Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 349 : Il faut accepter la réalité
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Dès que Yun Xi descendit les escaliers, Mu Feichi la serra avant même que ses pieds ne touchent le sol.

Le cœur serré par la sensation de retrouver quelque chose qu’il avait presque perdu, il l’avait serrée si fort qu’on aurait dit qu’il voulait ne faire qu’un avec elle.

C’était comme s’il sentait que s’il ne l’étreignait pas fermement, elle pourrait disparaître de sa vue à la seconde suivante.

Après l’avoir finalement lâchée, Mu Feichi avait soigneusement vérifié que son corps n’était pas blessé. Quand il avait vu le sang sur son visage, son cœur s’était serré.

« Y a-t-il d’autres blessures ? »

Il l’avait examinée tout en parlant, et son apparence nerveuse donnait l’impression qu’il avait perdu son animal de compagnie.

Yun Xi jeta un regard maladroit au groupe de badauds bavards qui détournèrent la tête en signe de compréhension tacite. Puis elle rougit et attrapa la main de Mu Feichi pour l’empêcher de la toucher davantage.

« Je vais bien, alors vous inquiétez pas ! »

Alors qu’elle lui ait attrapé la main, Mu Feichi avait vu les blessures sur ses poignets. Il avait déjà vu les trois kidnappeurs qu’elle avait expédiés, allongés sur le sol, lorsqu’il avait vérifié les environs quelques instants auparavant.

Les points d’acupuncture de leur cou avaient été touchés et ils étaient inconscients. Cela ressemblait à quelque chose qu’elle avait fait.

Son cœur lui faisait mal, et avec une boule dans sa gorge, il avait ressenti de l’angoisse à l’intérieur.

Tout ce qu’il avait fait, c’était juste pour la laisser grandir heureuse et pour protéger son cœur pur.

Il avait autrefois pensé qu’il pourrait très bien la protéger, même si elle devenait sa femme dans le futur. Il avait pensé qu’il aurait la capacité de l’empêcher de passer par ces épreuves compliquées.

Mais il ne s’attendait certainement pas à ce que ce jour arrive si vite.

Il leva la main pour essuyer petit à petit le sang sur son visage, puis haussa les sourcils d’angoisse.

« Tu as fait du mal à ces gens ? » Sa voix rauque était remplie d’une détresse et d’une pitié indescriptibles.

Depuis que la petite chérie qu’il avait choyée pendant si longtemps avait été entraînée dans cette affaire, la fureur brûlait dans sa poitrine.

Quelque peu impuissante et anxieuse, Yun Xi hocha la tête et leva ses mains tremblantes.

C’était comme si elle avait fait quelque chose de mal, et elle cherchait ardemment le réconfort et la protection de cette personne en qui elle avait confiance.

« Tout va bien. C’est bon… »

Il avait levé la main et avait caressé sa tête tendrement, comme si c’était la seule façon d’apaiser sa peur.

Il savait ce que cela faisait de blesser les gens pour la première fois.

Il était passé d’un garçon immature à un homme qui portait le fardeau de la famille Mu. Il savait comment survivre dans l’impitoyable Jingdu.

« Ce n’étaient que des kidnappeurs désespérés, donc tu n’as rien fait de mal. N’aie pas peur… Tout ira bien ! »

Il avait tendu la main et avait soupiré un peu en l’étreignant. Maintenant que la réalité ne pouvait plus être changée, il ne pouvait qu’accepter son destin.

Cette petite femme était destinée à l’accompagner alors qu’il faisait face au monde brutal de l’extérieur et à rester à ses côtés à travers tous les hauts et les bas de la vie.

Après un moment, Yun Xi avait soudainement pensé à quelque chose et avait levé la tête avec une expression anxieuse.

« Au fait… les kidnappeurs ont appelé le père de Han Yaotian. Il a une liste et un lot de marchandises qu’ils veulent, donc nous devons trouver un moyen d’obtenir la liste et ce lot de marchandises. »

C’est quelque chose qui pourrait nuire à la famille Han. À cause de la famille Han, elle avait tellement souffert et vécu une telle terreur. Elle n’allait pas les laisser s’en tirer si facilement.

« Ok, je vais demander à quelqu’un de s’en occuper. »

Ceci étant dit, il tourna la tête pour chercher Qi Yuan, qui avait le dos tourné en montant la garde. « Qi Yuan, tu l’as entendue. Tu t’occupes de ça et tu me ramènes les affaires. »

« Oui ! Compris ! »

Qi Yuan se tenait droit, puis il avait penché la tête et jeté un coup d’œil à Han Yaotian, inconscient, qui avait été tiré de derrière la machine. Il ne put s’empêcher de lui donner un coup de pied.

« Jeune Maréchal Mu, que devons-nous faire de cet homme ? »

Mu Feichi jeta un coup d’œil à Han Yaotian, qui s’était évanoui, et tira les coins de sa bouche avec malice. « Après avoir obtenu la liste, renvoye-le à la famille Han et dis à Han Hongbin de lui torcher le derrière. Sinon, je ferai disparaître la famille Han de Jingdu d’ici demain ! »

« Oui, compris ! »

Mu Feichi enlaça la petite chose tremblante dans ses bras, puis se pencha et la souleva du sol. « Rentrons à la maison ! »

« Ces gens… » Elle avait tourné la tête pour jeter un coup d’œil aux kidnappeurs qui avaient été attrapés et à leur environnement désordonné dans l’usine.

Les yeux sombres de Mu Feichi avaient une expression glaciale.

Il ne lui avait pas répondu mais avait simplement donné un ordre à Li Zilan d’une voix froide.

« Fais ce qui te semble bon. »

Hochant la tête, Li Zilan ne semblait pas être surprise par sa réaction. « Oui, Jeune Maréchal Mu ! »

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