Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 251 : Tous les beaux paysages du monde sont dérisoires comparés à son sourire
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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« Levez-vous, qu’est-ce que vous faites ? »

Par réflexe, Yun Xi avait serré la couette autour d’elle et s’était déplacée pour mettre le plus de distance possible entre eux.

Lorsqu’elle s’était éloignée de lui de cette façon, les parties de la couette couvrant le corps de Mu Feichi avaient été tirées sur elle.

Il s’était simplement endormi là, dans ses vêtements, sans même enlever ses chaussures. Il était allongé sur le côté, endormi, dans la même position que celle dans laquelle il s’était couché.

Le voyant allongé là, immobile, les yeux fermés, Yun Xi tendit la main pour lui serrer l’épaule. « Dépêchez-vous de retourner à votre manoir ».

Comparé à son petit lit délabré, son lit dans son manoir avait été fait sur mesure avec le meilleur artisanat du monde. Pourquoi se donnerait-il la peine de se serrer dans ce petit lit avec elle ?

De plus, il occupait les deux tiers du lit, alors comment allait-elle pouvoir dormir ?

Plus important encore, s’il se lèvait et escaladait le mur demain et rencontrait son grand-père, qui se lèvait tôt, ou quelqu’un de la maison d’un voisin, elle en subirait d’énormes conséquences !

Plus elle y pensait, plus elle se sentait agacée et plus elle devenait anxieuse.

Il profitait manifestement du fait qu’il était certain qu’elle n’oserait pas faire une scène, alors il refusait catégoriquement de partir.

En tant que personne habituée à avoir le contrôle de chaque situation, ce sentiment d’être exploitée la rendait très ennuyeuse.

En colère, elle avait levé le pied et lui avait donné deux coups de pied. Les yeux fermés, il s’était agrippé à sa cheville, puis avait ouvert un peu les yeux.

« Petite coquine, si tu continues à causer des problèmes, ce sera bientôt l’aube. Après 25 heures dans l’avion, je suis extrêmement fatigué, et je n’ai pas l’énergie nécessaire pour sortir. Sois sage, et ne cause pas de problèmes. Je partirai tôt demain matin. »

« Pourquoi n’êtes-vous pas rentrée chez vous d’abord si vous êtes si fatigué ? »

Il l’intimidait simplement.

Yun Xi avait tiré ses pieds en arrière. Puis elle avait baissé les yeux vers la silhouette allongée sur le côté, les bras croisés. Elle pouvait voir la fatigue sur son visage.

Elle s’était souvenue que son vol de retour avait vraiment pris une journée entière. Toute personne normale serait épuisée.

Comme elle n’avait pas le cœur de le renvoyer, elle n’avait pas eu d’autre choix que de se lever, de passer de l’autre côté du lit et de lui enlever ses chaussures.

Sans qu’elle le sache, il avait souri.

Vingt heures de vol avaient en effet été fatigantes, mais ce n’était rien comparé à l’envie irrésistible qu’il avait de la voir.

Aussi, dès que ses affaires avaient été terminées, il avait demandé à quelqu’un de lui réserver un vol de nuit.

Tous les beaux paysages du monde n’étaient rien en comparaison à son sourire.

Son mal du pays l’avait rendu fou et insouciant, à tel point qu’il s’était à peine reconnu.

Il faisait froid cette nuit-là, alors Yun Xi avait pris une couette et l’avait posée sur Mu Feichi.

Le lit était trop petit. Il n’y avait qu’un petit canapé dans la pièce, et le sol était trop froid pour y dormir. Elle était inquiète de la température froide si elle essayait de dormir dessus.

Elle ne pouvait que se rétrécir d’un côté et rester dans sa propre zone. Elle n’osait pas bouger.

Le son de sa respiration régulière dans ses oreilles, son léger parfum de menthe et son parfum de gel douche se mélangeaient.

Elle était sûre qu’elle allait souffrir d’insomnie.

Même dans sa vie précédente, elle n’avait jamais dormi avec Han Yaotian.

Elle avait toujours pensé que Han Yaotian était un gentleman droit, ce qui lui faisait penser qu’il était un homme digne de lui confier sa vie.

Sa naïveté l’avait finalement conduite à sa perte. Son soi-disant gentleman était simplement un hypocrite et un vrai méchant.

Dans cette vie, le moment où elle rencontrerait Han Yaotian serait celui où elle l’aurait poussé au sommet de son plan. Elle pensait que cela allait se produire plus tôt que ce qu’elle avait initialement prévu.

Une fois qu’ils se seraient rencontrés, elle devrait couper tous les liens avec lui, la source de son amour et de sa haine dans sa vie précédente.

Cette nuit, elle pensait à tant de choses et à tant de personnes qu’elle n’avait même pas remarqué qu’elle s’était endormie.

Le réveil biologique de Mu Feichi était réglé plus tôt que celui de Yun Xi, et lorsqu’il s’était réveillé, le réveil sur le chevet du lit indiquait qu’il n’était que 5h20 du matin.

Il s’était assis. Après quelques heures de repos, il se sentait regonflé dans ses forces et sa vigueur.

En tournant la tête, il avait regardé la silhouette recroquevillée sur le bord du lit. Elle avait l’air de pouvoir rouler sur le sol s’il se retournait.

Il était un peu déçu qu’elle dorme de façon si sûre.

Sous la faible lumière, il avait tendu la main pour la tourner vers lui et avait rentré l’édredon.

La petite coquine paraissait sereine et adorable dans ses bras, alors qu’elle semblait habituellement têtue et dure. Dans son sommeil, elle était comme une princesse.

Petite, délicate, et très attachante…

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