Génie sans Egal | Perless Genius System | 绝世天才系统
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Chapitre 7 – Les fauteurs de troubles sont arrivés
Chapitre 6 – Une bonne personne Menu Chapitre 8 – Autoritaire et tyrannique

Xiao Luo ne parla pas à sa famille de sa démission et de son accident de voiture. En tant qu’homme, et un homme de vingt-six ans en plus, il ferait de son mieux pour cacher tout ce qui pourrait causer des soucis à sa famille.

De plus, il avait plus de 4000 dollars d’économies. Même s’il n’avait aucune source de revenus, cet argent lui permettrait de subvenir à ses besoins pendant un certain temps. Sans compter qu’il avait maintenant fusionné avec le Système De Génie Sans Égal. Le travail pouvait être fait en quelques minutes, il n’y avait pas besoin de s’inquiéter de quoi que ce soit.

Il s’étira et bâilla.

Au cours de ses trois années de travail pour la Corporation Huahai, il avait dû alterner les équipes (équipe de jour et équipe de nuit) une fois par mois, tous les mois. Il y avait différentes sortes d’heures supplémentaires. Sa routine quotidienne était très irrégulière, et il venait d’avoir un accident de voiture. Bien qu’il ait été sauvé par le système, son corps ne semblait pas encore avoir retrouvé toute son agilité. Il se sentait fatigué et somnolait en ce moment même.

Il s’effondra sur son lit, tirait les draps sur sa tête et sombra immédiatement dans un profond sommeil. Son repos fut extraordinairement stable et agréable : le meilleur qu’il ait connu au cours de ces trois années.

Lorsqu’il se réveilla, il était déjà neuf heures du soir.

Après être entré dans la salle de bain et avoir pris un bain, il sortit pour dîner afin de résoudre le problème pratique de la faim.

Il associa une chemise noire à un pantalon noir étroit. Habillé de noir de la tête aux pieds, il dégageait un sentiment de mystère.

Il avait choisi de dîner dans une petite échoppe. Les propriétaires de l’échoppe étaient un couple d’âge moyen. Le mari faisait des grillades tandis que la femme cuisinait des nouilles. Il y avait aussi de la bière et d’autres boissons. Les affaires étaient plutôt bonnes.

Xiao Luo venait souvent ici pour manger. Avec le temps, il était devenu familier avec ce couple d’âge moyen.

«J’arrive !»

Le mari, le saluant chaleureusement, répondit : «Comme d’habitude ?»

«Hm, ouais. Comme d’habitude.»

Xiao Luo hocha la tête et trouva une table vide où il s’asseya.

Zhang Dashan l’appelait sur son portable.

Xiao Luo avait vraiment envie de l’engueuler. Il était une telle grande gueule qu’il ne pouvait garder aucun secret.

«Pourquoi tu m’appelles toujours pour rien ? Tu crois que les appels téléphoniques sont gratuits ?» Xiao Luo se plaignit en faisant le malheureux en appuyant sur le bouton pour répondre.

Zhang Dashan sursauta «p****n de merde. T’as mangé des explosifs ou quoi ? T’es vraiment énervé a ce point. Ok, ok. Je vais t’appeler sur WeChat.

«Ça va dépasser mes données.»

«Tu me prends pour un idiot ? Tu as 4 Go par mois, mais tu n’écoutes pas de musique ou ne regardes pas de films si souvent. Dépasser tes données ? Conneries !» Zhang Dashan s’impatienta.

À ce moment-là, un bol de nouilles Sanxian fut servi.

Xiao Luo toussa sèchement et répondit d’une voix sévère : «Ok, j’arrete de dire des conneries avec toi, je vais manger maintenant.»

«Enfoiré, pourquoi tu ne m’as pas appelé pour manger aussi ? On n’est pas frères ?» Zhang Dashan se plaignit immédiatement.

Xiao Luo devint exaspéré. «Tu es à plus de 40 kilomètres de distance. Serais-tu vraiment venu si je t’avais appelé ? Rien que l’essence est suffisante pour que tu manges plusieurs bols.»

«Mon frère, tu ne peux pas le calculer comme ça. Comparé à notre amitié, ce petit montant d’essence n’est rien.» Lui disait Zhang Dashan avec sérieux.

Xiao Luo ne voulait pas être dérangé par lui maintenant. Il avait trop faim. Il prit ses baguettes et les plongea dans sa nourriture.

Zhang Dashan devint également sérieux en parlant de sujet sérieuses. «Au fait, Xiao Luo, t’as vraiment démissionné aujourd’hui ?»

«Oui.»

Xiao Luo lui répondit honnêtement, puis insista rapidement : «Ne parle surtout pas de ça à ma sœur, sinon je mets fin à notre amitié.»

Sa sœur, Xiao Ruyi, était une grande gueule comme Zhang Dashan. Si Xiao Ruyi apprenait sa démission, il pouvait garantir que son téléphone exploserait d’appels de sa famille dès le lendemain.

«F*ck. Tu ne me fais toujours pas confiance. Tous les secrets que tu me confies sont absolument sûrs avec moi», jura solennellement Zhang Dashan.

Xiao Luo roula les yeux et demanda avec un sens profond. «Le sont-ils ?»

«Bien sûr. Peu importe. Laissons tomber ça et parlons affaires. Aujourd’hui, j’ai demandé à un collègue de mon département des ressources humaines si notre banque recrute toujours. Tu veux venir ? L’incroyable travail d’équipe entre nous garantira une performance mensuelle impressionnante», Répondit Zhang Dashan.

«Non. Je ne suis pas intéressé par le fait de travailler dans une banque», Lui disait Xiao Luo.

«Qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? Tu regardes de haut notre coopérative de crédit de campagne ? Il y a un dicton qui dit que peu importe la taille des pattes d’un moustique, elles restent de la viande. Notre coopérative de crédit a été créée conformément à la réglementation. Nous recevrons toujours une pension chaque mois, même lorsque nous toucherons notre pension de retraite»

«Je ne parle pas de ça. De toute façon, je comprends tes intentions. Mais, quand il s’agit de travailler, je m’en occuperai moi-même», répondit Xiao Luo.

Zhang Dashan savait qu’il ne pouvait rien obtenir en insistant, alors il adoucissait son ton. «D’accord. Appelle-moi quand tu auras bien réfléchi. Même si je dois vendre mon c**l, je trouverai un moyen d’utiliser mes relations pour te faire entrer.»

Le cœur de Xiao Luo fondit. Il savait que Zhang Dashan lui voulait vraiment du bien. «Merci, Dashan !»

«Pas besoin de remerciements. On est potes, c’est normal. Tu es moi et je suis toi. C’est comme ça, alors profite de ton repas. J’ai une cliente qui m’a demandé de la rencontrer chez elle. Il semble que je doive me sacrifier un peu ce soir. Laisse-moi te dire que c’est une femme mariée qui est délicate, jolie et jeune.»

«Contiens-toi.» Xiao Luo secoua la tête de manière impuissante.

«Quelle absurdité. Quand la femme m’a demandé d’aller chez elle, elle m’a dit d’apporter aussi une canette de Red Bull. Une canette de Red Bull, mon frère ! Je veux me retenir aussi, mais regarde clairement la situation : elle veut clairement me presser à sec.»

«Pourquoi j’ai l’impression que tu t’exhibes devant moi ?»

«Hahaha… J’ai été démasqué. Je raccroche maintenant. La cliente m’appelle. Je te rappelle plus tard !» Zhang Dashan mit fin à l’appel en raccrochant.

Xiao Luo remis le téléphone dans sa poche et continua à manger ses nouilles Sanxian restantes.

Du coin de l’œil, il aperçut un homme d’âge moyen en costume occidental et chaussures en cuir assis pas très loin de lui. L’homme était extrêmement digne, et son corps dégageait la confiance de quelqu’un de la classe supérieure. Il avait même deux gardes du corps au visage sombre à ses côtés. Ils portaient des lunettes de soleil même la nuit.

Il s’agissait manifestement d’une personne de haut rang !

Xiao Luo trouva inconcevable que quelqu’un comme lui puisse manger dans une petite échoppe. De plus, il lui semblait familier, comme s’il l’avait déjà vu quelque part.

Mais une agitation secoua la rue à ce moment-là. Des dizaines de personnes se rassemblèrent autour de l’échoppe, et toutes avaient l’air meurtrières. Ils ressemblaient à des bêtes qui venaient de sortir des montagnes, faisant trembler les gens de peur. Ils brandissèrent même des machettes et des tuyaux en acier étincelants.

Leur chef était un homme chauve à la carrure sévère et trapue, il n’avait pas de sourcils. Son corps était couvert de tatouages de tigres et de léopards, ses yeux avaient un air féroce et malveillants. Il arborait une expression arrogante et insolente sur son visage.

«Patron, c’est lui. C’est ce gars qui a sauvé cette petite p**e !»

Un homme au visage laid et féroce répondit cela sauvagement en désignant Xiao Luo, qui mangeait ses nouilles. C’était cet horrible type d’aujourd’hui, celui qui avait asservi la petite fille et l’avait fait mendier.

L’homme chauve jeta un regard vicieux envers Xiao Luo, puis il leva la tête et balayait du regard les autres clients de l’échoppe. Il cria froidement, «À part ce gamin, tout le monde dégage !»

La rangée de clients devant l’échoppe se dispersa dans toutes les directions, laissant ce nid de frelons.

«Monsieur, s’il vous plaît. On peut toujours en parler. S’il vous plaît, ne faites pas fuir mes clients !»

Le propriétaire de l’échoppe s’empressa de retirer 20 à 40 dollars et cachait l’argent dans la poche du chauve.

Cette zone était un district de Jiangcheng, c’était aussi une zone éloignée du centre-ville. C’était un cas où l’autorité centrale ne pouvait pas pénétrer dans les zones éloignées. De plus, en raison des nombreuses usines présentes ici, les bonnes et les mauvaises personnes se mêlaient. Des gens de tout le pays se côtoyaient ici. La loi et l’ordre n’étaient pas bien maintenus. Les hooligans et les gangsters causaient souvent des problèmes, alors le propriétaire de l’échoppe pensait qu’ils étaient là pour percevoir à nouveau des frais de protection.

Le chauve le fit tomber au sol d’un coup de pied et le montra du doigt. «Ce n’est pas tes affaires. Reste sur le côté de manière obéissante, ou je te découpe aussi en morceaux.»

Mais il ne rendit pas rendu au propriétaire de l’échoppe.

La femme courue rapidement pour aider son mari à se relever. Elle secoua la tête pour signaler à son mari de ne pas provoquer le chef de la mafia locale.



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