God and Devil World | 神魔世界
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Chapitre 65 – Da Gouzi
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Yue Zhong agita la main. Il jeta un fusil de type 54 contenant six balles à Chen Si: «Je ne voulais pas interférer avec les affaires de votre village. Je veux seulement faire une transaction avec vous. Je vais l’acheter. Est-ce suffisant ?»

Chen Si attrapa joyeusement le pistolet de type 54. Il agita la main et dit: «Oui ! Oui ! Libérez-la !»

Tiger ne manquait pas de subordonnés, mais il avait peu de fusils et de munitions. Leur quantité totale d’armes à feu qu’ils n’avaient ne se comptait même pas en centaine, ils en avaient que un peu moins de 50. Un pistolet de type 54 valait une somme considérable. L’échanger contre une femme inutile était une opportunité précieuse pour eux.

Possédant ce pistolet, Chen Si pouvait aller le remettre à Tiger pour obtenir quelque chose.

Les deux hommes armés lâchèrent la femme .

«Yingzi ! Yingzi !» Da Gouzi courut vers la femme au nom de Yingzi qui pleurait.

Chen Si s’approcha de Yue Zhong et sourit en disant: «Yue Zhong, notre maison close a encore des douzaines de femmes. Tu les veux ? Je peux te donner deux femmes pour un pistolet de type 54, quatre femmes pour une mitraillette de 79 et je peux échanger une femme pour vingt balles de pistolet, ou quarante balles de mitraillette. Qu’en pensez – tu ?»

Dans le Always bright village, les belles femmes avaient de la valeur, mais les femmes ordinaires n’avaient au contraire pas beaucoup de valeur.

Yue Zhong refusa directement.

Pendant le voyage, Yue Zhong avait réfléchi et avait conclu que les munitions étaient limitées. Il ne pouvait pas se permettre de donner cette précieuse force militaire.

Chen Xi sourit et se dirigea vers la maison close: «Allez vous promener dans le village, je vais me détendre.»

Yue Zhong s’approcha de Ji Qingwu, baissa la tête et murmura à son oreille : «Ce n’est pas un endroit sous l’ordre des lois. Contrôles tes impulsions, sinon beaucoup de gens pourraient se faire tuer.»

Da Gouzi attrapa sa femme et s’agenouilla devant Yue Zhong: «Yingzi, viens t’incliner devant cet homme. Il t’a sauvé !»

Malgré l’âge de Da Gouzi, bien qu’il ait environ une génération de plus que Yue Zhong, à cette époque, celui qui avait la capacité était le Grand Frère. Da Gouzi appelait tous les hommes armés du Village “frère aîné”, pour ne pas offenser qui que ce soit. (1)

Yingzi s’agenouilla devant Yue Zhong et inclina sa tête avec gratitude: «Merci grand frère Yue !»

La maison close était l’enfer du Always bright village. Presque tous les jours, une femme ne pouvait pas supporter ce supplice et se suicidait.

Yue Zhang regarda Yingzi. Elle avait environ 30 ans. Son corps était ordinaire avec une apparence moyenne. Son teint était un peu jaune, juste une femme du village ordinaire.

Yue Zhong dit: «Lève-toi !»

Da Gouzi l’aida à se relever.

Yue Zhong sortit un biscuit de sa poche et le donna à Da Gouzi: «Et si tu m’emmenait visiter le village !»

Da Gouzi reçut le biscuit; Son visage sourit de bout en bout, il exprima continuellement ses remerciements: «Merci grand frère ! Merci ! Allons-y tout de suite.»

Prendre ce biscuit et ajouter un peu d’eau pour faire une pâte, puis mélanger avec quelques légumes, se serait suffisant pour que Da Gouzi puisse nourrir sa famille pendant deux jours.

A ce moment-là, Lu Wen arriva, attrapa les vêtements de Yue Zhong et dit: «Grand Frère Yue, j’ai faim ! Nous devrions manger et nous promener !»

La bouillis de maïs aux herbes sauvages n’était pas quelque chose que des gens dans un état ordinaire pouvait manger cependant lorsqu’on meurt de faim la question de goût devient aussi futile de savoir que Will Smith avait mangé une banane hier après midi. Lu Wen et les autres n’avaient donc rien mangé.» (2)

Yue Zhong dit: «D’accord ! Da Gouzi, attends un peu, retrouve-moi sur la place publique plus tard !»

Da Gouzi hocha la tête à plusieurs reprises, et aida sa femme à rentrer à la maison: «Compris, grand frère Yue !»

Dans les rues du village Always Bright village, tout le monde regardait le groupe de Yue Zhong.

Zhang Xin et les femmes ont généreusement donné leur nourriture aux enfants du village hier. Donc rapidement, une foule d’enfants se pressa derrière les femmes et hurla: «Belles grandes sœurs, je vous supplie de nous donner quelque chose à manger ! Nous avons faim !»

Zhang Xin dit courtoisement: «Je n’en ai pas ! Je n’ai rien à manger sur moi ! Je n’ai vraiment rien !»

Comment ces enfants du village pouvaient-ils croire cela ? Ils encerclèrent Zhang Xin et Lu Wen, suppliant sans fin: «Belles grandes sœurs, donnez- ous s’il vous plaît quelque chose à manger! Nous avons faim !» (3)

En voyant ces enfants, Yue Zhong fronça les sourcils.

Chi Yang se tenant à côté de Yue Zhong sortit son pistolet et le pointa vers les enfants, en disant froidement: «Dégager !»

Voyant Chi Yang être féroce comme ça, tirant son pistolet, ces enfants du Always Bright village se dispersèrent de peur. Ils n’avaient pas peur des femmes généreuses, mais ils avaient peur de ces hommes armés et impitoyables.

En voyant ces enfants se disperser, le cœur de Zhang Xin se contracta. Elle regarda Chi Yang et haussa un sourcil: «Chi Yang, pourquoi a -tu fait ça ? Ce sont tous de petits enfants. Les effrayer c’est normal, mais t’étais pas obligé de sortir le fusil ?»

Les sourcils de Yue Zhong se froncèrent, il s’avança et gifla Zhang Xin.

Zhang Xin plissa son joli visage et dit avec incrédulité: «Tu me frappes !»

«C’est exact ! Je t’ai frappé ! Sans ces conneries de gentillesse, nous ne serions pas dérangés par ces enfants. Tu as généreusement donné notre nourriture à d’autres personnes comme ça. Tu nous as même pas demander l’autorisation. Mais Chi Yang t’a quand même aidé à sortir de cette situation, et tu lui dit ça. S’il te plaît, fais attention à ta bouche ! La prochaine fois que je t’entends parler comme ça à mon frère, je te demanderai de quitter notre groupe !» Yue Zhong regarda Zhang Xin. Chi Yang aidait avec de bonnes intentions mais Zhang Xing parlait encore sans discernement. Il ne pouvait pas rester là à rien faire.

Les mots peuvent aussi blesser les gens, et parfois les mots peuvent couper plus profondément qu’un couteau. Yue Zhong était déterminé à accomplir sa promesse d’escorter ces filles au camp de survivants de la ville de Long Hai. Il aurait pu partir plus tôt avec Chi Yang, Lu wen et Wang Shuang pour se précipiter à la recherche de sa famille. Par bonté de cœur, il aidait.

Zhang Xin rougit. Elle s’inclina et les larmes coulèrent. Bien qu’elle ne puisse pas se comparer aux belles Yuan Ying et Chen Yao. Elle avait toujours un visage meilleur que la moyenne. C’était la première fois qu’elle avait été frappée par un homme.

Sans prêter attention aux pleurs de Zhang Xin, Zhong se dirigea vers le camion Dong Feng.

Wang Shuang, Chi Yang, Lu Wen, Guo Yu et Wang Lan suivirent de près Yue Zhong.

(Vous savez en chine ils ont cette grande notion du respect des aînées donc appelé quelqu’un grand frère c’est soit un titre de politesse (comme grand père ou ainé tatata) soit le fait que tu es vraiment proche de la personne par exemple Chi Yang il va appeler Yue Zhong mon frère même si ils sont pas lié par le sang)

Bon j’avais pas d’inspi ;-;

C’est vrai que après que yue ait donné un cookie, c’est peu crédible pour eux



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