La nouvelle belle-fille d'une vilaine famille | The Villain Family's New Daughter-In-Law
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“…… Êtes-vous arrivé à bon port, mon père ?”

– “Oui, comme vous pouvez le voir.”

Gillard haussa les épaules. Sous l’éblouissante chevelure blonde, des yeux rouges comme des rubis roulaient sur le côté. Les lèvres de l’homme que vit Luciel bougèrent.

“Y a-t-il un visiteur qui me cherche ?”

C’était un homme qui ressemblait à Kizef von Bellstein. Luciel était d’une nervosité à couper le souffle.

‘Cette personne est…..’

L’actuel Duc de Bellstein.

Sa pression et son charisme étaient également à la hauteur de ceux de Kizef, que Luciel avait rencontré avant sa mort. Grand-père Duc avait une pression différente de lui, qui rendait l’adversaire nerveux comme s’il regardait une lame bien forgée.

‘J’ai l’impression que mon corps tout entier est écrasé.’

Luciel se leva de son siège sans même avoir le temps d’avoir peur. De la sueur dégoulina de ses mains, et elle attrapa l’ourlet de sa robe.

– “Oui, monseigneur.”

Eva inclina la tête et Gillard, qui était à ses côtés puis sorti.

– “Oui, j’ai amené cette enfant avec moi car elle voulait rencontrer le chef de Bellstein.”

‘Est-ce un endroit où n’importe qui peut rencontrer le chef de Bellstein ?’

“C’est une petite fille digne de confiance. C’est l’enfant que j’ai amené moi-même.”

Il y eut une conversation silencieuse avec des regards implicites volant entre le père et le fils.

Les yeux du Duc jetèrent un regard sur Luciel. La tension qui faisait se dresser même les poils duveteux secouait à nouveau son corps.

– “Je salue le Duc de Bellstein. Je suis Luciel du comte d’Orbia. Bien que je sois un enfant illégitime, j’ai aussi le sang d’un noble.”

Dans le passé, ma sœur m’avait dit une fois que nous étions des nobles avec un titre de famille avant de devenir un esclave. Donc ce n’était pas techniquement faux.

J’eu à peine fini de dire mes salutations. J’essayais de ne pas me décourager, mais mon corps tremblait comme une proie devant une bête sauvage.

“J’ai quelque chose à vous dire, alors je suis venue.”

Luciel avala son souffle et ajouta à peine les derniers mots. Au lieu de répondre, le duc ordonna à Eva.

– “Eva, guide l’invité jusqu’au bureau.”

– “Oui, monseigneur.”

Cela dit, il remonta les escaliers en agitant son manteau bleu marine sur ses larges épaules. Dès que le duc fut parti, ses jambes se détendirent et elle s’effondra sur le canapé. Luciel se mordit la lèvre.

‘C’est une personne plus difficile que je ne le pensais.’

Gillard, qui regardait Luciel comme ça, dit pour soulager la tension de l’enfant.

– “Salut, Luciel. Ne t’inquiète pas trop. Parce que ce grand-père va te suivre. Je t’aime beaucoup.”

Il adressa à Luciel un sourire en coin et un clin d’œil.

– “…… Merci, grand-père !”

Un sourire naturel passa entre les deux, et Gillard fit signe à Eva de préparer des rafraîchissements. Eva comprit le signal et s’approcha de Luciel pour lui demander.

– “Excusez-moi, madame, quel genre de boisson désirez-vous ?”

– “Quoi ?”

Luciel, qui était déconcertée, demanda en retour sans savoir. Elle jeta un coup d’œil au grand-père duc, qui hocha la tête comme si elle pouvait demander n’importe quoi.

“Oh……….”

Lorsque Luciel, qui était timide, rougit ses joues, Gillard répondit à la place.

– “Quel genre de choses sucrées avons-nous ? Apportez quelque chose qui plaira à une petite fille.”

– “Eh bien……Si c’est le cas, je vais vous apporter un parfait à la fraise. Il se trouve qu’ils ont récolté des fraises fraîches à la ferme.”

Aux mots “fraise”, les yeux cramoisis de Luciel devinrent aussi grands que ceux d’un lapin.

– “Bien. Alors je vais prendre la même chose.”

Eva, qui l’avait entendu, demanda à son tour, comme si elle avait mal entendu.

– “Vous voulez dire le parfait à la fraise, monsieur ?”

– “Qu’est-ce qui ne va pas ?”

“Ce n’est rien, monseigneur. Alors, je vais d’abord vous emmener au bureau.”

“J’emmène Luciel dans le bureau, préparez d’abord le parfait à la fraise.”

“Oui, je comprends.”

Tak.

Luciel enfila les pantoufles blanches et moelleuses qu’Eva lui avait données, et entra dans le bureau avec Gillard.

Elle mordit ses lèvres sèches avec force. Le duc, qui avait enlevé son manteau, s’assit devant le bureau et leva la tête. Ses yeux se tournèrent vers les deux personnes qui entraient, côte à côte.

“C’est une scène étrange.”

Le duc finit de chanter la paperasse avec ses yeux secs caractéristiques, et se leva.

“C’est une scène que vous verrez souvent à l’avenir. Venez, asseyons-nous.”

Gillard et Luciel se dirigèrent vers le canapé situé au centre. De l’autre côté, le duc se dirigea vers le milieu et s’assit.

Il y eut un silence gênant, et Gillard prit la parole en premier.

“N’êtes-vous pas curieux de savoir comment j’ai rencontré Luciel ?”

“….. Je suis plus curieux de connaître les affaires de l’invitée qui est venue me voir.”

Les yeux rouges du Duc fixaient Luciel.

“Ah………”

Toc, Toc.

Luciel se lécha les lèvres, et on entendit frapper à la porte. Eva apporta deux parfaits à la fraise et du thé Earl Gray dans un plateau.

À quelle hauteur, la crème glacée, les fraises et les snacks étaient empilés sur le parfait, Luciel pensa même que c’était étourdissant de les voir. Mais Eva l’avait habilement pris et le posa sur la table. Le parfait de Gillard et Luciel, et enfin l’Earl Gray du Duc.

En voyant les yeux ronds et cramoisis de Luciel concentrés sur le parfait à la fraise, Gillard éclata de rire…

Le Duc était assis dans une position léthargique, le menton sur sa main, observant la petite fille. Les yeux clairs et doux de l’enfant étaient très proches de la couleur fraise.

“C’est un peu trop, non ? Le chef Seth était excité par le dessert qu’elle a préparé pour la première fois depuis longtemps et a fait une tour de parfaits comme ça.”

“Non, je peux tout manger.”

Ravalant sans le savoir sa salive, Luciel avait envie de prendre une bouchée, mais elle se retenait, car assis juste en face d’elle, Duke Bellstein observait chacun de ses mouvements.

Gillard proposa d’abord à la place de Luciel, qui était complètement distraite après la sortie du parfait.

“Pourquoi ne pas reporter l’écoute des affaires jusqu’après l’heure du thé, Duc ?”

“….. C’est exact. Servez-vous.”

Dès que la permission du Duc tomba, le visage de Luciel s’éclaircit. Ses joues prirent une couleur rougeoyante. Avec une fourchette, elle cueillit soigneusement la fraise qui ornait le sommet de la tour du parfait. Le jus éclata lorsqu’elle la mit dans sa bouche.

‘Wow, c’est tellement rafraîchissant et sucré.’

Ensuite, elle prit une bouchée d’un biscuit découpée en rectangles par l’alternance de couches de pâtisseries fines et de crème blanche.

Croque.

Luciel marqua une pause au son qui sortait de sa bouche et regarda son environnement.

“Les gaufres à la crème sont très délicieuses.”

Gillard prit également une bouchée en répondant.

“Ah, les gaufres à la crème.”

Elle mâcha les gaufrettes en baissant la tête. Luciel aimait le goût salé, sucré et la texture croustillante, Ensuite, elle prit un long biscuit brun en forme de bâton et l’a mangé. Dès qu’elle eut pris une bouchée, un goût sucré et diabolique envahit sa bouche. Luciel fit tourner le bâton d’avant en arrière.

“C’est un snack appelé rouleau de gaufrette au chocolat.”

À la vue de Luciel mangeant assidûment le parfait avec des yeux curieux, Gillard et le Duc ne purent la quitter des yeux.

Louivid était sceptique.

Est-ce quelque chose de si spécial pour cette enfant que de le manger avec autant d’attention ? As-tu été affamée toute la journée ?

Et pourtant, sans s’en rendre compte, Louivid continuait à observer attentivement Luciel pendant qu’elle mangeait.

“Tu manges comme un lapin.”

À ce rythme, le corps maigre de l’enfant semblait pouvoir bientôt devenir potelé. Gillard jeta un coup d’œil à Louivid.

“Qu’en pensez-vous ? N’est-elle pas mignonne ?”

Cependant, Louivid refusa de regarder à nouveau Luciel.

“…As-tu même affamé l’enfant ?”

“Hahaha, pas du tout. C’est agréable de voir que tu manges bien. Mange beaucoup, Luciel.”

“Merci. Grand-père aussi.”

Parfait. Gaufres. Gaufrette au chocolat.

C’étaient des noms difficiles à prononcer, mais c’était si délicieux que Luciel s’en souvenait intérieurement encore et encore. Sa cuillère se dirigea vers la crème glacée. Au goût frais et sucré qui fondait lentement, Luciel cligna de ses yeux ronds couleur fraise.

“C’est…….”

“C’est de la crème glacée.” (Grand-père)

“De la glace.” (Duc)

“C’est une glace, ma Dame.” (Eva)

Au même moment, les réponses des trois personnes eurent été entendues, et les yeux de Luciel devinrent encore plus semblables à ceux d’un lapin,

En fait, je savais que c’était de la crème glacée, mais j’étais un peu heureux de sentir qu’ils se souciaient de moi.

‘Je pense que la glace est encore meilleure.’

“C’est délicieux. C’est comme manger une poignée de flocons de neige…..”

“Si la neige devait être aussi douce, le magasin de glaces serait fermé, Luciel.”

À son expression naïve, Gillard éclata de rire. ‘Cet enfant a un côté un peu mignon.’

Le duc Louivid avait une appréciation de quelqu’un d’autre, ce qui était inhabituel. L’apparence de Luciel pour lui, qui n’avait qu’un fils aîné froid et un fils cadet fauteur de troubles, était nouvelle. Il n’y avait pas d’enfant avec des cheveux blancs argentés qui descendaient jusqu’aux épaules ressemblant à un lapin des neiges, avec des yeux cramoisis et une fourrure douce.

Son apparence chétive et ses actions amusantes étaient triviales et ridicules. Néanmoins, il continua à regarder l’enfant. Après avoir vu la petite fille manger le parfait avec avidité, Louivid se rendit compte que ses lèvres étaient légèrement relevées, et toussa soudainement et dit :

“…… Uh-hum, maintenant, écoutons ce que vous avez à dire, Jeune Dame Orbia.”

Luciel était en train de manger le parfait avec les deux joues à pleine capacité, et regrettait son apparence un peu plus douce d’avant. Maintenant, le Duc avait seulement un visage très agacé.

‘Ah, j’étais possédée par le parfait et je me suis accrochée trop longtemps à une personne occupée. Ne soyons pas ennuyeuse. Faisons bien, Luciel.’

Comme si elle prenait une grande décision, Luciel repoussa doucement l’assiette de parfait. Puis elle ouvrit les yeux plus clairement et se leva.

“Je suis venue proposer un marché au Duc de Bellstein.”

Quelque chose de résolu remplissait les yeux pétillants de l’enfant. Il y avait un côté un peu audacieux, faisant semblant de ne pas être intéressé, le duc dit calmement.

“…Un marché ? Je n’ai pas le temps de jouer avec la petite dame.”

Le Duc scandait ainsi, en s’adossant au canapé. Son expression avait un peu d’intérêt mais pas d’attente. C’était attendu. Maintenant, Luciel n’avait rien. Cependant,

Elle ne se découragea pas et dit ce qu’elle avait en tête.

“Je sais que le Duc a un fils de mon âge. S’il vous plaît, laissez-moi épouser le Jeune Maître. Protégez-moi par un contrat de mariage jusqu’à ce que je sois adulte.”

Le Duc, qui avait écouté l’histoire dans une position confortable, leva son corps et appuya sur son menton. Ayant entendu quelque chose d’assez excentrique, ses yeux rouges fixèrent intensément Luciel.

“Vous dites quelque chose de très intéressant.”

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Traduit par : The Dream Novel

Check par : Croco

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