Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 394 : Lui demander de s’excuser équivaudrait à déshonorer le jeune Maréchal Mu
Chapitre 393 : La raison de son retour dans la famille Yun Menu Chapitre 395 : Ne jamais laisser sa seule et unique jusqu’à ce que la mort les sépare

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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Mu Feichi s’était attendu à ce qu’elle monte à la montagne pour lui demander de l’aide après les événements de la journée, aussi avait-il fait attendre Qi Yuan pour l’emmener.

Si elle était vraiment allée chez la famille Chen pour demander de l’aide, avec la personnalité jalouse de Mu Feichi, il aurait probablement fait du grabuge.

Yun Xi et Qi Yuan venaient d’atteindre le sommet de la montagne quand elle remarqua qu’un hélicoptère était garé sur le tablier près de la résidence de la famille Mu.

De loin, Yun Xi pouvait voir Mu Feichi debout à côté de l’hélicoptère. Vêtu d’un long manteau de laine bleu-vert, il était particulièrement attirant.

Sous son manteau, il portait un pantalon noir et des chaussures décontractées. Il avait des gants en cuir sur les mains. Ses lunettes de soleil couvraient la majeure partie de son visage, ne révélant que les contours froids de son menton et son beau profil.

Une main dans sa poche, il leva les yeux et la regarda. C’était évidemment un mouvement très aléatoire, mais son air distant était difficile à ignorer.

Il avait toujours eu chez lui un sens insondable du calme et du sang-froid dû à son expérience et à son âge.

Ses moindres gestes et mouvements témoignaient de la sophistication et de l’élégance de son éducation au sang bleu.

C’était un homme qui rendait les gens jaloux.

Yun Xi s’avança et jeta un regard plus attentif à sa tenue à la mode. Elle se retourna quand elle vit à quel point il était beau.

C’était la première fois qu’elle le voyait porter une couleur aussi vive. La couleur bleu-vert de son manteau était encore plus vive que sa doudoune.

Si quelqu’un les avait vus ensemble, il aurait pensé qu’ils s’habillaient en couple.

En voyant qu’elle le fixait, Mu Feichi se pencha vers elle avec un sourire. Cachés derrière les lunettes de soleil, ses yeux malicieux étaient joyeux.

Il enleva ses lunettes de soleil et ses yeux sombres rencontrèrent audacieusement ses yeux légèrement troublés.

« Bébé, puisque je suis si beau et irrésistible, si tu veux, je peux te laisser me dévorer. »

« Goûter quoi ? Je viens de finir mon petit-déjeuner, je n’ai pas faim ! »

Dans une colère moqueuse, Yun Xi leva sa main et repoussa son beau visage. Il était un tel dragueur pervers.

On dirait que c’est vrai que depuis les temps anciens, les sentiments profonds ne sont pas suffisants pour satisfaire les gens, mais les phrases de drague font que les gens se sentent aimés.

S’il s’agissait d’une autre fille, elle aurait probablement déjà hissé le drapeau blanc contre son irrésistible flirt.

Mais elle n’était pas une fille ordinaire, et elle n’allait pas tomber dans son piège de séduction si facilement.

« Qui est celle qui m’a fixé si intensément comme si elle voulait enlever tous mes vêtements pour me dévorer ? ».

« Vous vous trompez ! Comment pourrais-je être aussi vorace ? »

« Aha ! » Mu Feichi hocha la tête solennellement. « Quand tu m’as regardé à l’instant, j’ai eu peur que tu ne te jettes soudainement sur moi. Les autres s’embrassent dans des voitures, mais nous pourrions nous embrasser dans une cabine d’avion. »

Yun Xi ignora sa taquinerie et regarda l’hélicoptère derrière lui sans changer d’expression. « Où allez-vous ? »

N’attendait-il pas qu’elle vienne en haut de la montagne pour demander de l’aide ? Il s’agissait manifestement d’une préparation à une sortie.

« Je veux t’emmener quelque part. »

« Je ne peux pas. Les problèmes de ma famille ne sont pas encore réglés, alors comment pourrais-je être d’humeur à courir partout avec vous ? »

« Il s’agit simplement pour moi de faire passer le mot. Si j’ouvre la bouche, qui oserait me désobéir ? »

La pensée qu’elle ne pensait pas qu’il était aussi important que les affaires désordonnées de sa famille le remplissait de colère.

« Oui, je sais que vous pouvez faire ce que vous voulez, mais ma famille était en faute ici. Alors ne devrais-je pas aller à leur porte pour m’excuser ? »

« Ce n’est pas toi qui étais en faute, alors de quoi vas-tu t’excuser ? ». Mu Feichi la traîna dans l’hélicoptère.

Peu importe comment elle se débattait, il l’a vaincue, ferma la porte et la verrouilla. Puis il jeta le casque anti-bruit sur ses genoux.

« De plus, ils ne méritent pas tes excuses. »

Elle était la future Madame de la famille Mu, son statut était donc extraordinaire !

Et si Ai Zhujun était une aînée ? Forcer sa digne épouse à se rendre à leur porte pour s’excuser revenait à indiquer que lui, Mu Feichi, ne pouvait même pas protéger sa propre femme.

C’était en fait déshonorer le digne Jeune Maréchal Mu de la famille Mu.

« Comment ça, ils ne le méritent pas ? Arrêtez de faire l’idiot ! »

En ce moment, sa famille attendait toujours sa réponse. Elle n’était pas d’humeur à s’amuser avec lui.

« C’est toi qui devrais arrêter de déconner. Qi Yuan s’occupera de cette affaire, et, puisque je te l’ai promis, je ne laisserai pas ta famille se faire expulser du complexe de villas. Bébé, si tu continues à faire des bêtises, tu devras aller t’excuser à leur porte toute seule. »

Yun Xi serra les dents. « Le jeune Maréchal Mu a vraiment maîtrisé l’approche de la carotte et du bâton. »

Mu Feichi lui tapota la tête comme si elle était un animal de compagnie et sourit doucement. « De même pour toi ! »

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