“Eh bien, en y réfléchissant, je n’ai même pas eu l’occasion de tE remercier.” Elle a commencé. “Merci d’avoir embauché un tailleur pour moi.”
“Tu n’as pas à me remercier pour quoi que ce soit.” L’homme a répondu sèchement, en posant le morceau de marbre qu’il tenait sur la table.
“Je sais que cela manque cruellement par rapport à ton ancien mode de vie. Même si cela prendra du temps, je t’obtiendrai tout ce que tu voudras, alors attend un peu.”, murmura-t-il. Il passa ensuite son bras autour de son épaule et baissa la tête, déposant un chaste baiser sur le lobe de ses oreilles.
Elle se recula lorsque ses bras s’enroulèrent autour d’elle, enveloppant son petit corps. Elle était loin de manquer de quelques choses, au contraire, il lui donnait plus qu’elle ne pourrait jamais demander.
Elle voulait lui dire qu’il n’avait pas besoin de se surmener autant pour elle, mais elle n’y arrivait pas. Même si c’était une attente erronée, elle se sentait étrangement soulagée qu’il la considère comme quelqu’un de… précieux.
“Je vais rejoindre la route royale dans quelques jours. Je reviendrai avec un chariot rempli de cadeaux.”
Ses yeux se sont élargis à ce sujet. “Oui, oui…”
“Je serai de retour dès que je le pourrai. Je vais juste assister à la cérémonie et bientôt…”
Il a marmonné ses derniers mots dans son souffle, les rendant presque indéchiffrables. Et puis une chaleur douce et humide s’est insinuée dans sa bouche.
Ses yeux se sont légèrement écarquillés. Le bout de sa langue avait un léger goût de vin fort. Sa barbe un peu rêche se frotta doucement à son propre menton, son grand nez droit à son nez, et une paume chaude et apaisante caressa doucement sa joue.
Il y avait quelque chose d’unique dans la façon dont il l’enveloppait.
Il était effroyablement tenace et agressif, mais au-delà de ce côté animal, il était aussi si prudent, la tenant comme si elle était quelque chose de sacré. Lorsque ses caresses étaient infimes, presque papillonnantes sur sa peau, elle avait l’impression d’être une fleur sauvage.
Une fleur délicate férocement arrachée mais tendrement retenue par son emprise…
“Merde… Je n’ai vraiment pas envie de partir.” Il a marmonné durement, son souffle chaud réchauffant ses lèvres.
Il y avait une légère trace de salive lorsque leurs lèvres se sont séparées.
Max l’a regardé avec des yeux tremblants. Il a passé sa main sur l’un de ses seins par-dessus ses vêtements et l’a tirée par la taille.
“Je veux ne rien faire et rester enfermé dans notre chambre pendant des mois, peut-être des années, et me reposer.” Elle a senti beaucoup de fatigue dans sa voix chaude. ( Riftan le NEET XD )
Il était épuisé. Max ne pouvait qu’imaginer combien cela avait dû être dur ces trois dernières années. La culpabilité et la compassion surgirent en elle. Elle hésita légèrement, avant de déplacer doucement sa main pour lui caresser la tête. L’homme qui déversait des baisers sur son décolleté lève les yeux vers elle, surpris. ( Oh oh… )
Elle a réussi à dire d’une voix tremblante.
“Cou-courage.”
Une expression étrange traverse ses yeux d’onyx. Elle avait entrevu un regard solennel de cœur brisé. Il la regardait fixement, les yeux brillants, quand soudain, il s’est précipité vers elle, verrouillant violemment ses lèvres contre les siennes. Elle sentit la chair de poule danser vers l’arrière de son cou à la sensation de leurs souffles humides enfermés dans une bataille commune.
“J’arrivais juste à me retenir, tu risques de le regretter.” Il murmura brutalement en la prenant dans ses bras depuis la chaise sur laquelle elle était assise. ( … elle a juste dit courage XD )
Un frisson aigu a râpé l’intérieur de son estomac. Elle n’avait pas peur. Même quand il disait quelque chose comme ça… Même quand il faisait quelque chose comme ça… Elle n’avait pas peur du tout. Elle voyait vaguement quel genre de personne il devenait pour elle et c’était la seule chose dont elle avait vraiment peur.
“Ar-arrête…” La voix de Max est sortie dans un doux gémissement alors que son ventre était posé sur le lit.
Par les fenêtres, une lumière éclatante se déversait du ciel d’un bleu saisissant, recouvert seulement de nuages épars. C’était une journée plutôt ensoleillée. Elle rampa vers la couverture pour s’échapper, mais ses bras et ses jambes, qui avaient subi un exercice trop rigoureux pendant la nuit, n’avaient même pas la force de déchirer une fleur, et encore moins de se libérer de l’emprise insistante d’un homme.
“Ri-riftan… s’il te plaît, s’il te plaît.”
“Juste un peu plus…”
Au souffle qui se fit entendre entre ses jambes, elle cacha profondément son visage dans les draps. La lumière de la cheminée mourante vacillait sur leur peau mouillée, trempée de sueur et de l’humidité de leurs ébats. Même la sensation de la faible chaleur était une torture pour Max.
“C’est incroyable. Que tu puisse m’accepter… et que j’aie quelque chose qui puisse se rattacher à toi…” Il a marmonné comme un homme ivre en la touchant entre ses jambes.
Ses hanches levées en l’air tremblaient à chacune de ses caresses, ses cuisses déjà fatiguées s’agitaient. Son intimité trempés avaient longtemps palpité sous l’effet de sa stimulation, ces joued avaient fleuri d’un rouge rosé. Elle a étouffé un sanglot à cause de l’extase.
Le fait qu’elle lui montre sa partie la plus privée était étrangement angoissant pour Max. Son coeur avait l’impression qu’il pouvait éclater de sa cage thoracique à tout moment.
“Sais-tu à quel point tu es belle ?” Elle a senti sa voix chaude et rauque sur son vagin humide.
Et ses doigts s’enfonçaient doucement, écartant ses portes secrètes pour les caresser à l’intérieur. Max s’est immédiatement retrouvée à mordre l’oreiller pour retenir ses gémissements lubriques.
Elle est devenue folle. C’était comme si son corps entier avait fondu et que seule la partie sous son emprise était vivante. Alors que des larmes coulaient sur son visage à cause de l’intense orgasme qui avait brisé comme un barrage à l’intérieur d’elle, il passa doucement sa main dans son dos et murmura,
“Vraiment, follement belle.” Sa voix profonde et étouffée s’est accrochée à ses oreilles comme l’appel ensorceleur d’une sirène. Son corps, qui n’était plus le sien, succomba à cette sensation sauvage. Max a inconsciemment tiré sur les cheveux de Riftan.
Son souffle réchauffait sa peau douce et ses dents mordaient doucement ses parties devenues sensibles depuis longtemps à cause de ses touchers incessants. Elle avait l’impression que tous les nerfs de son corps se séparaient en petits morceaux, la déchirant de l’intérieur en un délicieux amas.
“N-non… ah !”
Ses mots ne correspondant pas à ses actions, son dos se cambra plus haut, ses plis s’étirant comme il l’attendaiet. Riftan a serré ses hanches fermement pour qu’elle ne puisse pas s’échapper, et après avoir goûté avec persistance ses jus, il a positionné son membre palpitant contre son tunnel et a lentement poussé à l’intérieur, lui faisant sentir jusqu’au bout.
Max n’avait plus assez de force pour lever un seul doigt. Lorsque son corps épais et massif s’est écrasé sur elle, elle a tremblé comme une feuille. Sa virilité se pressait à l’intérieur d’elle, exigeant qu’il la remplisse profondément jusqu’au cœur et à chaque poussée, son membre grandissant avec ses respirations irrégulières. Alors que ses mouvements s’accéléraient, elle pouvait entendre leurs peaux lisses se frotter l’une contre l’autre, son corps qui était devenu presque insupportablement sensible et chaud, était brutalement balayé par un fort courant.
A l’apogée de ses sens, Max sentit finalement sa vision s’estomper, les sons autour d’elle disparaissant lentement avec sa conscience.