Le Salon de Discussion des Cultivateurs | Cultivation chat group | 修真聊天群
A+ a-
Chapitre 269 – Oui ! Oui ! Je veux t’épouser !
Chapitre 268 – Même si un seul venait à tomber, mille se dresseront ! Menu Chapitre 270 – Vous allez payer, Dame Oignon !

– « Cette fois-ci, tu vas vraiment crever ! » L’homme masqué haletait légèrement. Même un pratiquant de Deuxième Rang, un Vrai Maître, se fatiguait à force d’utiliser continuellement son Qi.

Mais au moment où le troisième Song Shuhang était sur le point de mourir… Un rayon de lumière éclaira le dessus du lit, annonçant la venue d’un autre Song Shuhang.

Il était apparu plus rapidement cette fois-ci.

Était-ce un taux d’apparition mal réglé ?

Le nouveau avait le même sourire forcé sur le visage. « Aîné, je suis juste à côté de vous. »

L’homme était incapable de bouger.

Il savait qu’il y avait définitivement un problème, mais lequel ? Il n’y comprenait rien.

Ce n’était pas une illusion. Chaque fois qu’il tuait cet homme, il le sentait mourir sous ses coups. L’odeur du sang frais était intense. Tout était vrai !

Mais systématiquement, il réapparaissait immédiatement. Que se passait-il ?

Alors qu’il était en pleine réflexion, le 4ème Song Shuhang répéta : « Bonjour, Aîné Véritable Monarque Blanc. »

Son agresseur fronça les sourcils et essaya à nouveau une salutation : « Bonjour. »

Mais son interlocuteur ne répondit pas.

Comme il le craignait, une demi-minute plus tard, le visage du petit jeune se déforma, sous le choc. « Les freins ! Freinez ! … Aîné, ce n’est pas ce que je voulais dire ! Il y a une falaise droit devant ! »

L’homme masqué soupira. Cette fois-ci, il résista à l’envie de le tuer de toutes ses forces et essaya d’entrer dans son jeu pour voir s’il pouvait assister à de nouveaux changements.

– « D’accord, d’accord, je freine ! »

Les yeux du 4ème Song Shuhang étaient perdus dans le vide.

Après plus d’une vingtaine de secondes, il prit une expression distraite : « Des souvenirs tels que… Petit Blanc, quand vos cheveux atteindront vos hanches, voudrez-vous m’épouser ? »

L’homme masqué en fut sans voix.

Va é pouser ton grand père !

Les coups de poing, de paume, de doigt et de griffe s’abattirent violemment.

Atatatatatata !

– « Aaaah… ! » résonna un cri de souffrance.

Le 4ème Song Shuhang tomba à terre et mourut.

❄️❄️❄️

– « C’est bon, maintenant… Non ? » murmura l’homme masqué.

Pile au moment où il grognait cet espoir, un rayon de lumière jaillit à nouveau devant ses yeux. La vitesse de réapparition s’emballait !

Le 5ème Song Shuhang apparut juste devant lui, à côté du cadavre ensanglanté du 4ème.

Et comme prévu, sa première phrase fut : « Aîné, je suis juste à côté de vous. »

– « Crève, crève, crève, crève, crève ! »

Je me fiche de combien vous êtes , mais puisque ce n’est pas une illusion, je vais tuer chacun d’entre vous !

Je refuse d’être induit en erreur ! Ne me dites pas que vous pouvez être un millier ?

❄️❄️❄️

Le temps passa…

L’homme masqué était entouré d’une pile de cadavres éparpillés çà et là. Il y en avait au moins une soixantaine.

– « Huff, huff… C’est étrange… Ce n’est toujours pas fini ? » Il arborait un sourire angoissé, sachant pertinemment être tombé dans un piège infini.

Parce que, quand il avait tué Song Shuhang pour la dixième fois, il avait voulu quitter cette chambre maudite. S’il ne pouvait pas vaincre, pourquoi ne pas tout simplement fuir ?

Mais non. Même s’il le voulait, il ne le pouvait pas !

Le lit était clairement à proximité de la fenêtre, mais peu importait la puissance qu’il mettait dans ses jambes ou quelle technique il utilisait, s’il courait, sautait ou cavalait, peu importait même sa fatigue après avoir parcouru une certaine distance… Quand il s’était retourné, il avait toujours été au même endroit, devant le même lit supportant le même homme à l’air sympathique entouré de la même pile de cadavres éparpillés.

Et la fenêtre était toujours aussi loin ! Si proche, et pourtant si éloignée. Il en perdait tout espoir.

Par conséquent, il serra les dents et continua de tuer Song Shuhang.

Il ne croyait pas qu’un millier d’individus supplémentaires pouvaient être générés dans ce piège.

Si tel était pourtant le cas, à quel point le cerveau derrière cette épreuve était-il tordu et cruel ?

Arrête de penser et bute-le !

Mais il était à court de force et devenait de plus en plus faible. Sa vitesse d’abattage devint de plus en plus faible.

Devant ses yeux, le énième numéro de Song Shuhang tomba au sol dans un bruit sourd. Avant de mourir, il demanda obstinément : « … vous… m’épouser ? »

L’homme masqué ne pouvait plus parler.

Il était sur le point de s’effondrer. Vraiment, sur le point de s’effondrer…

❄️❄️❄️

Le temps était comme l’eau d’un ruisseau, il passait sans remonter à sa source.

Song Shuhang numéro énième +1 demanda : « … voudrez-vous m’épouser ? »

– « Oui ! Oui ! J’ai déjà dit que je vous épouserais, ce n’est toujours pas bon ? » cria l’homme. « Laissez-moi partir, je vous en supplie… Laissez-moi sortir d’ici, je ferai n’importe quoi ! »

Mais les blessures de Song Shuhang N+1 étaient trop profondes. Sa tête dodelina et il mourut.

Par la suite, Song Shuhang N+2 apparut.

Même dialogue.

Cette fois, son visiteur imprévu ne le frappa pas. Il resta bouche bée, attendant la fin du script.

Enfin, la question vint : « … voudrez-vous m’épouser ? »

– « Oui, oui ! » hurla-t-il avec impatience et empressement.

Cependant, une fois la phrase de Song Shuhang N+2 terminée, son programme cracha. Il resta là, inerte, sans bouger.

– « Va te faire foutre, fils de pute ! » beugla l’homme en colère en utilisa sa dernière once d’énergie pour le tuer.

Ce qui ne servit à rien.

Quand un Song Shuhang était vaincu, un millier, voire dix milliers prenaient la relève !

Song Shuhang N+3 apparut dans le rayon de lumière.

Même dialogue que précédemment.

Finalement, revint la question : « … voudrez-vous m’épouser ? »

L’homme masqué était inexpressif. Il n’avait même pas envie de bouger son doigt.

Un long moment plus tard, il se reprit.

– « Du calme, du calme. Puisque c’est un piège, il y a certainement une chance de s’en tirer. Ne pas se laisser manipuler. Je vais d’abord me reposer et récupérer mon Vrai Qi. Puisque c’est un piège, celui qui en est à l’origine va finir par se pointer, et ce sera l’occasion parfaite pour moi de frapper ! »

Il respira enfin, sortit une pilule médicinale de grande valeur pour récupérer son énergie et la goba.

Il s’assit et commença à reconstituer sa force et son Qi.

Attends un peu … Dès que j’en aurai l’occasion, je te donnerai une bonne leçon !

Tu me supplieras de te tuer !

J’ utiliserai les techniques les plus cruelles pour te torturer !

❄️❄️❄️

Dans cet espace transparent, qui sait combien d’heures avaient passé ?

Song Shuhang s’ennuyait tellement qu’il finit par monta sur le lit à côté de Song Shuhang N°2, sortit son téléphone et prit un selfie avec lui-même.

Cli ck !

Le flash du portable brilla.

Mais à ce moment-là, le monde transparent disparut !

C’était trop soudain, Song Shuhang fut complètement pris au dépourvu.

L’instant d’après, il était déjà revenu à la réalité.

Il se retrouva assis à côté du Vénérable Blanc.

Ce dernier était déjà réveillé. Assis bien droit, il souriait.

Et devant eux… L’homme masqué était assis en tailleur, occupé à rétablir son Vrai Qi. Il sentit lui-aussi un changement autour de lui et ouvrit brusquement les yeux.

C’était la même chambre ! Le même lit ! Le même homme avec un visage sympathique, mais une personnalité extrêmement cruelle !

La seule chose qui manquait était la pile de cadavres…

Et il y avait un nouvel homme qui ressemblait à un saint tout droit sorti d’une peinture !

Mais ce n’était pas important. C’était sa chance de frapper !

– « Hahahaha ! Ce maudit piège a enfin pris fin, et ta vie aussi ! » L’homme masqué serra les dents et sauta, sa main droite crispée comme une série de griffes visant la tête de Song Shuhang pour y créer cinq jolis petits trous.

L’étudiant ne paniqua pas, il garda le sourire. Son plus grand atout était déjà réveillé, de quoi devait-il avoir peur ?

À ses côtés, le Vénérable était parfaitement détendu. Il tendit sa paume de sa main, visa l’importun, et déclara : « Sort de Terre – Transformation en Sable ! »

L’attribut principal de l’Aîné Blanc semblait être lié à la terre. Une gangue l’ayant fait ressembler à une sculpture était apparue sur son corps pendant sa méditation, il utilisait souvent un sort de nivellement du sol… Sans oublier cette nouvelle technique.

Il créa un sceau à longue portée avec sa main.

Une rune de type terre apparut dans l’air et se grava sur le corps de l’homme masqué.

– « Crè… » Ce dernier se sentit devenir faible. Pas seulement physiquement. Même son esprit se flétrissait à grande vitesse. Il baissa les yeux et vit un spectacle effrayant.

Son corps se transformait en sable doré, comme celui d’un sablier, et coulait vers le bas…

Non ! Q ue se passe -t- il ?! Est ce de la magie ? Une illus ion ? Il était extrêmement effrayé.

En un clin d’œil, il devint corps et âme un tas de grains scintillants.

C’était la première fois que Song Shuhang voyait l’Aîné Blanc tuer personnellement un ennemi. Cette vision le choqua. Ce sort n’était pas accompagné d’effets spéciaux tapageurs, ou quoi que ce fût d’approchant, et pourtant, il était incroyable. Un pratiquant capable d’utiliser le Vrai Qi avait été transformé en une poignée de poussière jaune.

Le Vénérable Blanc fit un léger geste de la main droite. Une petite brise bien fraîche apparut de nulle part et fit tourbillonner la poignée de sable jaune, l’envoyant par la fenêtre, quelque part au loin où il pourrait se rendre utile en se mélangeant avec le sol.

Il était encore tard dans la nuit. Normalement, le Vénérable n’aurait pas dû sortir de méditation si tôt.

– « Aîné Blanc, vous vous êtes réveillé en avance, » remarqua Song Shuhang en soupirant de soulagement.

– « J’ai senti une puissante soif de sang non dissimulée à côté de moi. Par conséquent, j’ai arrêté plus tôt que prévu… Mais cette fois, ce n’était qu’une petite séance. J’ai plus ou moins saisi ce qui m’échappait. » Il sourit chaleureusement et dit : « Après avoir vécu de nouvelles choses intéressantes, je pourrai retourner m’isoler. La prochaine fois, je devrais pouvoir méditer pendant environ 300 ans d’affilée ! »

La prochaine séance confinée durera 300 ans ? Song Shuhang était sans voix.

– « Shuhang, il ne faut pas être paresseux quand il s’agit de cultivation. Un pratiquant de Premier Rang n’a que l’espérance maximale de vie des êtres humains ordinaires, environ 120 ans. Les cultivateurs de Deuxième Rang peuvent vivre le double, entre 220 et 240 ans. Alors, vous devez être un pratiquant de Troisième Rang pour espérer tenir au moins 300 ou 400 ans.

Le jeune homme hocha distraitement la tête.

– « Même s’il me reste encore beaucoup de temps avant ma prochaine méditation recluse… J’espère que lorsque j’y mettrai fin la prochaine fois, je pourrai vous revoir, » sourit le Vénérable.

Il souhait que Song Shuhang atteignît au moins le Troisième Rang pour vivre assez longtemps et le retrouver à son prochain éveil.

Est- ce que ça peut être considéré comme une bénédiction de l’Aîné Blanc ? pensa l’étudiant. « Je ferai de mon mieux ! Oh ! Aîné, j’ai trouvé une pierre étrange ! »

Il sortit le rocher de sa poche.

Sur le dessus, la tige de Dame Oignon rétrécit, comme si elle était plutôt intimidée par le Vénérable.

– « Est-ce… la Pierre d’Illumination ? » Il la saisit et dit : « Pas étonnant que vous ayez déjà ouvert votre Acupoint du Nez. Même celui de votre Oreille déborde de Qi Sanguin. Avez-vous eu de la chance au cours des deux derniers jours ? »

– « Oui, c’est tout à fait ça. » Song Shuhang gloussa.

Il pensa à quelque chose. Se pouvait-il que l’homme masqué eût accidentellement découvert la Pierre d’Illumination sur lui et eût voulu la voler ?

Il n’avait pas vu que cet individu l’avait massacré frénétiquement dans l’illusion. Sa cible n’était certainement pas une simple pierre…

🏆 Top tipeurs
  • 🥇1. Thomas
🎗 Tipeurs récents
  • Thomas


Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 268 – Même si un seul venait à tomber, mille se dresseront ! Menu Chapitre 270 – Vous allez payer, Dame Oignon !