Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 371 : Si impressionnante !
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Dès que la silhouette de Feng Yang avait disparu le long de la route de montagne, Mu Feichi avait explosé dans une crise de jalousie.

Sa voix amère résonna derrière elle : « Je ne m’attendais pas à ce que tu sois capable de gérer si facilement l’exceptionnellement arrogant Jeune Maître Feng. C’est impressionnant ! »

Yun Xi se figea. Sentant la tension, elle se tourna lentement vers lui.

« Je ne m’attendais pas à ce que je puisse offenser le jeune maréchal Mu si arrogant si facilement. Comme je suis impressionnante ! »

Assis sur le siège passager, Feng Rui ne put s’empêcher de lever le pouce de Yun Xi en entendant cela.

Elle était la première et la seule à avoir osé parler au jeune maréchal Mu comme ça. Quelle personnalité unique !

Les deux s’étaient regardés en silence, sans jamais reculer.

Les yeux profonds qu’il posait sur elle semblaient étranges, imprévisibles, et il était difficile de savoir ce qu’il pensait en ce moment.

Dans son regard, il y avait du déplaisir, de l’irritation et même de l’impuissance envers elle.

Comme elle avait eu une relation ratée dans sa vie précédente, si elle n’était pas capable de saisir les insinuations des mots amers de Mu Feichi, cela montrerait qu’elle n’avait rien appris de sa vie précédente.

Cet homme dominateur avait un tempérament imprévisible qui rendait difficile la lecture de son esprit.

Il n’avait jamais dit explicitement s’il l’aimait bien, et au contraire, il ne faisait que la taquiner ou la bousculer.

De plus, il lui avait directement offert le poste d’épouse de la famille Mu sans lui demander ce qu’elle en pensait. Il lui avait simplement ordonné de l’accepter.

Cet homme dominateur, qui depuis qu’elle était arrivée à Jingdu et qu’elle ne voulait vraiment pas s’engager avec lui jusqu’à maintenant, semblait avoir été lié à elle par le destin.

Il lui avait appris à devenir plus forte, l’avait sauvée du danger, et avait même fait des pieds et des mains pour lui offrir un cadeau d’anniversaire après qu’elle ait été blessée. Elle ne pourrait jamais rembourser cette gentillesse.

Au bout d’un moment, Mu Feichi renifla doucement, et il semblait y avoir des relents de compromis dans sa voix morose.

« Oui, tu es devenue impressionnante ! L’héritier aîné n’était pas suffisant, alors ayons aussi le jeune maître de la famille Feng. »

Cet homme fier fumait de colère à l’intérieur et était submergé par la jalousie, il n’était donc pas certain qu’il exprime ses griefs ou qu’il évacue simplement sa colère.

D’un air renfrogné, Mu Feichi leva la main et pinça ses tendres joues. « Jeune fille, avec tes pieds dans tant de bateaux, je ne pourrai pas te sauver si les bateaux chavirent un jour. »

Il se sentait intérieurement lésé, mais il n’avait pas le cœur à faire quoi que ce soit avec ses mains.

S’il la blessait accidentellement, ne serait-ce pas lui qui ressentirait de l’angoisse ?

Yun Xi avait repoussé sa main de son visage et avait esquissé un sourire insincère.

Elle s’était défendue avec arrogance. « Tout d’abord, l’héritier aîné me doit d’avoir sauvé sa vie, et ensuite, Feng Yang et moi ne sommes que des connaissances. Nous ne sommes même pas des amis. Par conséquent, que diable voulez-vous dire par mes pieds dans tant de bateaux ? Quand ai-je mis mes pieds dans tant de bateaux ? »

Même s’il voulait vraiment dire qu’elle avait mis les pieds dans un bateau, le seul bateau sur lequel elle avait mis les pieds était le grand bateau de Mu Feichi !

Qui plus est, c’était un bateau pirate dont elle ne pouvait pas s’échapper même si elle le voulait.

Mu Feichi avait légèrement plissé les yeux. Était-elle en train de lui expliquer quelque chose ?

Très bien, puisqu’elle savait au moins comment le lui expliquer, elle n’était pas une cause perdue.

Mu Feichi fronça les sourcils et regarda la petite fille têtue qui se tenait devant lui. Son visage clair et lisse était rouge à cause du froid, et ses yeux pétillants étaient encore plus brillants que le soleil.

Comme le dit le proverbe, chaque chose a son vainqueur, et il en avait enfin fait l’expérience !

Retirant sa main, Mu Feichi mit ses mains dans ses poches et revint sur le sujet. « Veux-tu que je demande à quelqu’un de s’occuper de cette affaire ? »

Après tout, il ne voulait pas qu’elle provoque la famille Feng… et il était encore moins disposé à ce qu’elle entre en contact avec Feng Yang.

Les hommes de son âge étaient toujours les plus attirants pour les jeunes filles impressionnables et naïves qui commençaient tout juste à développer des sentiments romantiques.

Comparés au beau Chen Yichen extraverti qui venait d’entrer dans la société, ces hommes de 25 ans étaient plus mûrs et plus sûrs d’eux, ayant déjà vécu quelques années dans la société.

Sa petite fille gâtée n’était même pas encore tout à fait mûre, alors il ne serait pas tendre avec quiconque oserait essayer de la lui arracher.

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