bijou et la perle accrochée au cou de la femme d’affaire lui donnaient le même sentiment.

Il le pointa du doigt et demanda : « Qu’est-ce que c’est ? »

– « Bon choix, » sourit le vendeur chaleureux. « On l’appelle “cristal de bête spirituelle.” Chaque fois qu’une bête spirituelle est sur le point de mourir, il y a une petite chance qu’un cristal se forme à l’intérieur de son corps. Toute son énergie spirituelle s’y rassemble alors. C’est un excellent objet. »

– « Oui, c’est un excellent objet… consommable ! » La tête de Douce Plume dépassa de derrière Song Shuhang. Ensuite, elle dit avec un sourire : « Bien qu’il y ait un peu d’aura de bête à l’intérieur, l’énergie y est très pure, à peine inférieure à celle des pierres spirituelles. Mais il est regrettable que cette puissance ne puisse être extraite. Pas le choix, il faut manger ce cristal. »

– « Haha ! » rit jaune le commerçant.

– « Combien de pierres spirituelles pour l’obtenir ? » demanda le Vénérable Blanc.

– « Une de Quatrième Rang. »

– « Vendu ! » Le Vénérable Blanc leva deux doigts vers Song Shuhang. « Maintenant, vous me devez deux pierres spirituelles de Quatrième Rang. »

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