La nouvelle belle-fille d'une vilaine famille | The Villain Family's New Daughter-In-Law
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Chapitre 20 –
Chapitre 19 – Menu à suivre...

Sans réponse à la lettre d’accord envoyée au comte Orbia, un homme de l’autodérision pour avoir secrètement fait passer quelqu’un par-dessus le mur du château de Bellstein sans crainte.

S’il avait exigé une énorme somme d’argent en échange du mariage de Luciel, il aurait pu prétendre ne rien savoir. Cependant, il semblait que le comte était pire que prévu, ou bien qu’il voulait se suicider.

Même à un tel risque, essayez-vous de sortir cette enfant ?

Il était clair que Luciel s’était enfuie de cette maison, ou pour être plus précis, du comte. En fin de compte, l’objectif du comte était Luciel, et il ne tolérerait rien de tout cela. Lentement, sa patience s’écoulait.

Louivid ouvrit le tiroir, sortit un cigare qui n’avait pas été allumé, et le mit dans sa bouche.

C’était il y a bien longtemps, mais lorsqu’il s’énervait, il se sentait un peu mieux quand il mordait quelque chose.

Doit-il revenir au temps de l’expansion du territoire ? Les vassaux avaient dit que la fatigue du peuple s’accumulait pendant la guerre, mais lui, c’était le contraire.

Comment pouvait-il oublier ce plaisir ?

Le duc baissa lentement ses yeux. Il se tourna de nouveau vers le rapport en se souvenant de la demande du trésorier de traiter tous les documents en attente.

Byon, byon, byon

Une demi-journée après s’être enfermé dans son bureau, il se réveilla d’une petite sieste. Les yeux fins de Louivid s’ouvrirent au son étrange qui sortait d’un son peu familier.

“Qu’est-ce que c’est ? Est-ce qu’un oiseau est venu ?”

Byon, byon, byon.

C’était comme le son de quelque chose allant plus loin. Il se leva du canapé, fronçant les sourcils, comme si c’était gênant.

Click. Dès qu’il ouvrit la porte, il put apercevoir un petit dos.

Il vit une fille avec des cheveux d’un blanc argenté et pur portant une jupe citronnée et flottante lorsqu’elle marche. N’était-elle pas semblable à un petit animal ? Elle portait aux pieds des pantoufles de fourrure blanches et pelucheuses.

Cela avait dû être la cause du bruit qui a frappé les oreilles.

“……”

Thud, thud. *bruit sourd*.

Même si Louivid marchait lentement, les pas de Luciel étaient si petits qu’il a pu facilement la rattraper. Il mit rapidement le cigare qu’il mordait dans sa poche et parla calmement.

“Je t’ai attrapée.”

La grande main du Duc souleva le petit corps de Luciel.

“Oh… D-Duc?”

Luciel se figea, ses bras et ses jambes étaient emmêlés et flottaient dans les airs. Luciel secoua ses pieds ressemblant à une proie prise par un chasseur.

La voix froide de Louivid traversa l’arrière de sa tête.

“…Vas-tu passer sans me dire bonjour?”

“Ah. C’est…”

Sentant le malaise de Luciel, il le reposa au sol.

“Où vas-tu?”

“…J’étais perdue.”

En fait, lorsque le duc n’était pas présent, Luciel avait l’intention d’apporter secrètement une note avec le langage des fleurs. S’ils se croisaient, ils auraient une conversation gênante, donc elle voulait garder le secret le plus longtemps possible.

Cependant, aujourd’hui, pendant des heures, une plaque circulaire avait été accrochée à la porte du bureau du duc.

Eva lui avait dit que si le dragon noir était visible, le duc était à l’intérieur. Donc lorsqu’il était là, elle essayait de le fuir en secret, mais elle ne s’attendait pas à ce qu’il sorte comme cela.

Le duc inclina son corps imposant pour correspondre à la petite taille de l’enfant. Il s’agenouilla et baissa son corps.

“Aimes-tu les choses douces?”

Il le savait à l’avance et ordonna à Éva de remplir la commode de bonbons et de chocolats, mais il prononça ses paroles comme s’il était passé par là.

“…O-oui.”

‘Il s’est souvenu que j’aime les bonbons.’

Elle le connaissait seulement comme une personne froide et effrayante, mais peut-être qu’il avait un côté étonnamment chaleureux caché quelque part.

Louivid, qui regarda les yeux clairs de l’enfant, suggéra.

“Entre, j’ai quelque chose à te donner.”

“…Pour moi?”

Les yeux de Luciel devinrent ronds. Elle réfléchit pendant un moment à ce qu’il fallait faire s’il lui donnait d’autres documents de magasins, mais le Duc dit comme s’il lisait dans ses pensées.

“Tu penses à des bêtises…cela n’a rien d’un document.”

En entrant dans le bureau du Duc, l’odeur de l’encre et du papier la frappa.

Byon, byon, byon.

Bien qu’elle marchait prudemment, la pièce était assez large pour prendre un long moment pour que les petits pieds de Luciel la conduisent quelque part.

“Assieds-toi là.”

“Oui…”

Luciel monta à peine sur le canapé brun et s’assit. À l’appel du Duc, Eva entra en souriant.

“Apportez-moi des boissons et du dessert. Je prendrais du thé.”

“D’accord. Que voulez-vous mademoiselle Luciel ?”

“…Je voudrais aussi du thé.”

En suivant le duc, Luciel commanda avec confiance. Eva expliqua, en levant doucement les yeux au ciel.

“Avez-vous goûté le thé noir?””

Luciel secoua la tête.

“Non, mais le Duc semble toujours le boire.”

Quand Luciel jeta un coup d’œil au Duc, les coins de ses lèvres tressaillirent légèrement.

“Le thé noir sera un peu amer pour mademoiselle Luciel. Que diriez-vous d’un thé aux pommes fait avec du vinaigre de cidre de pomme? C’est doux et sucré, donc il sera plus facile à boire.”

“Alors avec cela.”

Les joues gonflées de Luciel virent au rose.

“Oui, alors je vous apporterai une madeleine au citron qui ira bien avec le thé aux pommes.”

Elle était un peu nerveuse d’être seule avec le Duc jusqu’à ce que le thé soit prêt. Luciel s’assit tranquillement sur le canapé et pensa.

‘Que faisons-nous? C’est tellement gênant… Devrais-je dire que je veux visiter le bureau? Non, peut-être qu’il n’aime pas les gens agiter.’

Alors que Luciel levait les yeux au ciel, le Duc ouvrit la bouche.

“Il n’y a rien à voir dans le bureau pour une enfant.”

Elle posa nerveusement ses mains sur ses genoux, et secoua la tête.

“Non ! Ce n’est rien.”

“……”

‘Ah, ai-je crié non un peu trop fort?’

Luciel, qui pensait timidement intérieurement, parla à nouveau au Duc, qui la regardait tranquillement.

“Il y a une bibliothèque, une salle de jeux, et je suis allée au terrain de jeu.”

“…le terrain de jeu?”

“Oui, le majordome Ellington m’a emmené au terrain de jeu dans les bois. J’ai même pu faire de la balançoire.”

Dit Luciel avec une expression lumineuse, comme si les souvenirs de cette journée étaient vraiment agréables.

“Allons-y ensemble la prochaine fois.”

“Quoi?”

“Allons sur la balançoire ensemble.”

‘Est-ce qu’il vient de me demander d’aller sur une balançoire?’

Luciel fut stupéfaite. À ce moment-là, quelque chose de familier vint dans les yeux de Luciel lorsqu’elle regarda autour de la pièce.

“Oh…”

Il y avait une fleur dans un vase, identique à la jacinthe que Luciel avait laissé.

‘Les a-t-il gardées ?’

La jacinthe blanche pure était aussi claire et fraîche que si elle venait de s’épanouir.

“La jacinthe est jolie.”

“N’as-tu pas dit que c’était la joie du coeur?”

“Ah, oui. Vous vous souvenez toujours de ces mots.”

“Je l’ai ici.”

Le Duc frappa du doigt, la note qu’il avait placée sous le vase vola dans sa main. Et il l’étala joliment.

C’était un mémo avec l’écriture maladroite de Luciel.

“Les fleurs que tu m’a données sont restées telles qu’elles.”

“Comment se fait-il qu’elles soient encore fraîches?”

“Grâce à la magie de conservation.”

Les yeux de Luciel scintillèrent de curiosité. La magie semblait avoir des utilisations infinies. Elle avait tellement honte qu’elle ne considérait la magie que comme un pouvoir pour devenir plus forte.

En regardant les yeux ronds de Luciel, le nez et la bouche, tout était si petit et le Duc murmura qu’elle ressemblait à quelque chose. Luciel regarda aussi le visage du Duc et pensa qu’il ressemblait beaucoup au Kizef adulte.

En y repensant, elle pourrait être rejetée parce qu’il ne voulait pas l’épouser, mais dans ce cas, ce serait bien de connaître le résultat au préalable.

“D-Duc..”

“Hum?”

“Quand pourrais-je rencontrer le jeune maître Kizef ?”

En entendant la question de Luciel, le coin des lèvres du Duc se levèrent légèrement.

“Veux-tu le voir bientôt?”

“…Ce mariage contractuel ne peut être établi qu’avec la permission du Jeune Maître. Je ne peux rien faire d’autre que d’attendre maintenant… Je pense que ce serait un peu triste si j’étais rejetée.”

“Pourquoi?”

“Eh bien, parce que j’aimerai… rester à Bellstein encore plus maintenant.”

“Ne t’en fais pas pour ça. Kizef te verra bientôt.”

“Oui.”

L’expression de Luciel s’éclairait aux paroles du Duc, mais elle pensait au fait que s’il ne l’aimait pas, elle devait être prête à rompre le contrat de mariage.

Ce jour-là, Luciel réalisa quelque chose de nouveau part le thé sucré à la pomme et la madeleine citronnée qui étaient tous deux harmonieux.

Mais au fait que le visage du Duc soit si beau que vous ne vous lasserez jamais de le regarder encore et encore, et qu’elle puisse parler sans trembler maintenant. Bien sûr, cela restait toujours gênant, alors ils dûrent manger du gâteau ensemble pour continuer la conversation.

Luciel prit une grosse bouchée de madeleine, qui était plus grosse que son poing.

“C’est exact. J’étais censé te donner un cadeau.”

Cette fois, au lieu d’apporter l’objet par magie, le duc se leva. C’était agréable de le voir dans une chemise confortable enveloppée autour de son corps serré.

Le Duc ouvrit la porte de la commode sur le mur et fit un signe à Luciel.

“Viens ici et choisis.”

“…Oui.”

Alors qu’elle approchait sans savoir de quoi il s’agissait, elle remarqua que la commode était remplie de bonbons, de chocolats, et de gelées colorées, qui sentaient bon. Luciel réfléchit et ramassa une bouteille transparente pleine de gelées mignonne, et plia sa main en disant merci.

“Très bien, tu peux y aller maintenant.”

“Oui!”

Luciel avait le visage le plus excité pendant qu’ils étaient ensemble. Ses jolies joues gonflées donnaient l’impression qu’elle était ravie de manger quelque chose de sucré.

Le coin des lèvres du Duc se levèrent à nouveau, sans que Luciel ne puisse le voir.

“Mademoiselle Luciel, j’ai entendu dire que vous étiez là, alors je suis venue vous chercher.”

Il semblait que Bessie était venue chercher Luciel. Le flacon transparent dans les bras, Luciel rentra dans la chambre le cœur battant.

“Mademoiselle, voulez-vous des collations?”

“Non, je veux manger ça. C’est des bonbons donnés par le Duc.”

Les yeux de Luciel, vantant les bonbons, pétillaient plus que d’habitude.

“D’accord. Mais vous ne pouvez pas trop en manger, donc seulement cinq !”

“Oui.”

Lorsque l’autorisation de Bessie fut donnée, Luciel sourit d’un rire mignon et ouvrit le couvercle de la bouteille.

À l’intérieur se trouvait une gelée en forme d’ours plus grosse que le pouce de Luciel. Des gelées d’ours rouges, vertes, oranges, jaunes et blanches aux parfums fruités étaient déposées côte à côte.

Luciel, séduite par le doux parfum, en sortit un ours vert dodu et le mit dans sa bouche.

La texture moelleuse et le goût rafraîchissant de la pomme remplissaient sa bouche au fur et à mesure qu’elle le mâchait. C’était comme si un monde différent se déroulait à partir de bonbons à la fraise.

C’était étrangement addictif, alors elle n’arrêtait pas de crier un de plus, un de plus, et a continué à manger.

Mais comme l’a dit Bessie, elle pouvait à peine s’arrêter à seulement cinq.

Luciel murmura en pinçant ses lèvres.

“Je suis si heureuse.”

C’était une si petite gelée, mais la joie qu’elle procurait était grande. Elle avait l’impression que son cœur allait fondre.

Plus tôt, elle avait vu qu’il y avait plus de bouteilles en verre dans le bureau du Duc.

Il y avait une raison de plus pour visiter souvent le bureau du Duc à l’avenir.

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Traduit par : Nako

Check par : A. Nix_Lix’

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