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Chapitre 244 : Les rêves sont toujours nécessaires
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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La nouvelle de l’arrestation de Liang Xinyi au poste de police s’était répandue comme une traînée de poudre dans tout le lycée de Jing.

Probablement parce que Yun Xi était une très bonne élève et que Liang Xinyi était sa cousine, au début, il n’y avait pas beaucoup de ragots à son sujet, simplement par respect pour Yun Xi.

Cependant, lors d’une réunion de classe pendant la quatrième période du lundi, le professeur principal avait relevé Li Sinuo de son poste de présidente de classe et a prononcé une mesure disciplinaire sévère.

Li Sinuo avait enfoui sa tête dans son manuel scolaire pendant toute la durée de la réunion et avait sangloté misérablement.

Il y avait eu beaucoup de discussions à ce sujet entre les camarades de classe, mais personne ne voulait parler à Li Sinuo.

Pendant que tout cela se passait, Yun Xi se comportait normalement et faisait les mêmes choses que d’habitude.

Cependant, elle savait dans son cœur que Li Sinuo la détestait probablement plus que jamais.

Après avoir été attrapée et punie si sévèrement, Li Sinuo allait probablement faire profil bas pendant un certain temps, et Yun Xi n’avait pas besoin de s’inquiéter de ses relations avec elle pour le moment.

Après la fin de l’école à midi, Zhao Yumo était venue la chercher.

Yun Xi était en train de faire des problèmes de maths quand Zhao Yumo était arrivée et avait posé deux photos sur son bureau.

« Laisse-moi te montrer mon idole ! N’est-il pas beau ? N’est-il pas beau ? Son beau visage est comme celui d’un dieu, ses jambes sont si longues, et il a une si forte vibration. Il est si beau ! »

« … » Yun Xi avait jeté un coup d’œil à l’homme sur la photo, et elle avait presque laissé tomber ses dents. C’était Mu Feichi !

La photo avait l’air d’avoir été prise par l’appareil photo d’un téléphone sur un écran de télévision. La photo semblait provenir de la séquence de l’interview de Mu Feichi avec la presse hier.

Il y avait deux photos. L’une était de son corps entier, et, en effet, comme l’avait dit Yumo, il avait le visage d’un dieu et de fantastiques longues jambes… Il semblait noble et parfait.

L’autre photo était d’un moment où il avait regardé dans l’appareil photo. Ses yeux semblaient étrangement doux en contraste avec son visage déterminé de poker.

Yun Xi avait relevé la tête et avait demandé avec un demi-sourire : « Tu aimes vraiment le Jeune Maréchal Mu ? »

« Je l’aime bien, et toutes les autres femmes de Jingdu l’aiment bien ! Je ne suis pas la seule de toute façon. C’est mon idole ! »

« Eh bien, en effet, toutes les femmes de Jingdu semblent l’aimer. »

En étant dévisagée, Zhao Yumo tapota la tête de Yun Xi d’une manière irritée.

« Ne me regarde pas comme ça. Je deviendrai une femme qui pourra se tenir à ses côtés à l’avenir ! »

En disant cela, elle avait également fait un poing avec ses doigts pour montrer son esprit de combat.

« Eh bien, tu peux le faire, alors vas-y, ma fille ! »

« Pourquoi ton ton me donne l’impression que tu penses que je plaisante avec toi ? »

« Il y a toujours un écart entre la réalité et les idéaux. Mais les rêves sont toujours nécessaires. Et s’ils se réalisaient vraiment ? »

« Ha, ha, ha… ce que tu viens de dire est vraiment inspirant ! Je sais ce que je sais, et il est plus difficile d’être digne du Jeune Maréchal Mu que d’atteindre la lune. Ce genre de rêve est quelque chose qui ne peut être que fantasmé ! »

Yun Xi avait souri de manière impuissante. « Tu es si capricieuse. »

Zhao Yumo avait souri et avait rétréci ses yeux. Elle était capricieuse sur ses passions et inconstante sur ce qu’elle aimait.

Elle avait sorti une photo. « Viens, je vais t’en donner une et te laisser l’admirer aussi. »

Yun Xi avait regardé la photo en gros plan dans sa main. Les traits ciselés du visage de l’homme étaient remarquables, et ses yeux étaient si doux qu’on aurait dit qu’ils pouvaient faire fondre le fer et étaient effectivement charmants.

« Au fait, Yun Xi, je viens de voir ce petit voyou qui t’attend aux portes de l’école. Veux-tu le voir ? Sinon, nous pouvons aller manger dehors. »

« Allons le voir ! Et puis allons manger dehors. Sa mère s’est fait opérer aujourd’hui. Je m’informerai de sa situation en chemin. »

Aux portes de l’école, dès que Yun Xi était sortie, Xiang Yuanjiu était descendu de sa voiture et l’avait regardée avec anxiété.

« Pourquoi es-tu là ? Comment s’est passée l’opération de ta mère ? »

« L’opération de ma mère a été très réussie, Yun Xi. Tout ça, c’est grâce à toi. Merci beaucoup ! »

Yun Xi avait poussé un soupir de soulagement. « C’est bien que l’opération ait réussi ! Retourne t’occuper de Tatie au lieu de perdre ton temps ici. »

« Je suis juste venu te remercier… Je te suis redevable pour cette gentillesse. »

« C’est suffisant, tu ne me dois rien. Comme nous l’avons déjà dit, c’était un marché, donc tu ne me dois rien. »

Elle ne voulait pas qu’il pense toujours qu’il lui était redevable. Elle l’avait fait par gentillesse.

« Au fait, je me suis occupée des affaires du Groupe Mu pour toi, et quelqu’un te contactera bientôt. Cependant, tu dois attendre que Tatie aille mieux avant de partir. »

« Je sais, je le ferai ! »

Xiang Yuanjiu avait hoché la tête. « Quoi qu’il arrive, je me souviendrai toujours de ta grande bonté. »

Il savait qu’il allait rembourser cette faveur tôt ou tard.

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