Le Restaurant d'un Père dans un Univers Extraordinaire | A Stay-at-home Dad's Restaurant In An Alternate World | 奶爸的异界餐厅
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Chapitre 136 – Je me sens drainé
Chapitre 135 – Et si on enlevait le cuisinier ? Menu Chapitre 137 – Pour le Roujiamo !

Les sourcils de Sargeras se levèrent de surprise. «J’ai pensé à la même chose, puis une boule de feu a atterri sur moi. Il jeta un œil à Krassu et Urien. «Allez-y si vous pensez pouvoir battre ces deux vieillards.»

Kiel eu soudain un frisson de peur alors qu’il se souvenait de l’effrayant Dragon de Givre et du vieil homme qui avait fracassé le dragon d’un seul coup. Il secoua la tête. «Je pense que c’est mieux si nous achetons juste de lui.»

Il se sentit soulagé et se tourna vers Mond. «Comment te sens-tu, Mond ?»

«Je pense que je suis proche. J’ai besoin de deux autres Roujiamos, je pense, »dit Mond après avoir réfléchi un moment.

«Deux roujiamos ?», s’exclama Sargeras, excité. «Nous pouvons totalement utiliser les Roujiamos pour montrer à quel point nous sommes forts.»

Le visage de Kiel s’illumina. «Comme rang 1 un Roujiamos, rang 2 deux Roujiamos ?» Il se tint sur la pointe des pieds pour tapoter Mond sur l’épaule. «C’est pas mal.»

Sargeras hocha la tête. «Oui. Nous pouvons utiliser ce mécanisme de nommage sur les combattants de 1er et 2ème rang. Je ne sais pas combien de roujiamos j’ai besoin pour atteindre le 4ème rang moi-même. Il réfléchit un moment et ajouta: «Notre combattant de rang 2 peut être aussi fort qu’un mage ou un chevalier humain de rang 4. Donc, ce système de classement (Ndt : naming m echanism = mécanisme de nommage en VA ) est bien meilleur.

«Je suis d’accord», dit Mond avec un sourire.

«Grosse Tête Chauve, Grosse Tête Chauve n°2 et Grosse Tête Chauve n°3, baissez d’un ton! Ne dérangez pas les autres clients. Vous ne veux pas me mettre en colère», dit Amy en les regardant avec de grands yeux, secouant ses poings en colère.

Krasu et Urien se tournèrent pour regarder Sargeras au même moment.

Sargeras se sentit soudainement mal à l’aise, mais il ne s’inquiétait pas pour autant. C’était sa vie. «Taisez-vous», dit-il rapidement à ses hommes, leur faisant signe de se taire.

Kiel et Mond s’arrêtèrent de parler immédiatement, excités et pas agacés.

Kiel avait franchi la deuxième barrière, et Mond n’était qu’à deux roujiamos d’atteindre un autre niveau. Les Démons de Lave retourneraient au sommet des Îles Démoniaques.

Les trois démons reprirent leur conversation à voix basse. Ils étaient en feu, mais ils ne semblaient pas en colère. Même la table et les chaises étaient à l’abri de leurs flammes. D’autres clients virent que les Démons avaient suivi les paroles de la petite fille et jugèrent qu’ils pouvaient manger sain et sauf ici. Ils furent soulagés et reprirent leurs places.

Les clients devant la porte avait vu tout l’événement. Ils regardèrent la petite fille avec étonnement. On dirait qu’ils ont peur d’elle. Elle est si mignonne même quand elle est en colère, à donner envie à n’importe qui de lui pincer les joue.

“Ce restaurant doit être très intéressant”, pensèrent-ils, et ils entrèrent dedans, pleins d’attente.

Les habitués sourirent. Quelque chose sur le visage en colère d’Amy les fit se sentir bien. Ils n’avaient pas vu une fille aussi adorable depuis longtemps.

«Serveuse, nous aimerions avoir huit autres roujiamos», dit Sargeras à Yabemiya d’une voix aussi douce qu’il le pouvait, levant la main.

La jeune serveuse hocha la tête avec un sourire. «Oui, bien sûr. Elle trouva ce démon étrangement obéissant. Il est effrayant, mais plutôt poli.

Le restaurant était plein à craquer. Ceux qui arrivaient en retard devaient rester debout. Yabemiya leur présenta les deux plats, un menu à la main. Il était peut-être peu pratique de devoir manger du riz frit dans une assiette debout, mais la même chose ne pouvait être dite du roujiamo.

L’arôme alléchant qui flottait dans l’air et les regards satisfaits sur les visages des clients étaient meilleurs que n’importe quelle publicité.

Certains étaient partis lorsqu’ils avaient vu les prix. Tout le monde ne pouvait pas se permettre un repas aussi extravagant, peu importe le goût.

Beaucoup étaient restés. 300 pièces de cuivre étaient loin d’être bon marché, mais cela valait la peine d’essayer pour eux. Ceux qui ne pouvaient pas attendre un siège vacant commandaient du roujiamo.

«J’aimerais aussi un roujiamo. S’il vous plaît, faites vite. Je dois aller travailler, »dit un homme d’âge moyen dans une longue robe grise qui ressemblait à un propriétaire de magasin.

«J’en voudrais deux. Peut – être que ma femme va l’aimer », dit un grand homme maigre dans des vêtements décontractés et une paire geta (NdVA: Espèces de sandales japonaises en bois) , passant ses doigts dans ses cheveux en désordre.

Vicennio avait été viré du lit par sa femme tôt le matin. Il lui fallait acheter le petit déjeuner. Pourtant, le combat entre deux lanceurs de sorts avait dissipé sa mauvaise humeur. Il fut soudainement heureux de s’être levé tôt. La vue du restaurant l’avait tiré à l’intérieur. Il pensait acheter le petit déjeuner là.

Sa femme possédait 10 magasins sur la place Aden, principalement près de la sortie. Elle pouvait faire des dizaines de milliers de pièces d’or avec les loyers seuls. Elle était vraiment riche.

Il avait été traité de croqueur de diamants éhonté quand il l’avait épousée. ( N dT: expression qui peut désigner qqn qui se marie pour l’argent/le pouvoir de son époux/épouse , en VA , on a gold-digger .)

Mais il s’en fichait. Il était né dans une famille d’affaires, mais famille d’affaires ou pas, cela n’avait pas d’importance pour lui, puisqu’il était un bâtard. Il se considérait chanceux d’avoir épousé une femme riche et plutôt belle à regarder avec son joli visage.

Ce n’était pas mal d’être un propriétaire.

Il n’était plus intéressé par les richesses de sa famille.

Sa femme était assez excitée, et lui ordonnait tout le temps de venir, mais à part ça, elle était plutôt gentille. Il pouvait dépenser son argent pour n’importe quoi, à l’exception des femmes.

Il errait toujours avec une poche pleine de pièces chaque jour. Il ne pouvait pas visiter les bordels parce que sa femme avait engagé un homme pour le surveiller.

Quoi qu’il en soit, il ne voulait pas. Après avoir baisé avec sa femme, il ne prêterait même pas vraiment attention à une belle elfe – même si elle était nue devant lui.

“Je me sens drainé”, pensa Vicennio en bâillant. Il avait été occupé toute la nuit par sa femme. J’ai besoin de pilules de bonification.

«Très bien, veuillez patienter une seconde», dit Yabemiya avec un sourire en se tournant vers la cuisine.

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